Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Les 7 meilleures réponses à la tribune sur « la liberté d’importuner » parue dans Le Monde

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Sauf que désormais, ces messieurs seront inarrêtables maintenant qu'ils ont l'aval de 100 femmes (voire plus) @Clemence Bodoc comment tu fais pour rester optimiste dans de telles conditions ?J’vous jure qu’à la fin, on pourra tous et toutes gagner. Ensemble.
Il y a dix ans une telle tribune n'aurait pas existé, parce qu'elle n'en aurait pas ressenti le besoin. Donc oui si ces personnes se sentent obligées de défendre leurs petits rôles genrés en crachant sur les personnes qui essayent de les briser pour avoir une vie meilleure (vous restez cool envers elles dans l'article c'est très bien, "c'est argumenté et réfléchi" bla bla bla, mais moi j'y arrive pas désolée)(c'est comme Zeimour, le mec pourrait me pondre 300 pages d'argumentaire sur x sujet avec arguments et réflexions derrière que ça restera un trou du cul, mais bref je m'égare), ça prouve bien qu'elles se sentent bousculées dans ces modèles. Si elles ne l'étaient pas, elles n'écriraient pas cette tribune. Pour moi c'est comme "de nos jours on peut plus rien dire" (pour parler de """""l'humour""""""), je déteste et aime cette phrase en même temps. Je la déteste car elle est pathétique (bah merde alors avant je pouvais traiter les noirs de negros pour rigole sans qu'ils disent rien pourquoi que donc ça a changé je comprends pas ????), mais de l'autre je l'apprécie car elle prouve que maintenant les voix protestataires non seulement sont écoutées mais ont en plus un impact tel que des gens ressentent constamment le besoin de s'en "défendre". Il y a encore dix ans pointer les blagues racistes/sexistes etc ça en touchait l'une sans faire bouger l'autre, alors que la critique existait déjà, sauf que tout le monde s'en foutait.Et puis je me dis aussi qu'il y a 10 ans, une telle tribune n'aurait pas déclenché autant de réactions. Le monde avance certes doucement, mais je crois quand même que les choses s'améliorent.
Bienvenue au club.Je sais pas vous, mais entre la colère et la tristesse, cette semaine polémique m'a épuisée.