Cet article me parle tellement
Plus jeune, je sortais beaucoup et au début j'en avais vraiment envie et c'était ce que tout le monde faisait, ça me paraissait tellement normal. Puis à force, je m'ennuyais de plus en plus en soirée, je voyais les minutes défiler et c'est vraiment pénible
Et me forcer à parler avec des gens que je ne connaissaient pas, "devoir" apprendre à les connaître parce qu'ils s'entendent bien avec mes amies, ça m'epuisais tellement
A l'époque je me disais que je devais avoir un problème pour ne pas autant aimer sortir que les autres et de ne pas avoir envie de parler à des gens que je n'aimais pas ou que je n'avais pas envie de connaître (déso pas déso ) malheureusement je sais qu'à force de refuser des soirées cela ma éloignée de certaines personnes dont j'étais très proche. Cette pression sociale dont parle l'article est tellement vraie, pourtant ça peut sembler ridicule de blâmer les gens sur ce qu'ils aiment ou pas mais c'est vrai que c'est "mal vu" de ne pas aimer sortir. Je me suis moi même surprise plusieurs fois a mentir a des connaissances à ce sujet, en disant que je faisais si ou ça de mon we alors qu'en fait j'ai à peu près rien glander
C'est quand même fou que quand on dit qu'on préfère rester chez soi au lieu de sortir on passe pour une mamie voir un cas social.
Je me considère pas du tout comme asociale, loin de la mais c'est le contexte que je n'aime pas. J'aime bien rencontrer des gens mais plutôt au restau ou au bar (pas trop souvent non plus faut pas déconner
) mais bon aller en boîte, mouais. Et le we en général je suis complètement hs à cause de ma semaine donc il n'y a rien de plus réconfortant et jouissif (oui!) que d'être au chaud chez soi, avec une bonne série, puis se glisser dans son lit et se dire qu'on a pas besoin de mettre le réveil pour le lendemain