Je suis partagée... D'un côté je me dit "chouette, enfin la reconnaissance que c'est un vrai problème" et puis de l'autre je peux pas m'empêcher de me dire "ça ne sera qu'un symbole fort dans une lutte culturelle parce que seul le flagrant délit sera verbalisé". Sur mon trajet fac-appart' j'ai jamais croisé un.e policier.ère...
Par contre l'article soulève un vrai problème : celui de la formation. Quand on n'est pas directement concerné par le harcèlement de rue on ne le perçoit pas forcément. Moi je rentre souvent accompagnée par un pote : sur le chemin je me suis déjà pris une remarque d'un mec assis sur un banc ; lui n'a rien vu, rien entendu.
Mais quelle formation donnée ? Le harcèlement de rue est tellement multiforme... (ce n'est pas du défaitisme, c'est une vraie question)