Pour les notes en primaire je ne me souviens pas en avoir eu, j’ai connus uniquement les B, AB, TB.
« la punition suprême d’être contraint d’aller vers les filières professionnelles, aujourd’hui largement dévalorisées ? »
J’ai malheureusement vécu cette situation, seulement, on n’a pas réussi à m’imposer la filière en question dans mon cas.
J’étais une élève moyenne en début de collège, ma moyenne c’est dégradé pour diverse raison. Par la suite, j’ai été un peu « casée » par les profs de mauvaise élève, et à partir de là, la rédemption des notes n’est plus possible : p.
Un exemple qui m’a frappée: Lors de rendre un devoir de rédaction où pour le coup j’avais été inspirée. La prof' me demande si j’ai été aidée, je lui répond que non, elle se met à me crier dessus aux yeux de tous, que : je suis incapable d’écrire ça(le devoir) et que j’ai eu de la chance qu’elle ait ACCEPTE de corriger car, selon elle, d’autre prof’ aurait refusé de me noté pour ne pas avoir écrit moi même.
Après ça, on est en droit de se demander pourquoi faire des efforts pour progresser si au final on interdit aux mauvais élèves de faire bien. J’ai tout bonnement abandonnée sans pour autant être très mauvaise.
Pour en revenir à l’infâme punition de la filière pro. J’ai eu la joie de recevoir mon dossier de poursuite de scolarité de la main même de la principale(que je n’avais jamais vu auparavant) , lors d’un entretien de quelques minutes où j’ai été rabaissée avec pour seul critère de jugement : des numéros sur un bout de papier.
Elle m’avait fait l’honneur de remplir mon dossier : «poursuite souhaitée : BEP secrétariat » surligné au stabilo, en me faisant comprendre que j’étais un danger pour le taux de réussite(toujours des chiffres autrement dit) du lycée voisin car je n’aurais jamais eut mon BACn et, que toutes autres filières ne m’étais pas ouverte. Je passe les détails. J’ai eu de la chance :mes parents ont fait eux même mon orientation sans hésiter à sortir les économies pour intégrer un école d’arts graphiques (mon domaine de prédilection) dans lequel j’ai passé CAP (obtenu) et BT (obtenu, considérée comme niveau bac) et prochainement BTS(alternance). Sans ça j’aurais été désemparée
Pour parler de manière plus générale, je pense qu’une des solutions (qui limiterai les dégâts) serait de séparer notation et cours/exercices d’entrainement. Les TP et DM serait corrigés par d’autre prof’ que celui qui fait les cours, avec des barèmes bien définit, après tout c'est le principe des examens.
Et en ce qui concerne les filières pro’, elles se valent toutes(bon je sais que dans l'article c'est ironique hein; D je parle de manière général), ils faut arrêter de mettre une pression supplémentaire sur les élèves qui pour la plus part n’ont pas été valorisés dans leurs scolarité. Les préjugés viennent par de l’ignorance de ceux qui les véhicules.
« la punition suprême d’être contraint d’aller vers les filières professionnelles, aujourd’hui largement dévalorisées ? »
J’ai malheureusement vécu cette situation, seulement, on n’a pas réussi à m’imposer la filière en question dans mon cas.
J’étais une élève moyenne en début de collège, ma moyenne c’est dégradé pour diverse raison. Par la suite, j’ai été un peu « casée » par les profs de mauvaise élève, et à partir de là, la rédemption des notes n’est plus possible : p.
Un exemple qui m’a frappée: Lors de rendre un devoir de rédaction où pour le coup j’avais été inspirée. La prof' me demande si j’ai été aidée, je lui répond que non, elle se met à me crier dessus aux yeux de tous, que : je suis incapable d’écrire ça(le devoir) et que j’ai eu de la chance qu’elle ait ACCEPTE de corriger car, selon elle, d’autre prof’ aurait refusé de me noté pour ne pas avoir écrit moi même.
Après ça, on est en droit de se demander pourquoi faire des efforts pour progresser si au final on interdit aux mauvais élèves de faire bien. J’ai tout bonnement abandonnée sans pour autant être très mauvaise.
Pour en revenir à l’infâme punition de la filière pro. J’ai eu la joie de recevoir mon dossier de poursuite de scolarité de la main même de la principale(que je n’avais jamais vu auparavant) , lors d’un entretien de quelques minutes où j’ai été rabaissée avec pour seul critère de jugement : des numéros sur un bout de papier.
Elle m’avait fait l’honneur de remplir mon dossier : «poursuite souhaitée : BEP secrétariat » surligné au stabilo, en me faisant comprendre que j’étais un danger pour le taux de réussite(toujours des chiffres autrement dit) du lycée voisin car je n’aurais jamais eut mon BACn et, que toutes autres filières ne m’étais pas ouverte. Je passe les détails. J’ai eu de la chance :mes parents ont fait eux même mon orientation sans hésiter à sortir les économies pour intégrer un école d’arts graphiques (mon domaine de prédilection) dans lequel j’ai passé CAP (obtenu) et BT (obtenu, considérée comme niveau bac) et prochainement BTS(alternance). Sans ça j’aurais été désemparée
Pour parler de manière plus générale, je pense qu’une des solutions (qui limiterai les dégâts) serait de séparer notation et cours/exercices d’entrainement. Les TP et DM serait corrigés par d’autre prof’ que celui qui fait les cours, avec des barèmes bien définit, après tout c'est le principe des examens.
Et en ce qui concerne les filières pro’, elles se valent toutes(bon je sais que dans l'article c'est ironique hein; D je parle de manière général), ils faut arrêter de mettre une pression supplémentaire sur les élèves qui pour la plus part n’ont pas été valorisés dans leurs scolarité. Les préjugés viennent par de l’ignorance de ceux qui les véhicules.