Je rebondis juste sur un point: il me paraît délicat de dire que seul l'émetteur d'un message peut décider de l'interprétation qu'il faut en avoir. Les destinataires ont aussi leur mot à dire.
C'est d'ailleurs ce qu'on n'arrête pas de répéter pour les blagues sexistes: l'émetteur répète "c'est de l'humour, tu n'as pas compris le second degré". Et en quoi mon interprétation ("c'est sexiste") serait-elle moins valable que la sienne? (Je ne dis pas qu'elles sont exactement sur le même plan, attention. Juste qu'on ne peut pas dire qu'il y a une seule bonne interprétation et que toutes les autres sont fausses).
			
			C'est d'ailleurs ce qu'on n'arrête pas de répéter pour les blagues sexistes: l'émetteur répète "c'est de l'humour, tu n'as pas compris le second degré". Et en quoi mon interprétation ("c'est sexiste") serait-elle moins valable que la sienne? (Je ne dis pas qu'elles sont exactement sur le même plan, attention. Juste qu'on ne peut pas dire qu'il y a une seule bonne interprétation et que toutes les autres sont fausses).
				
		
			
)et je suis d'accord pour dire qu'ils ne doivent plus être autorisés à exercer même si je pense que la majeure partie de la radicalisation des gens se joue sur internet. Mais là on parle de l'homélie d'un cardinal qui pose souci. On n'oppose pas un discours à un autre, une religion à une autre. Personne n'a rien dit d'autre que ça.
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