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Je me suis forcée à aimer les jeux de guerre, pour prouver… quoi, au juste ?
Je me suis forcée à aimer les jeux de guerre, pour prouver… quoi, au juste ?
Hum... bon je sais que ce n'est pas le sujet mais sur la conversation "y a pas de bonnes autrices de fantasy", bon bah JK Rowling, Robin Hobb, PirateAba, Ursula Le Guin, Samantha Shannon.... euuh... bon, y'en a quoi x)
Mais tellement^^' on en parle de Marc Lévy ? Pis en fantasy, même Tolkien, j'adore hein, mais euh... on peut pas dire qu'il n'y ait pas juste MILLE histoires sentimentales un peu gnangnans x) pareil avec Lewis et tout... alors que quand on lit L'Auberge Vagabonde (The Wandering Inn), on est clairement pas dans les amourettes niaises ou autres x) ça dépote !aha, mais j'ai eu la même réaction à la lecture de cette phrase! Même le « elles gâchent tout avec des histoires de sentiments », sérieux, y'a des mecs qui écrivent des histoires ultra mièvres, ou alors qui sont incapable de développer correctement leurs perso féminin justement parce que ce sont juste des persos la pour la romance du héros, nan mais la mauvaise foi !
Sauf que pour atteindre une grosse partie des métiers prestigieux et/ou qui rapportent et/ou qui ne sont pas bouchés il faut suivre une filière avec plus de math.On pardonne à la fille, au moins on ne lui dit pas qu'elle est nulle ; finalement c'est un cliché sexiste plutôt gentil. Dire de quelqu'un qu'il est nul, "sans l'excuse de son sexe" est tout aussi dévalorisant. Une fille nulle en math ira facilement en littéraire ou en commercial, un garçon nul en math est un cancre et devrait se réorienter vers une filière technique bien moins valorisante dans l'imaginaire collectif. Je balance des clichés et des généralités que je ne partage pas, hein.
Mais pour le coup, dans les attentes scolaires, les garçons sont pas mieux lotis que les filles.
J'ai chipoté, mais je suis d'accord avec vous sur le fond. Heureusement qu'on donne le bac à tout le monde, maintenant. (Ok, je suis taquin aujourd'hui, j'avoue)
On pardonne à la fille, au moins on ne lui dit pas qu'elle est nulle ; finalement c'est un cliché sexiste plutôt gentil. Dire de quelqu'un qu'il est nul, "sans l'excuse de son sexe" est tout aussi dévalorisant. Une fille nulle en math ira facilement en littéraire ou en commercial, un garçon nul en math est un cancre et devrait se réorienter vers une filière technique bien moins valorisante dans l'imaginaire collectif. Je balance des clichés et des généralités que je ne partage pas, hein.
Mais pour le coup, dans les attentes scolaires, les garçons sont pas mieux lotis que les filles.