Les Troubles Dysphoriques Prémenstruels, ce « super-SPM » qui me gâche la vie

14 Avril 2016
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Dinan
Super article, courage à ceux/celles qui en souffrent :). Ce serai super de faire un article sur la Dysphorie de genre aussi, qui est très méconnue bien que tout aussi horrible à supporter :crying:
 
11 Octobre 2014
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Merci beaucoup pour cet article, je me reconnais totalement dedans et ça fait du bien de voir qu'on n'est pas seule dans cette galère.
La semaine avant mes règles, j'ai vraiment mais vraiment très faim tout le temps (et les autres qui te font des réflexions du style "c'est pas possible que t'es faim à ce point là, faut savoir se contrôler, c'est pas cool :erf:), j'ai des migraines, je suis très fatiguée et je suis totalement déprimée, je n'ai envie de rien faire sauf rester dans mon lit et parfois j'ai même des pensées suicidaires alors que ça ne m'était jamais arrivé avant et qu' en temps normal je suis plutôt joyeuse:dunno:. Ce que je trouve vraiment bizarre, c'est que pendant cette période, j'ai vraiment l'impression de ne pas être moi-même.

Bon courage à ceux/ celles qui en souffrent aussi et j'espère vraiment qu'à un moment ça s'arrange :).
 
18 Juillet 2017
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Bounjour,

J'ai 45 ans et j'ai ce trouble depuis, pffff, je ne compte plus les années.
Ni les années ou quand j'expliquais mon mal être pendant cette période, on me disait de prendre sur moi....
Pendant une grande période, je prenais des anti-dépresseur, mon médecin pensant que je faisait une dépression suite à la maladie de ma mère , maintenant quand j'y pense, je ne suis pas sûre que ce soit réellement une dépression, mais le TDPM, mais à l'époque ce trouble n'avait pas encore de nom.
Alors oui, avec les anti-dépresseurs, les troubles s'atténuent, mais ils ne disparaissent pas, surtout pas l'envie de me planter un couteau dans le cœur pour voir si la douleur ressentie est moins forte que celle que je ressentais à ce moment-là, ni cette dépréciation de moi, me jugeant indigne de l'amour des autres, ni les douleurs.
A l'époque, je n'avais qu'une semaine ou peut-être deux de répit avant que les troubles n'apparaissent un à un et c'était la semaine ou j'avais mes règles et oui, grande chance pour moi, mes règles durait entre 7 à 10 jours....
J'avais au fur et à mesure, les seins qui gonflaient (et ayant une poitrine "généreuse", je ressemblais à une vache à lait), je prenais 2 à 4 kg, les sautes d'humeurs, les maux de tête, l'état dépressif, l'envie de suicide et parfois ne plus pouvoir supporter une personne de mon entourage, les douleurs au ventre que rien ne parvenait à faire disparaître : 3 à 4 ibuprofènes par jour, avec 3 à 4 dolipranes en alternance et ça n'atténuait qu'en partie la douleur, et au milieu de la nuit être réveillée par des douleurs intenables (s'entendre dire par une collègue que nous ne sommes pas égale face à la douleur, traduction, t'es une petite nature, j'aurais bien voulus la voir avec les mêmes douleurs que les miennes)
Et je trouvais que toutes mes amies qui me disaient : "depuis que j'ai arrêté la pilule je me sens mieux" avaient bien de la chance, car moi, grace à la pilule, j'avais un peu de répit.
Il y a 5 ans, j'explique les symptômes à ma belle mère, elle me conseille de voir son gynéco, qui s'intéresse à ce phénomène et qui pourrait m'aider.
Je ne la remercierais jamais assez de m'avoir envoyer chez lui. Il m'a donné un traitement hormonal qui stoppe les règles et donc fait disparaître le TDPM. Je revis depuis, il y a encore des mois ou j'ai des saignements mais comparativement, ce n'est rien.
Chez lui, je me suis sentie comprise pour la première fois, il m'a expliqué que je n'étais pas seule et que c'était mon cerveau qui ne supportait pas la fluctuation hormonale.
Il s'intéresse à ce phénomène et vient en aide aux femmes souffrant de TDPM.
 
  • Big up !
Réactions : Burial

Lullabye

Ambassadrice de Ville
25 Novembre 2013
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Mais du coup j'ai pas compris la différence entre le SPM et le trouble dysphorique prémenstruel..? Je trouve que l'article n'est pas du tout clair sur ce point, je comprends pas quand commence l'un ou l'autre car finalement les symptômes et les recommandations sont exactement les mêmes. Ce sont deux trucs qui se suivent dans le temps, on peut en souffrir en même temps, bref c'est quoi la vraie différence entre les deux qui justifie un changement de nom ?

C'est en effet pas clair, je trouve que l'article manque peut être de clarté, parce que ces symptômes peuvent être vécus par toutes les femmes dans ce qu'on appelle couramment le SPM.
Le trouble dysphorique prémenstruel, ou SPM dysphorique, comme son nom l'indique, c'est un trouble de l'humeur, en fait c'est un SPM qui est "anormal" parce que l'humeur est extrêmement touchée. En réalité, la présence dans les critères de symptômes physiques, permet juste de vérifier que c'est bien un SPM.
Pour être plus claire, c'est comme si la personne avait soudainement une dépression ou un trouble anxieux pendant toute sa période de SPM. Et il s'agit donc pas de "simples symptômes", il y a un mal-être très intense qui arrive, des pensées suicidaires possibles, des crises d'angoisse possible, enfin bref, c'est pas simplement des 'petites' envies de pleurer ; et c'est systématique.

Pour donner mon exemple, parce que maintenant je suis certaine que j'en souffre, j'ai été suivi pour dépression depuis deux ans, ça va bien depuis un an, et même sous antidépresseurs, quand je faisais des crises d'angoisse sans origine décelable, c'était toujours pendant ces quelques jours avant mes règles. J'ai diminué mes anti-dépresseurs petit à petit, jusqu'à ne plus du tout en prendre pendant trois semaines, sans aucun soucis, rien, nada. Et pof, je suis rentrée dans la semaine avant les règles, et je me suis pris en pleine figure des envies de pleurer sans raison, un sentiment profond de vide, de mal-être total, j'avais envie de mourir, ajouté à cela, évidemment des crises d'angoisse. Quelque chose que je n'avais plus vécu depuis deux ans.

Et si je raconte ça, c'est aussi parce que quelque chose n'a pas du tout été mentionné dans l'article et qui me parait pourtant très important, c'est ce qui cause ces troubles de l'humeur : la baisse de la sérotonine, hormone responsable de l'humeur. En effet quand on est dans cette phase de notre cycle, il y a un pic d'oestrogène, qui provoque une baisse de la sérotonine.
Donc il me semble, de ce que j'ai lu, qu'on ne sait pas encore pourquoi certaines femmes ont ce spm dysphorique, si c'est parce que chez elle la sérotonine baisse beaucoup trop, ou qu'elle est mal régulée ou quoi.
Mais c'est aussi pour cette raison que des anti-dépresseurs qui agissent sur la sérotonine sont parfois prescris et sont efficaces pour le spm dysphorique.

J'ai repris mes ad à la plus faible dose suite à cette grosse crise, et j'ai été couverte pour mon spm de ce mois-ci qui se termine, et je n'ai au aucun soucis, j'ai été peut être plus susceptible que ma normale, mais pas d'envie de mourir, ni ce sentiment de mal-être total. Mon psychiatre m'a dit que je pouvais essayer aussi de ne couvrir que la période du spm avec mes ad, ou alors voir avec une gynéco et utiliser une contraception hormonale pour stopper les oestrogènes et donc la chute de sérotonine.
 
31 Août 2014
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Ce problème de manque de netteté dans l'article qui a été pointé souligne combien il est difficile de tracer une limite nette entre "SPM" et TDSPM", surtout que le glissement entre les deux peut s'installer à un moment aléatoire de la vie et de façon progressive. C'est d'un vicieux....

C'est ce qui m'est arrivé, je ne me suis pas méfiée... jusqu'à ce que je pense sincèrement être devenue folle, avoir un trouble quelconque et m'être mise à désespérément chercher ce qui se passait tellement ces émotions violentes étaient ingérables. Ça pourrissait ma vie. Ma vie de couple. Ma vie pro. Chaque mois, je commençais à avoir peur de moi, parce qu'en plus des symptômes physiques douloureux et aléatoires, je ne savais pas si j'allais pas péter un câble et en venir à me tuer. Me tuer, oui. Je conduisais beaucoup pour le travail et me voyais fréquemment "de l'extérieur", morte dans un suicide. Je me voyais écraser l'accélérateur d'un coup et foncer à contresens ou dans les glissières. Et... je ne disais rien à personne. Tout était à clef en moi, persuadée que je n'avais aucune raison d'en parler à quiconque, que toutes les femmes passaient par là.
Ce n'étaient pas les seuls problèmes, j'en cumule beaucoup de la liste "test". Cet article, que j'avais trouvé il y a longtemps, m'a permis de mettre un doigt sur le problème, mais surtout voir que je n'étais ni folle, ni seule. Juste, comme de nombreuses femmes : pas renseignées. Surtout pas sur elles-mêmes. Ces témoignages sont édifiants.
https://www.nouvelobs.com/rue89/nos...vant-les-regles-non-je-ne-suis-pas-folle.html


Personne n'en parle, parce que, héritage culturel patriarcal oblige, les meufs qu'ont leur règles sont chiantes et en font dix fois trop et faut les laisser criser, ça leur passera. Avec cette espèce de culpabilité, ces ides préconçues, on n'en vient même pas soi-même à les remettre en question. Et puis en ce moment les spots illuminent l'endométriose (heureusement, hein!) donc on commence peu à peu à s'intéresser à la douleur physique. Mais personne ne met le doigt sur la douleur psychologique et il faut s'estimer "bien chanceuse" si on n'a pas à prendre d'opiacés chaque mois pour me tenir debout. Ce côté "t'as de la chance, toi, tu vomis pas chaque mois" n'encourage pas à se poser de questions non plus.

Mais, non, c'est pas normal d'avoir des envies suicidaires régulièrement et de devoir souvent quitter son lieu de travail parce qu'on est au bout du rouleau avec tous les symptômes du burn-out ! Comme l'endo : écoutez-vous, la douleur n'est pas normale... ni dans le corps, ni dans la tête, et vous avez le droit de refuser de subir ça, de bénéficier d'aide.

Cet article explique bien ce qu'est le TDSPM dans le détail : https://www.revmed.ch/RMS/2006/RMS-52/31044
Sans parler de "maladie", on parle de symptômes psychiatriques et dans les solutions suggérées figurent des antidépresseurs et anxiolytiques. Je ne trouve pas cela anodin.

Personne ne m'a jamais parlé du TDSPM, j'ai trouvé ça seule au fil de recherche. Pas même ma gynéco, à qui j'ai pourtant expliqué ma détresse extrême, ni plusieurs généralistes. Par contre ma gynéco m'a prescrit un truc qui s'appelle SPM 600, des labos Dergam (j'ai refusé les AD). C'est assez intéressant et ça m'a un peu soulagée, et permis de comprendre que j'avais probablement des carences alimentaires qui ont pu jouer sur l'équilibre hormonal (j'ai été végé pendant une sacrée paire d'années, sans faire gaffe).

A cette heure je vis avec le TDSPM sans trop de solutions, mais j'ai remarqué que je gérais mieux cette période avec les outils suivants :

- en l'anticipant (j'ai un petit "calendrier des règles") et en ne prévoyant rien d'autre qu'un marathon-couette au moment M.
- en m'accordant une absolue tolérance envers moi-même (j'achète les aliments-clefs que j'ai toujours envie de bâfrer à cette période, journées-couette-série sans aucune once de culpabilité, se laisser pleurer devant un dessin animé ou un joli film...)
- si c'est un jour travaillé, j'essaye gentiment de faire comprendre à l'équipe que je ne "serai pas à la hauteur ce jour" étant fatiguée et que je préfère m'occuper des tâches solitaires et calmes (pas de pot, je travaille au milieu de gosses... une fois l'un d'eux a essayé un sifflet dans mes oreilles pendant le SPM, j'ai dû quitter mon poste).
- réduire le sport mais si possible essayer de garder de la marche douce. Je fais beaucoup de sport le reste du temps et je réduis au fur et à mesure avant mes règles, et ça marche très bien pour réequilibrer un peu l'humeur globale et la rendre plus constante,
- ne pas me projeter dans des activités qui vont mettre en jeu mon sentiment de dévalorisation. Essayer à tout prix de ne pas tomber dans le piège de "l'herbe est plus verte chez le voisin" (réseaux sociaux, concours, etc, qui sont toutes des clefs de dévalorisation profondes à ce moment là). La principale concernée à ce moment, c'est moi, et pas la vie des autres, et c'est ce que j'essaye de me faire comprendre.
- m'isoler dans la nature, c'est un besoin récurrent et ... indispensable, duquel je sortirai un peu plus sereine. Je n'y ai rien besoin de faire, pas même randonner, simplement m'assoir en forêt suffit. Votre clef à vous est peut-être autre chose de "serein" et personnel, j'imagine que le yoga est super mais vu les ballonnements qu'on peut se taper, j'imagine que c'est compliqué. Un bain chaud avec un livre, une séance de dessin sans réel but, d'écriture spontanée, de jardinage*... faut essayer.

Si ça peut vous être utile. Et surtout vous n'êtes pas folle. Vous n'êtes pas seule.

*mettre les mains dans la terre booste la sérotonine chez les souris, tiens tiens, l'hormone magique justement... chez les souris, d'accord, mais simplement être dehors, s'aérer ou contempler sa jolie plante verte du salon et s'occuper de petits êtres vivants et bénéfiques... je vois pas ce que ça peut faire de mal pendant le SPM :')
https://www.lesdoigtsfleuris.com/index.php/2015/04/29/jardinage-heureux-intelligent/

Par contre, j'ai un peu de mal avec l'hygiène alimentaire vu qu'à ce moment là j'ai envie d'aliments profondément néfastes pour la santé (chips et haribo schtroumpfs en tête de liste), mais aussi de trucs un peu plus "sains" (... des sushis par exemple mais parfois une énorme pièce de viande rouge saignante, style 400g d'un coup). Je pense que c'est un message que le corps essaye de passer, sur ce qui a manqué ce mois-ci, puisque le reste du temps je ne consomme pas de viande... Je ne me réfrène pas parce qu'en dehors de ce temps mes habitudes alimentaires sont très clean et la frustration engendrée par les privations est vraiment ingérable pour moi (une fois, j'ai pas réussi à dormir parce qu'il n'y avait pas de chocolat).

J'ai remarqué que les boissons gazeuses froides font un bien fou à mes douleurs. Plutôt que de boire des saletés qui n'ont jamais été dans mes habitudes, je fais ma propre limonade et mon bidou est content.
 
M

Membre supprimé 226135

Guest
Merci pour le lien.

Mon spm devient de plus en plus violent. J'ai vecu une semaine apathique, anxieuse, et déprimée. Pas un spleen. Juste immobile dans mon lit à pleurer sans raison, à vouloir tout arrêter. J'ai compris que c'etait mon spm car en temps normal J'ai beaucoup d'entrain et quand j'ai pas envie de faire des trucs je les fais pas. Là cetait que psychologiquement et physiquement j'étais exsangue. Les idees noires n'apparaissent que la veille des reg'es mais c'est dur, on se projette un tas de choses. Je n'en ai jamais parlé à un medecin car pour moi c'est juste un spm, faut attendre que ca passe, et meme si on a l'impression qu'on en sortira jamais, mon humeur et mes emotions ainsi que ma mobilité s'ameliorent apres le debut des règles.
 
28 Août 2016
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Oh, ce petit article qui m'a touché en plein cœur.
J'ai toujours eu l'impression que mon humeur changeante à l'approche de mes règles était un sentiment que je m'étais préconçu avec les remarques du style " elle a encore ses règles celle là" et autres qui renforcent le fait que tu es une personne pénible pendant ce moment du cycle.
Sauf que là, en dehors des symptômes qui me correspondent tous, même si je sais que je ne suis pas chez un médecin et qu'il faut me calmer, c'est vraiment le sentiment général qui m'interpelle.
Puisque maintenant je retiens mes pulsions pendant ces moments là, au maximum. Mes larmes au bord des yeux , mes crises d'angoisses, mes insomnies, je refuse de les voir comme un réel handicap.
Sauf que c'est le cas, là je suis dedans et j'ai eu un problème ce matin, pas d'ordre mineur mais qui ne devrait pas me rendre complètement apathique comme je le suis. Et c'est plus fort que tout, que l'amour de mon chéri, que le réconfort de mes proches... c'est comme ça.
Mon copain s'est d'ailleurs fait à ces symptômes et ne me culpabilise jamais, au contraire ! c'est le meilleur ( et rien que d'écrire ça j'ai presque envie de pleurer TUWOI ) . Mais c'est insupportable, c'est comme si je ne me reconnaissais pas vraiment pendant cette période, et sur tout les plans ! Libido, habitudes alimentaires... c'est du tout au tout, absolument pas régulier... terrible quoi.
Bref MERCI MERCI MERCI
Même si ça ne change rien au problème, je sais que c'est un sentiment partagé, parce que oui j'ai déjà eu de vraies idées noires pendant cette période qui 2 jours après n'étaient même plus crédibles...
Merci.
Merci ! Je me reconnais complètement dans ton commentaire....!!
 

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