@MijouCe contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
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A la base, j'ai raconté l'anecdote pour donner un exemple de ce qu'une pratique pouvant paraître choquante, et même moralement répréhensible, peut avoir des racines complexes et ne pas pour autant préjuger de la valeur d'un.e individu.e. Car une personne, c'est complexe, on peut souffrir et faire des trucs nazes, on peut changer même, bref, on peut se tromper, même faire de la m***, sans pour autant être quelqu'un de mauvais.
Nous ne sommes QUE des êtres humains, c'est-à-dire faillibles, fragiles, imparfait.e.s.
Ce sont même des grands principes qui sont pris en compte par le système judiciaire, et qui font les grands jours des philosophes depuis la nuit des temps.
Je pense de mon côté qu'il est tout à fait possible de pouvoir (en tout cas d'essayer) discuter d'un sujet sensible de façon bienveillante, tournée vers l'Autre et empathique, et que c'est même la seule façon intéressante d'en discuter. Sinon, c'est juste vomir sa colère et personnellement, je n'y vois aucun intérêt.
Du coup, je ne souhaite pas poursuivre cette "discussion" avec toi, puisque ce qui m'intéresse c'est l'échange, la discussion et pas le monologue. Dans le monologue effectivement on peut choisir le mot que l'on veut et aucun risque qu'il soit interprété différemment de ce que l'on voulait dire... En communication, c'est un peu plus complexe que cela.