Non, tu ne l'as pas clairement écrit. Mais c'est ce qui ressort dans ton poste. Et j'en suis navrée si ce n'est pas le cas, mais je l'ai ressentie comme tel. " Un père n'est pas censé s'intéresser à ce que fait sa fille au lit! "lafeemandarine;4299645 a dit :romyssa;4299491 a dit :Cessons donc d'instaurer une "norme" sociale entre les relations père/fille.
Ah, et où ai-je dit qu'il fallait instituer une "norme obligatoire"?
Je n'ai fait que donner mon ressenti émotionnel, rien de plus. Je n'ai voulu agresser personne en disant cela. En plus de ça, il y a réellement des gens qui sont traumatisés par des comportements "limite incestueux". Pour moi, nier le fait que ce genre de situation peut être vraiment gênant, c'est minimiser les souffrances des personnes concernées, ce qui est plutôt insultant pour eux.
Comme le dit si bien Laci Green, c'est très bien de parler librement de sexe. Seulement, il y a des gens qui n'ont pas envie d'en parler avec certaines personnes. Pourquoi chercher à culpabiliser ceux et celles qui ont un niveau de pudeur un peu plus élevé?
Dans la lettre, il n'était pas question de savoir si oui ou non la fille faisait telle ou telle chose au lit. Il disait, ou plutôt non, espérait qu'elle ait une vie sexuelle épanouie. Pour moi c'était plus un conseil, du genre " fais ce que tu veux, ce qui te plait, et ce qui te rend épanouie dans ce domaine " ( je tiens à préciser suite au débat précédant qu'être épanouie pour moi, c'est surtout faire ce dont on a envie. )
En fait, je n'ai pas compris pourquoi tu associais la lettre ou la phrase "à un comportement limite incestueux " ? Moi je n'y vois qu'un père, qui suite à un phénomène sur internet, s'est interrogé parce-que le sujet le touchait un peu.
Je ne minimise rien du tout. Je pense juste qu'il y a une différence entre demander à sa fille ce qu'elle fait au lit dans un but purement malsain, et lui souhaiter le mieux. C'est à dire ce qu'elle veut.
Je rajoute que je ne culpabilise personne. Je respecte la pudeur de chacun. Comme je disais, le principal étant le consentement. J'ai moi même quelques pudeurs, pour tout dire. Je réagissais juste à ton ressentie qui m'a paru un peu disproportionné face à une phrase qui, au final, ne peut pas résumer la pensé du père. La lettre en dit davantage, selon moi.
Et mon ton ne se veut en aucun cas hautain ou méchant. Donc ceci est à lire en conséquence. J'espère aussi ne pas avoir minimisé la douleur de quelqu'un, là n'était pas mon intention.
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