@LiGie Je crois que les symptômes psychologiques ne sont même pas vraiment reconnus en France, ou du moins c'est hyper controversé.
D'une manière générale on nous apprend tellement de c*******es sur les règles qu'il ne faut pas s'étonner. (Je ne vais pas m'étendre dessus, parce que ça mériterait un topic entier...)
Pour ma part je suis une personnalité hypersensible, avec une nette tendance à l'anxiété et j'ai des fois l'impression de vivre de mini épisodes dépressifs avant mes règles.
Je l'ai découvert après presque dix ans de règles, en lisant un livre de ma mère sur la personnalité hypersensible, qui y consacrait tout un chapitre... Ça m'a totalement bouleversée, parce que tout d'un coup je comprenais des années de malaise... Jusqu'alors je ne savais pas du tout que "ça" existait vraiment. Le fait d'en avoir conscience à présent m'aide beaucoup à combattre ses symptômes, à réaliser que c'est mon organisme qui me joue un mauvais tour et qu'il faut que je me protège. Mon chéri est au courant aussi, et il a pris l'habitude de détecter l'arrivée de ces mauvais moment et il me soutient beaucoup. (Je réalise que j'ai vraiment beaucoup de chance sur ce coup-là!)
Il me semble que les psys américains ont appelé tout ça le "PMDD" ou "trouble dysphorique prémenstruel" en Français.
Courage, c'est très difficile à vivre et on rencontre beaucoup d'incompréhension et d'ignorance, mais avoir conscience du problème aide à s'accrocher.
D'une manière générale on nous apprend tellement de c*******es sur les règles qu'il ne faut pas s'étonner. (Je ne vais pas m'étendre dessus, parce que ça mériterait un topic entier...)Pour ma part je suis une personnalité hypersensible, avec une nette tendance à l'anxiété et j'ai des fois l'impression de vivre de mini épisodes dépressifs avant mes règles.

Je l'ai découvert après presque dix ans de règles, en lisant un livre de ma mère sur la personnalité hypersensible, qui y consacrait tout un chapitre... Ça m'a totalement bouleversée, parce que tout d'un coup je comprenais des années de malaise... Jusqu'alors je ne savais pas du tout que "ça" existait vraiment. Le fait d'en avoir conscience à présent m'aide beaucoup à combattre ses symptômes, à réaliser que c'est mon organisme qui me joue un mauvais tour et qu'il faut que je me protège. Mon chéri est au courant aussi, et il a pris l'habitude de détecter l'arrivée de ces mauvais moment et il me soutient beaucoup. (Je réalise que j'ai vraiment beaucoup de chance sur ce coup-là!)
Il me semble que les psys américains ont appelé tout ça le "PMDD" ou "trouble dysphorique prémenstruel" en Français.
Courage, c'est très difficile à vivre et on rencontre beaucoup d'incompréhension et d'ignorance, mais avoir conscience du problème aide à s'accrocher.


(Et n'oubliez pas de consulter si vous avez vraiment trop mal, ça peut cacher quelque chose et il vaut mieux le savoir rapidement !)
) et qui en plus veulent un bébé (
), faut faire avec hélas.



, ce ne serait pas un peu de la mauvaise foi ?
les protocoles de recherches ont d'ailleurs été rendus plus strictes et pour par exemple le trouble dysphorique prémenstruel (qui est une sorte de SPM en bien plus handicapant) on a eu beaucoup de recherches interculturelles à ce sujet pour construire le tableau de ce trouble (c'est le nouveau cheval de bataille du DSM le respect des variables culturelles). Affirmer que le SPM n'a aucune cause biologique me semble en effet faux, par contre affirmer qu'il a une forte composante culturelle, au vu de ce qu'on sait ça a l'air vrai. Et approfondir la recherche à ce sujet, c'est affiner la prise en charge de la souffrance des personnes qui vivent ça, c'est positif