Ce témoignage me donne presque envie de pleurer, et j'aimerais le donner à une connaissance pour qu'elle arrête de faire n'importe quoi.
J'ai une maladie génétique qui provoque un gros manque en carnitine (comme son nom l'indique on le trouve dans la viande, surtout la rouge / A titre de comparaison, dans 100gr de steak de boeuf 95mg de carnitide, le premier légume-fruit qui en contient et l'avocat avec 2mg par 100g, je vous laisse imaginer le nombre d'avocat qu'il me faut par jour). Donc je prends au moins un morceau de steak tous les 3 repas pour compenser. Donc je sais que je ne pourrais jamais être végétarienne à cause de ça. Je soigne ma conscience en choisissant ma viande dans des fermes que je connais bien, où les animaux sont en plein air, etc...
Une mère d'une petite fille atteint de la même maladie que moi veut devenir végétarienne, et donc je lui ai conseillé de ne pas faire ça à sa fille, argument à l'appui. Elle m'a maintenu qu'elle était mère et qu'elle savait ce qu'elle faisait. J'ai essayé au moins de lui dire d'aller voir une diététicienne et de parler de carnitine avec, même remarque. Du coup, sa fille va en souffrir après coup et je ne peux rien faire pour expliquer à la mère qu'entre convictions et santé il faut parfois faire des concessions.
J'ai une maladie génétique qui provoque un gros manque en carnitine (comme son nom l'indique on le trouve dans la viande, surtout la rouge / A titre de comparaison, dans 100gr de steak de boeuf 95mg de carnitide, le premier légume-fruit qui en contient et l'avocat avec 2mg par 100g, je vous laisse imaginer le nombre d'avocat qu'il me faut par jour). Donc je prends au moins un morceau de steak tous les 3 repas pour compenser. Donc je sais que je ne pourrais jamais être végétarienne à cause de ça. Je soigne ma conscience en choisissant ma viande dans des fermes que je connais bien, où les animaux sont en plein air, etc...
Une mère d'une petite fille atteint de la même maladie que moi veut devenir végétarienne, et donc je lui ai conseillé de ne pas faire ça à sa fille, argument à l'appui. Elle m'a maintenu qu'elle était mère et qu'elle savait ce qu'elle faisait. J'ai essayé au moins de lui dire d'aller voir une diététicienne et de parler de carnitine avec, même remarque. Du coup, sa fille va en souffrir après coup et je ne peux rien faire pour expliquer à la mère qu'entre convictions et santé il faut parfois faire des concessions.
Je te colle une ancienne conversation :
), je suis contente de voir que la panique générale de 2013 s’estompe en France... Le soucis c'est que presque personne ne sait reconnaître une étude sérieuse (donc avec une méthodo en béton et si possible une publication dans une revue scientifique reconnue avec évaluation par les pairs) et une étude bancale souvent subventionnée par l'industrie agroalimentaire (et c'est normal, on n'apprends pas ça au lycée !). Donc souvent "une étude à démontré que" ne veut malheureusement rien dire...
)
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