J'imagine que ce sont des ados, comme elle... Ce qui n'enlève rien à la débilité du truc. Mais la jalousie peut pousser à bien des choses.Mais par contre, je ne comprends pas du tout pourquoi ces gens font ça. Ça m'échappe totalement, le côté random de la chose
Millie Bobby Brown, harcelée et accusée d'homophobie, quitte Twitter
- Initiateur de la discussion Mymy Haegel
- Date de début
Si ça se trouve, même pas besoin d'aller jusque là. Ils se sont peut-être défoulés gratuitement sur une cible prise au hasard juste parce qu'ils s'ennuyaient, l'instinct grégaire a fait le reste.
A mon avis les gens qui ont fait ça ne pensait pas à mal à la base.
C'est comme les mèmes : Ca part sur (je pense) une simple intention d'humour, sauf que Internet grossit tout, la sauce prend vite, et ce qui était une blague devient un phénomène et ici, un phénomène négatif.
C'est parce qu'on est encore dans la génération qui débute avec Internet, et que c'est presque 100% libre, on a quasi aucun contrôle sur ce que font les gens dessus. J'espère que d'ici quelques années, on éduquera les jeunes (et les gens) aux effets négatifs du web et des réseaux sociaux, car ça peut vraiment aller trop loin, en fait on devrait et pourrait déjà le faire.
C'est comme les mèmes : Ca part sur (je pense) une simple intention d'humour, sauf que Internet grossit tout, la sauce prend vite, et ce qui était une blague devient un phénomène et ici, un phénomène négatif.
C'est parce qu'on est encore dans la génération qui débute avec Internet, et que c'est presque 100% libre, on a quasi aucun contrôle sur ce que font les gens dessus. J'espère que d'ici quelques années, on éduquera les jeunes (et les gens) aux effets négatifs du web et des réseaux sociaux, car ça peut vraiment aller trop loin, en fait on devrait et pourrait déjà le faire.
@Valentina- Mouais, je suis sceptique pour le «sans penser à mal». Faut déjà avoir quelques pulsions sadiques pour trouver ça drôle, y compris avant le «dérapage».
Je ne suis pas non plus d'accord avec ton deuxième paragraphe. Je doute sérieusement que des gens qui ont grandi dans un monde où le cyberharcèlement est impuni, jugé pas grave, normal, voire drôle comprennent un jour ce que ça a de problématique.
Je ne suis pas non plus d'accord avec ton deuxième paragraphe. Je doute sérieusement que des gens qui ont grandi dans un monde où le cyberharcèlement est impuni, jugé pas grave, normal, voire drôle comprennent un jour ce que ça a de problématique.
Dernière édition :
@skippy01
Sadiques ? J'irai pas jusque là. Le problème c'est le nombre de trucs qu'elle a du se prendre, en mode grosse lourdeur et qui en a fait du harcèlement.
Bien sûr on règle pas le problème aussi rapidement, mais en tout cas il faut chercher des solutions, et à mon avis, certains se rendent juste pas compte que leur blague parmi des milliers d'autres, c'est participer à du harcèlement.
Sadiques ? J'irai pas jusque là. Le problème c'est le nombre de trucs qu'elle a du se prendre, en mode grosse lourdeur et qui en a fait du harcèlement.
Bien sûr on règle pas le problème aussi rapidement, mais en tout cas il faut chercher des solutions, et à mon avis, certains se rendent juste pas compte que leur blague parmi des milliers d'autres, c'est participer à du harcèlement.
@Valentina-
nan mais dans quel univers on écrit "à bas machin" pour rire ? Avec des fausses situations d'homophobie, des montages photos à partir de vraies photos qu'elle a publié sur instagram ?
A la limite, au début, on peut faire un hashtag bête et méchant qui reste entre soi et ses potes. Mais quand y'a des milliers de tweet avec ce hashtag, on n'est plus dans la private joke.
Quand la fermeture de son compte a été annoncé, des gens ont twitté "on a gagné la guerre". Si c'est pas du harcèlement ça, je sais pas ce qui en est
Penser à mal, je ne sais pas, je crois que ces gens étaient au-delà d'un raisonnement, d'une pensée. Ielles voulaient juste. Une volonté sans pensée, un instinct grégaire, une joie malsaine.
nan mais dans quel univers on écrit "à bas machin" pour rire ? Avec des fausses situations d'homophobie, des montages photos à partir de vraies photos qu'elle a publié sur instagram ?
A la limite, au début, on peut faire un hashtag bête et méchant qui reste entre soi et ses potes. Mais quand y'a des milliers de tweet avec ce hashtag, on n'est plus dans la private joke.
Quand la fermeture de son compte a été annoncé, des gens ont twitté "on a gagné la guerre". Si c'est pas du harcèlement ça, je sais pas ce qui en est
Penser à mal, je ne sais pas, je crois que ces gens étaient au-delà d'un raisonnement, d'une pensée. Ielles voulaient juste. Une volonté sans pensée, un instinct grégaire, une joie malsaine.
@Gabelote
Je savais pas que des gens avaient twitté des trucs pareils.
A mon avis y a un problème justement avec Twitter dans le fait que n'importe quelle "réflexion" spontanée, ou dans ce cas-ci de (mauvaise) blague, dépasse la "private joke" justement, devienne publique et puisse se répandre à vitesse grand V (ce qui facilite le harcèlement).
J'ai du mal à voir des solutions à part une meilleure police du web, des condamnations, la prévention et l'éducation comme je le disais plus haut.
Je savais pas que des gens avaient twitté des trucs pareils.
A mon avis y a un problème justement avec Twitter dans le fait que n'importe quelle "réflexion" spontanée, ou dans ce cas-ci de (mauvaise) blague, dépasse la "private joke" justement, devienne publique et puisse se répandre à vitesse grand V (ce qui facilite le harcèlement).
J'ai du mal à voir des solutions à part une meilleure police du web, des condamnations, la prévention et l'éducation comme je le disais plus haut.
De fait, dans les cas où il y a eu condamnation, les coupables admettent systématiquement avoir twitté sur un coup de tête et/ou sous l'effet de la colère. C'est symptomatique d'un réel problème à gérer les émotions et la frustration, guère arrangé par la culture de l'enfant roi.
La solution, ce serait que la police ait les moyens financiers et logistiques d'arrêter les gens par milliers, mais je crois que c'est un peu trop utopique.
La solution, ce serait que la police ait les moyens financiers et logistiques d'arrêter les gens par milliers, mais je crois que c'est un peu trop utopique.
Surtout qu'Internet est "international" alors bonjour les problèmes de contrôle et condamnations avec les lois différentes dans tous les pays. Pour moi les grosses entreprises telles que Twitter devraient sérieusement prendre leurs responsabilités, y a déjà eu suffisamment de cas graves de harcèlement.
Ca me fait penser que je me demande toujours qui sont ces gens qui trollent/insultent gratuitement/harcèlent sur YouTube/Twitter parfois de façon ultra violente et sérieusement, ça me fait peur de me dire que ça pourrait être mon voisin (car y en a PLEIN)
Ça aussi, ce serait trop demander, ils ont déjà bien démontré qu'ils s'en battaient les couilles. Pour donner une idée, il a fallu attendre 5 ans et un raid particulièrement médiatisé pour que le bouton de signalement apparaisse, c'est dire le niveau de jemenfoutisme. À part organiser un raid contre les dirigeants de twitter, je ne vois pas comment on pourrait les faire se sortir les doigts.
Une histoire de plus qui confirme que tweeter est vraiment une plateforme utilisée par les personnes les plus haineuses...
@skippy01 Dans ce cas ce serait plutôt à l'Etat et la législation de faire quelque chose mais là encore avec le pouvoir d'entreprises aussi gigantesques que Twitter ou Facebook, qui ont limite plus de pouvoir que certains états à eux seuls, on est pas sortis de l'auberge. 
J'imagine que twitter voudra toujours rester une plateforme libre et blablabla alors l'éducation c'est ma dernière carte
J'imagine que twitter voudra toujours rester une plateforme libre et blablabla alors l'éducation c'est ma dernière carte 
