@hello-brooklyn (je réponds ici à ton message posté sur mon mur) et @otch : merci pour vos avis
Il a considéré que je le traitais d'alcoolique, alors que non, je n'ai pas employé ce mot là. J'lui ai juste clairement dit que sa consommation me faisait peur et que je ne voulais pas vivre avec quelqu'un qui buvait tous les jours (rapport à mon père, alcoolique, j'ai vu assez ma mère en baver pour comprendre ce que c'était).
Je n'ai donc fait que mentionner les faits et lui rappeler mon passé (qu'il connait très bien, donc il peut comprendre mes inquiétudes). Il a donc considéré que je le comparais à mon père. Chose qui l'a énormément vexé.
Alors que non, je lui disais juste "Fait attention à toi".
Bref, je sais pas j'ai peut être pas sû m'exprimer correctement, mais je pense surtout qu'il a été blessé parce qu'il a été confronté à la réalité. Oui il boit tous les jours, et hors soirée, seul chez lui.
C'est donc parti en cacahouète total, ça a dérivé au sujet de dispute qui revient constamment entre nous.Ça a donc dérivé sur moi. Il a ressorti le bon vieux reproche qui me blesse à chaque fois, il sait pertinemment que c'est le point sensible. Bref il a joué au con, et pour finir moi aussi, on a vraiment fini par jouer à celui qui fera le plus mal à l'autre.
Le fait de le faire par mail était encore plus atroce.
Et puis déjà qu'on est nul en désamorçage de conflit, là ça n'a pas aidé. D'habitude on s'engueule, on chiale tout les deux ensemble, on claque les portes, on boude un peu, mais au final, ça se finit toujours par un gros câlin de réconciliation.
Là on a eu juste la dispute, les mots (par écrit, que tu peux lire et relire) qui font mal, qui blessent au plus profond de soi. Et puis on a dû couper court à la conversation, il était 6h du mat' chez lui, il n'avait toujours pas dormi, et moi je devais aller me coucher parce que je bossais le lendemain.
Mais on s'aime tellement, même dans cette dispute horrible, on s'est quand même fait des grandes déclarations.
Il a quand même conclu en disant que quand j'arriverais il ne boira plus hors soirée, puisque je serai là, et qu'il boit à l'appart quand il est seul et qu'il a besoin de décompresser. J'ai toujours été son sas de décompression et là je ne suis pas là. Il explique ça comme cela.
On verra bien, maintenant il sait ce que je pense. J'ose pas trop lui écrire un mail genre il s'est rien passé. je sais qu'en vrai ça se serait passé comme ça, mais là je sais pas, par mail tout est tellement différent....
Bref, gros pavé, je suis désolée. Merci en tout cas
Il a considéré que je le traitais d'alcoolique, alors que non, je n'ai pas employé ce mot là. J'lui ai juste clairement dit que sa consommation me faisait peur et que je ne voulais pas vivre avec quelqu'un qui buvait tous les jours (rapport à mon père, alcoolique, j'ai vu assez ma mère en baver pour comprendre ce que c'était).
Je n'ai donc fait que mentionner les faits et lui rappeler mon passé (qu'il connait très bien, donc il peut comprendre mes inquiétudes). Il a donc considéré que je le comparais à mon père. Chose qui l'a énormément vexé.
Alors que non, je lui disais juste "Fait attention à toi".
Bref, je sais pas j'ai peut être pas sû m'exprimer correctement, mais je pense surtout qu'il a été blessé parce qu'il a été confronté à la réalité. Oui il boit tous les jours, et hors soirée, seul chez lui.
C'est donc parti en cacahouète total, ça a dérivé au sujet de dispute qui revient constamment entre nous.Ça a donc dérivé sur moi. Il a ressorti le bon vieux reproche qui me blesse à chaque fois, il sait pertinemment que c'est le point sensible. Bref il a joué au con, et pour finir moi aussi, on a vraiment fini par jouer à celui qui fera le plus mal à l'autre.
Le fait de le faire par mail était encore plus atroce.
Et puis déjà qu'on est nul en désamorçage de conflit, là ça n'a pas aidé. D'habitude on s'engueule, on chiale tout les deux ensemble, on claque les portes, on boude un peu, mais au final, ça se finit toujours par un gros câlin de réconciliation.
Là on a eu juste la dispute, les mots (par écrit, que tu peux lire et relire) qui font mal, qui blessent au plus profond de soi. Et puis on a dû couper court à la conversation, il était 6h du mat' chez lui, il n'avait toujours pas dormi, et moi je devais aller me coucher parce que je bossais le lendemain.
Mais on s'aime tellement, même dans cette dispute horrible, on s'est quand même fait des grandes déclarations.
Il a quand même conclu en disant que quand j'arriverais il ne boira plus hors soirée, puisque je serai là, et qu'il boit à l'appart quand il est seul et qu'il a besoin de décompresser. J'ai toujours été son sas de décompression et là je ne suis pas là. Il explique ça comme cela.
On verra bien, maintenant il sait ce que je pense. J'ose pas trop lui écrire un mail genre il s'est rien passé. je sais qu'en vrai ça se serait passé comme ça, mais là je sais pas, par mail tout est tellement différent....
Bref, gros pavé, je suis désolée. Merci en tout cas