Ca me fait penser à un système dégueulasse que j'avais pu constater dans un club vers Oberkampf. Des amis m'avaient dit que les vigiles repartaient tous les soirs en camionnettes avec des nanas bourrées. Je l'avais pris pour une légende urbaine mais pour l'avoir vu, c'était bien réel. En fait, les mecs observaient toute la soirée et tentaient des mini approches (notamment dans les toilettes des filles - je suis d'ailleurs passé au test, l'un deux est venu me parler et je sentais bien que les questions étaient un peu orientées genre ce que j'avais bu, si j'étais seule etc. Il a d'ailleurs bizarrement viré mon mec de façon arbitraire quelques minutes plus tard^^ avant de finalement le laisser re-rentrer. Je crois que c'est parce que j'ai été le voir pour lui demander et que je devais avoir l'air bien sobre finalement). Lorsque la musique cessait, ils allaient aborder des filles et leur proposer un genre d'after. Au final, ils repartaient tous ensemble dans une camionnette et franchement... vue les clins d'œil etc. Ca puait un max !
La première fois, j'étais pas en état d'appréhender le truc. La seconde, j'ai essayé d'aller parler à une de ces filles mais ses copines m'ont envoyé bouler en disant qu'elles allaient s'amuser, que j'étais pas drôle etc. Gros fail, malgré tout ça m'a fait mal au cœur de les savoir vulnérables avec eux. Parce que si certaines étaient peut être, sur la masse, vraiment partantes et conscientes, personne ne me fera croire qu'elles auraient suivi ces types dans cette camionnette sordide en étant sobres et en pleine possession de leurs moyens. Et j'y repense parfois, comme en lisant cet article, en me demandant ce que j'aurai pu faire de plus.
Bref, qqfois, c'est hyper abouti comme organisation, ça va bien plus loin qu'une simple conversation. Là, ces mecs étaient véritablement en bande et sur leur territoire, avec toutes les cartes en main.
La première fois, j'étais pas en état d'appréhender le truc. La seconde, j'ai essayé d'aller parler à une de ces filles mais ses copines m'ont envoyé bouler en disant qu'elles allaient s'amuser, que j'étais pas drôle etc. Gros fail, malgré tout ça m'a fait mal au cœur de les savoir vulnérables avec eux. Parce que si certaines étaient peut être, sur la masse, vraiment partantes et conscientes, personne ne me fera croire qu'elles auraient suivi ces types dans cette camionnette sordide en étant sobres et en pleine possession de leurs moyens. Et j'y repense parfois, comme en lisant cet article, en me demandant ce que j'aurai pu faire de plus.
Bref, qqfois, c'est hyper abouti comme organisation, ça va bien plus loin qu'une simple conversation. Là, ces mecs étaient véritablement en bande et sur leur territoire, avec toutes les cartes en main.