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Les PIRES personnes avec lesquelles faire des travaux de groupe
- Initiateur de la discussion Lucie
- Date de début
Ma pire expérience c'est quand ma prof de français a trouvé judicieux de me mettre avec les branleurs de la classe sur lesquels je n'avais évidemment aucune autorité malgré mon bon niveau. 1 meuf timide VS 3 mecs blasés. ÉVIDEMMENT que j'ai du tout faire toute seule, mais c'était un lourd travail sensé être fait en GROUPE. donc ce fut très nul et j'ai malgré tout écopé d'une mauvaise note comme mes doux camarades. Vraiment les profs pourquoi vous faites ça ?!
J'aurais bien aimé avoir eu des cours de communication AVANT de faire les travaux en groupe.
Déjà, ça permet de savoir que certains profils/types de personnalité sont profondément incompatibles avec d'autres.
Mis à part ça, j'ai toujours eu horreur du travail en groupe, parce que je suis ultra perfectionniste et que j'ai, de fait, énormément de mal à déléguer. Du coup je fais partie de ces casse-pieds qui ont toujours un truc à redire.
Donc non seulement je vis très mal le fait de devoir déléguer, mais en plus je gonfle mes collaborateurs.ices...
J'en ai conscience hein, ça n'a rien à voir avec la valeur des autres et de leur travail, et je fais de gros efforts pour ne dire que le 1/4 des remarques que je voudrais de faire, mais rien à faire, c'est plus fort que moi, c'est véritablement une angoisse (qui prend ses racines dans ma petite enfance mais on va pas s'étaler).
Quand je retiens une remarque ou suggestion, ça me tord le bide. Alors que je vis beaucoup mieux le fait qu'on décide de ne finalement pas suivre mon idée, mais ne pas mettre cette option sur la table m'angoisse vraiment. Ca peut paraître paradoxal, mais c'est pas le fait qu'on ne retienne pas mon idée que je vis mal, mais le fait de ne pas contrôler un truc (et en mettant l'idée sur la table, même si elle n'est pas retenue, au moins j'ai tout donné pour que ça marche, donc ça va) qui me concerne et sur lequel je vais être jugée, bref de lâcher prise.
Bref, tout ça pour faire comprendre que les personnes qui trouvent toujours à redire et finalement ne laissent pas bosser les autres tranquillement, peuvent avoir des motivations plus complexes que vouloir toujours avoir raison ou mépriser les autres.
Et que finalement, il ne faut pas pas forcément le prendre personnellement.
(Même si bien évidemment, je suis tout à fait consciente que c'est très pénible pour les autres personnes, c'est bien pour ça que j'évite comme la peste les travaux en groupe depuis que j'ai fini les études).
D'ailleurs si ça peut consoler celleux qui font les frais de ce genre de comportement, les personnes en question (en tout cas c'est mon cas) sont très rarement satisfaites du travail qu'elles finissent par rendre...
Déjà, ça permet de savoir que certains profils/types de personnalité sont profondément incompatibles avec d'autres.
Mis à part ça, j'ai toujours eu horreur du travail en groupe, parce que je suis ultra perfectionniste et que j'ai, de fait, énormément de mal à déléguer. Du coup je fais partie de ces casse-pieds qui ont toujours un truc à redire.
Donc non seulement je vis très mal le fait de devoir déléguer, mais en plus je gonfle mes collaborateurs.ices...
J'en ai conscience hein, ça n'a rien à voir avec la valeur des autres et de leur travail, et je fais de gros efforts pour ne dire que le 1/4 des remarques que je voudrais de faire, mais rien à faire, c'est plus fort que moi, c'est véritablement une angoisse (qui prend ses racines dans ma petite enfance mais on va pas s'étaler
).Quand je retiens une remarque ou suggestion, ça me tord le bide. Alors que je vis beaucoup mieux le fait qu'on décide de ne finalement pas suivre mon idée, mais ne pas mettre cette option sur la table m'angoisse vraiment. Ca peut paraître paradoxal, mais c'est pas le fait qu'on ne retienne pas mon idée que je vis mal, mais le fait de ne pas contrôler un truc (et en mettant l'idée sur la table, même si elle n'est pas retenue, au moins j'ai tout donné pour que ça marche, donc ça va) qui me concerne et sur lequel je vais être jugée, bref de lâcher prise.
Bref, tout ça pour faire comprendre que les personnes qui trouvent toujours à redire et finalement ne laissent pas bosser les autres tranquillement, peuvent avoir des motivations plus complexes que vouloir toujours avoir raison ou mépriser les autres.
Et que finalement, il ne faut pas pas forcément le prendre personnellement.(Même si bien évidemment, je suis tout à fait consciente que c'est très pénible pour les autres personnes, c'est bien pour ça que j'évite comme la peste les travaux en groupe depuis que j'ai fini les études).
D'ailleurs si ça peut consoler celleux qui font les frais de ce genre de comportement, les personnes en question (en tout cas c'est mon cas) sont très rarement satisfaites du travail qu'elles finissent par rendre...
Pire souvenir d'un travail de groupe en français : on est 5, on fait le taf à 4, on a une bonne note (15 ou 16) et là le 5ème (la personne qui n'avait rien foutu) dit un truc du genre : "J'aurais pas eu une note comme ça tout seul, c'est cool", ce à quoi je réponds "On a fait le taf, de rien" et le gars était vexé 
Il s'attendait à ce que je réponde poliment : "Tu as participé à ta manière, merci"
Il a ronchonné contre moi un moment, j'étais outrée
Il s'attendait à ce que je réponde poliment : "Tu as participé à ta manière, merci"
Il a ronchonné contre moi un moment, j'étais outrée
L'article dresse une belle galerie de portrait, les travaux de groupes c'est un peu le jeu des 7 familles, tu tires toujours au moins un spécimen par groupe (si tu t'en tires bien).
Personnellement la carte "branleur-euse qui s'en fout" ou "personne débordé-e par sa vie trépidante" je trouve que c'était la meilleure pioche possible dans la famille des boulets. Au moins les passagers clandestins tu sais qu'ils ne font rien et donc tu t'organises en amont pour faire leur boulot, et ils ne viennent rien redire sur ce qui est produit.
Ma pire expérience est arrivée dans une école de cadre, avec donc des gens supposés un peu sérieux et intéressés.
Et là j'ai découvert ce dont parle @MaryPoppinz : les boulets ne disparaissent jamais ! Ils rôdent dans les couloirs et hantent les salles de réunions. Je crois même, d'après mon enquête, que ceux que vous croiserez au boulot seront pire encore que pendant vos études. Oui, je crois que les boulets des travaux de groupes évoluent ! Ou alors ils ne restent que les plus gros spécimens (darwinisme encore ?). Le mien était surnommé Ferdinand. Votre pire cauchemard, le boulet suprême. Je dirais presque qu'il pourrissait méticuleusement la vie du projet avec, oui allez je lui reconnait ça, avec art. Je ne m'épancherais pas, le trauma est encore frais
.
Mais avec le recul c'est peur etre l'expérience qui m'a le plus appris. Sur le positionnement en milieu pro (aka comment répondre à quelqu'un de passif/agressif en restant pro mais sans laisser passer, comment recadrer une réunion, comment dire "non ce que tu dis n'as malheureusement aucun sens, nous ne pourrons donner suite à ta demande" de façon pro pour que cela soit diplomate et entendable...). En bref comment bosser avec quelqu'un ayant un gros soucis de compétences, d'attitude et avec qui humainement ça ne passait pas, ce qui arrive parfois à des degrés divers. Et ça m'a aussi appris sur moi (rester caalme et ne pas prendre trop les choses pour moi en 1er lieu, gérer les urgences et les priorités aussi). Enfin ça m'a permis de réfléchir et d'expérimenter des techniques pour gérer les situations problématiques.
Conclusion de cette aventure : Ferdinand était un tel cauchemar qu'il n'a pu que fédérer contre lui les membres du groupe de travail. Par nécessité au départ (darwin encore, les enjeux étaient trop énormes pour ne pas se battre pour la qualité du boulot). Aujourd'hui ce sont devenus des amis, et notre groupe wa est nommé en hommage à Ferdinand
.
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Ma pire expérience est arrivée dans une école de cadre, avec donc des gens supposés un peu sérieux et intéressés.
Et là j'ai découvert ce dont parle @MaryPoppinz : les boulets ne disparaissent jamais ! Ils rôdent dans les couloirs et hantent les salles de réunions. Je crois même, d'après mon enquête, que ceux que vous croiserez au boulot seront pire encore que pendant vos études. Oui, je crois que les boulets des travaux de groupes évoluent ! Ou alors ils ne restent que les plus gros spécimens (darwinisme encore ?). Le mien était surnommé Ferdinand. Votre pire cauchemard, le boulet suprême. Je dirais presque qu'il pourrissait méticuleusement la vie du projet avec, oui allez je lui reconnait ça, avec art. Je ne m'épancherais pas, le trauma est encore frais
.Mais avec le recul c'est peur etre l'expérience qui m'a le plus appris. Sur le positionnement en milieu pro (aka comment répondre à quelqu'un de passif/agressif en restant pro mais sans laisser passer, comment recadrer une réunion, comment dire "non ce que tu dis n'as malheureusement aucun sens, nous ne pourrons donner suite à ta demande" de façon pro pour que cela soit diplomate et entendable...). En bref comment bosser avec quelqu'un ayant un gros soucis de compétences, d'attitude et avec qui humainement ça ne passait pas, ce qui arrive parfois à des degrés divers. Et ça m'a aussi appris sur moi (rester caalme et ne pas prendre trop les choses pour moi en 1er lieu, gérer les urgences et les priorités aussi). Enfin ça m'a permis de réfléchir et d'expérimenter des techniques pour gérer les situations problématiques.
Conclusion de cette aventure : Ferdinand était un tel cauchemar qu'il n'a pu que fédérer contre lui les membres du groupe de travail. Par nécessité au départ (darwin encore, les enjeux étaient trop énormes pour ne pas se battre pour la qualité du boulot). Aujourd'hui ce sont devenus des amis, et notre groupe wa est nommé en hommage à Ferdinand
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Dernière édition :
J'ai été la personne qui "oublie" qu'on devait se voir (enfin j'oubliais je disais avoir oublié puis je faisais la morte).
A ma décharge, ce que je hais dans les travaux de groupe, ce sont les gens qui veulent se voir 20x 2h alors que les 3/4 des trucs faits ensemble auraient pu être fait chacun de son côté et mis en commun par internet et que sur les 2h où on se voyait, on écrivait 1 ligne sur le travail de groupe.
J'ai l'impression qu'on me fait perdre mon temps (et c'était quasi 4h de perdue si c'est à des heures de pointes de traffic). J'ai pas de problème à travailler mais, quand je travaille, faut que ce soit efficace et rapide, si on progresse à du 2 à l'heure, ça m'énerve juste énormément (chez moi, un travail de 10 pages, je l'écrivais en 2-3h d'une traite). J'avais toujours l'impression que les autres chipotaient sur les mots pendant longtemps, se prenaient la tête sur des conneries. Et que quoique je dise, c'était des conneries de toute manière (donc pourquoi tu m'as demandé de venir alors ???)
A la fin de mes études, je préférais même dire "j'écris telle partie", l'écrire et l'envoyer au groupe dès le début du travail ou si les autres me faisaient chier pour que je vienne travailler à la bibliothèque avec elles, je disais quand même rien pendant les 2h.
Pour l'instant, dans le monde du travail, je n'ai jamais eu le problème.On discute de cas concret, chacun avec son expérience est écouté (et surtout, les réunions se font pendant mes heures de travail donc je perds pas mon temps perso, j'aurais été sur mon lieu de travail réunion ou non).
A ma décharge, ce que je hais dans les travaux de groupe, ce sont les gens qui veulent se voir 20x 2h alors que les 3/4 des trucs faits ensemble auraient pu être fait chacun de son côté et mis en commun par internet et que sur les 2h où on se voyait, on écrivait 1 ligne sur le travail de groupe.
J'ai l'impression qu'on me fait perdre mon temps (et c'était quasi 4h de perdue si c'est à des heures de pointes de traffic). J'ai pas de problème à travailler mais, quand je travaille, faut que ce soit efficace et rapide, si on progresse à du 2 à l'heure, ça m'énerve juste énormément (chez moi, un travail de 10 pages, je l'écrivais en 2-3h d'une traite). J'avais toujours l'impression que les autres chipotaient sur les mots pendant longtemps, se prenaient la tête sur des conneries. Et que quoique je dise, c'était des conneries de toute manière (donc pourquoi tu m'as demandé de venir alors ???)
A la fin de mes études, je préférais même dire "j'écris telle partie", l'écrire et l'envoyer au groupe dès le début du travail ou si les autres me faisaient chier pour que je vienne travailler à la bibliothèque avec elles, je disais quand même rien pendant les 2h.
Pour l'instant, dans le monde du travail, je n'ai jamais eu le problème.On discute de cas concret, chacun avec son expérience est écouté (et surtout, les réunions se font pendant mes heures de travail donc je perds pas mon temps perso, j'aurais été sur mon lieu de travail réunion ou non).
Je pense qu'au lycée, les élèves n'ont pas tous conscience :
- qu'ils vont de plus en plus être amenés à travailler en groupe a la fac et "danslavieprôô"
- ... avec des gens qu'ils n'aimeront pas forcément, mais ils n'auront pas le choix :/
- et puis on n'est pas tous conscients de sa façon de travailler. Donc de ses forces, de ses faiblesses. De comment les utiliser a profit dans un groupe.
Je veux dire admettons que quelqu'un ait besoin du stress de la dernière minute pour être bon. J'en connais plein, et ils sont très efficaces... a leur façon ! Du coup dans un groupe où personne ne se connaît ni se connaît réellement soi même et ne sait l'expliquer aux autres, pour qui cette personne passera ? Un boulet a sa manière ? Alors qu'en fait cette personne aurait été top a la dernière relecture...
J'ai appris à bosser sérieusement et cravacher en BTS.
Du coup à la fac, je trouvais les gens mous et inefficaces. Mais pour pas empiéter sur leur partie de job ou les emmerder, forcer mes collègues à un rythme qui n'est pas le leur, je préférais centraliser l'info, la mettre en forme, suggérer la distribution des tâches. Ça marchait bien aussi.
Et la, j'ai atterri en BAFA.
A priori le contenu à présenter est encore plus simple que la fac...
Sauf que les personnes qui passent le bafa sont des profils extrêmement hétérogène et je me suis retrouvée au milieu de personnes intensément immatures. Qui m'ont traitée comme de la merde, alors que je voulais sincerement aider avec un peu de methodo afin d'être plus efficaces.
Résultat, mise au ban, excédée, je suis allée souffler ma rage ailleurs et les ai laissés se demerder seuls. Leur jeu n'a pas été prêt à temps et c'était de la merde.
Bah dans la vie pro, le cas le plus représentatif du type de travail en groupe que j'ai pu rencontrer vu que je bossais en équipe, c'était plutôt proche du dernier. Toujours la seule à mener mes idées pour que le travail soit prêt à temps quel qu'en soit l'ambition, toujours la seule à voir à long terme, en amont. Etc.
Tout ça parce que personne ne sait réellement bosser avec d'autres, que c'est toujours chacun pour sa pomme...
- qu'ils vont de plus en plus être amenés à travailler en groupe a la fac et "danslavieprôô"
- ... avec des gens qu'ils n'aimeront pas forcément, mais ils n'auront pas le choix :/
- et puis on n'est pas tous conscients de sa façon de travailler. Donc de ses forces, de ses faiblesses. De comment les utiliser a profit dans un groupe.
Je veux dire admettons que quelqu'un ait besoin du stress de la dernière minute pour être bon. J'en connais plein, et ils sont très efficaces... a leur façon ! Du coup dans un groupe où personne ne se connaît ni se connaît réellement soi même et ne sait l'expliquer aux autres, pour qui cette personne passera ? Un boulet a sa manière ? Alors qu'en fait cette personne aurait été top a la dernière relecture...
J'ai appris à bosser sérieusement et cravacher en BTS.
Du coup à la fac, je trouvais les gens mous et inefficaces. Mais pour pas empiéter sur leur partie de job ou les emmerder, forcer mes collègues à un rythme qui n'est pas le leur, je préférais centraliser l'info, la mettre en forme, suggérer la distribution des tâches. Ça marchait bien aussi.
Et la, j'ai atterri en BAFA.
A priori le contenu à présenter est encore plus simple que la fac...
Sauf que les personnes qui passent le bafa sont des profils extrêmement hétérogène et je me suis retrouvée au milieu de personnes intensément immatures. Qui m'ont traitée comme de la merde, alors que je voulais sincerement aider avec un peu de methodo afin d'être plus efficaces.
Résultat, mise au ban, excédée, je suis allée souffler ma rage ailleurs et les ai laissés se demerder seuls. Leur jeu n'a pas été prêt à temps et c'était de la merde.
Bah dans la vie pro, le cas le plus représentatif du type de travail en groupe que j'ai pu rencontrer vu que je bossais en équipe, c'était plutôt proche du dernier. Toujours la seule à mener mes idées pour que le travail soit prêt à temps quel qu'en soit l'ambition, toujours la seule à voir à long terme, en amont. Etc.
Tout ça parce que personne ne sait réellement bosser avec d'autres, que c'est toujours chacun pour sa pomme...
Ah, les travaux de groupe, des grands moments (non) de vies scolaires et professionnelles.
Autant avant le master, ça me faisait chier parce qu'honnêtement les gens en avaient rien à battre et je me retrouvais toujours à faire le plan toute seule et on tirerait au sort dans un chapeau la partie de chacun, mais j'ai jamais eu trop de soucis d'organisation (j'étais 1ère de classe ou quasi systématiquement major ou presque de promo, du coup les gens se reposaient sur moi pour le plan et la relecture finale).
Autant en master... Bordel les travaux de groupe à faire QUAND ON EST EN ENTREPRISE, mais sérieusement?! Genre tu te fais ta semaine de taf, chacun-e est dans sa ville de boulot (parce que hé oui, on était pas tou-te-s dans la même ville), y'avait une maman avec enfants dans le lot, c'était l'enfer.
Bon, au taf les travaux de groupe moi je les fais sous forme de réunions, et c'est moi qui dirige les réunions (c'est mon taf), donc j'ai pas autant de frustration. Juste que des fois j'ai l'impression de faire la maîtresse de CP avec des mecs de 50 ans : "Machin, on peut revenir au sujet stp? Truc et Bidule, si vous avez quelque chose à partager avec l'assemblée n'hésitez pas!".
Pour moi réunion = 1h max, donc au début tu fais de la discipline et au bout de 2-3 réunions les gars comprennent que 1) 1h max c'est aussi parce que tout le monde a autre chose à foutre 2) si on avance pas là on en refera une et ça gave tout le monde. Donc bizarrement ça devient vachement plus efficace!
Autant avant le master, ça me faisait chier parce qu'honnêtement les gens en avaient rien à battre et je me retrouvais toujours à faire le plan toute seule et on tirerait au sort dans un chapeau la partie de chacun, mais j'ai jamais eu trop de soucis d'organisation (j'étais 1ère de classe ou quasi systématiquement major ou presque de promo, du coup les gens se reposaient sur moi pour le plan et la relecture finale).
Autant en master... Bordel les travaux de groupe à faire QUAND ON EST EN ENTREPRISE, mais sérieusement?! Genre tu te fais ta semaine de taf, chacun-e est dans sa ville de boulot (parce que hé oui, on était pas tou-te-s dans la même ville), y'avait une maman avec enfants dans le lot, c'était l'enfer.
Bon, au taf les travaux de groupe moi je les fais sous forme de réunions, et c'est moi qui dirige les réunions (c'est mon taf), donc j'ai pas autant de frustration. Juste que des fois j'ai l'impression de faire la maîtresse de CP avec des mecs de 50 ans : "Machin, on peut revenir au sujet stp? Truc et Bidule, si vous avez quelque chose à partager avec l'assemblée n'hésitez pas!".
Pour moi réunion = 1h max, donc au début tu fais de la discipline et au bout de 2-3 réunions les gars comprennent que 1) 1h max c'est aussi parce que tout le monde a autre chose à foutre 2) si on avance pas là on en refera une et ça gave tout le monde. Donc bizarrement ça devient vachement plus efficace!
C
ClemBouBou
Guest
Quand tu fais tout toute seule et que le jour de l’oral bah... t’es toute seule aussi 
Cimer le projet de “groupe”
Cimer le projet de “groupe”
Je fais partie des "boulets" qui rendent tout à la dernière minute et qui s'investissent sans plus dans les projets , bah franchement au final on avait formé un groupe en licence de "balek on fait le minimum vital et à la dernière minute" et je crois que ça a été le meilleur groupe de travail de ma vie (en plus on s'en sortait plutôt bien sur les notes voir mieux que des groupes qui se réunissaient 15 fois par semaine pour bosser leur truc 
)
Édit: d'ailleurs en anecdote de bras cassés, pour un de nos travaux de groupe, on est arrivés 20 min avant la pres' et personne n'avait préparé de slides, on a fait un vieux truc pété en 10 min avant la pres' avec des vieux slides blanc agrémentés de parfois quelques screen On a eu des compliments dessus
En expérience pourrie par contre en master j'ai eu droit au groupe imposé...avec..... Que des étrangers \o/
Alors ils parlaient très bien français, mais avec moi ils en avaient pas envie. Du coup ils parlaient volontairement entre eux leur langue (qui n'était pas de l'anglais) exprès pour que je ne comprenne rien (j'étais la seule française du groupe)
J'ai pas compris le concept
, bah franchement au final on avait formé un groupe en licence de "balek on fait le minimum vital et à la dernière minute" et je crois que ça a été le meilleur groupe de travail de ma vie (en plus on s'en sortait plutôt bien sur les notes voir mieux que des groupes qui se réunissaient 15 fois par semaine pour bosser leur truc )Édit: d'ailleurs en anecdote de bras cassés, pour un de nos travaux de groupe, on est arrivés 20 min avant la pres' et personne n'avait préparé de slides, on a fait un vieux truc pété en 10 min avant la pres' avec des vieux slides blanc agrémentés de parfois quelques screen
On a eu des compliments dessus En expérience pourrie par contre en master j'ai eu droit au groupe imposé...avec..... Que des étrangers \o/
Alors ils parlaient très bien français, mais avec moi ils en avaient pas envie. Du coup ils parlaient volontairement entre eux leur langue (qui n'était pas de l'anglais) exprès pour que je ne comprenne rien (j'étais la seule française du groupe)
J'ai pas compris le concept
Moi je suis une Joséphine en puissance, mais ça me va ^^ je suis quelqu'un d'assez perfectionniste et impatiente, j'aime quand ça va vite. Donc je demandais aux gens de travailler chez eux avant qu'on se retrouve (parce que bon, se retrouver à 5 autour d'une table va falloir arrêter de croire que ça marche). Ensuite j'évaluais avec beaucoup de politesse et de bienveillance la pertinence du travail de mes camarades. Je connaissais mon niveau (toujours entre 16 et 20 sur mes oraux/dossiers) donc j'essayais de target les gens qui avaient à peu près le même. Ceux pour qui je (ou on, si quelqu'un avait l'air d'avoir un niveau similaire au mien et était passé aussi en leader de groupe du groupe) constatais que le niveau ça allait pas était relégué à des rôles secondaires (genre la partie méthode, les illustrations...), avec relecture de leur travail bien sûr. Heureusement j'étais souvent avec une ou deux Joséphine donc on managait ça d'une main de maître ! Une fois, une fille de notre groupe nous avait même invité à boire un verre avec une copine Joséphine pour nous remercier du dossier, qui lui avait permis d'avoir la moyenne et valider son semestre.
Et puis sinon, quand j'étais la seule Joséphine avec une bande de branleurs, même histoire. Chacun faisait une partie de son côté avant, moi je jetais quand même un œil à toutes les parties. Le jour même j'étais bien sûr la seule à avoir bossé, ou alors les autres n'avaient rien de bien poussé. J'incorporais mes idées aux leurs en valorisant leur travail, puis je terminais par un "qui veut mettre au propre ? Moi si vous voulais je le fais j'ai le temps ce weekend", je finalisais, je leur envoyait leur texte à apprendre pour l'oral et voilà ^^
Et puis sinon, quand j'étais la seule Joséphine avec une bande de branleurs, même histoire. Chacun faisait une partie de son côté avant, moi je jetais quand même un œil à toutes les parties. Le jour même j'étais bien sûr la seule à avoir bossé, ou alors les autres n'avaient rien de bien poussé. J'incorporais mes idées aux leurs en valorisant leur travail, puis je terminais par un "qui veut mettre au propre ? Moi si vous voulais je le fais j'ai le temps ce weekend", je finalisais, je leur envoyait leur texte à apprendre pour l'oral et voilà ^^
J'ai déjà raconté des anecdotes mais une vient de me remettre en tête:
travail de groupe par 2, la meuf travaille bien mais s'impose très peu donc je prends les décisions principales du travail, en pensant que ça lui convient vu qu'elle ne fait pas d'objection. Donc on travaille à ma façon, pas parfait mais du mieux que je peux.
Arrive le jour de la présentation, on présente et les remarques et questions de la prof arrivent. Dès la deuxième remarque (bon la prof a pas été sympa mais bon), ma "partenaire" s'est barré en courant, en pleur hors de la pièce, me laissant seule face aux questions de la prof.
J'ai eu envie de la tuer très longtemps.
travail de groupe par 2, la meuf travaille bien mais s'impose très peu donc je prends les décisions principales du travail, en pensant que ça lui convient vu qu'elle ne fait pas d'objection. Donc on travaille à ma façon, pas parfait mais du mieux que je peux.
Arrive le jour de la présentation, on présente et les remarques et questions de la prof arrivent. Dès la deuxième remarque (bon la prof a pas été sympa mais bon), ma "partenaire" s'est barré en courant, en pleur hors de la pièce, me laissant seule face aux questions de la prof.
J'ai eu envie de la tuer très longtemps.
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