Je rejoins @Pelleas en particulier sur l'éternuement, qui n'est évidemment pas répressible mais qu'on peut orienter poliment dans le creux de son coude quand on est en compagnie.
Pour ce qui est pets et rots, ce que je n'aime particulièrement pas, c'est quand il est intentionnellement utilisé dans le but d'humilier. Je ne tolère pas qu'on me pète sciemment sur la gueule, en revanche un pet naturel (au sens "là y'a besoin alors je le lâche") qui soulage ben je ne vais pas en faire un plat.
Et aussi, il serait temps d'envisager que tout le monde n'est pas égal devant les éructations diverses. On peut avoir le système digestif un peu capricieux ou carrément une maladie, des difficultés de continence... Et on n'y peut pas grand chose, à part stresser à l'idée que la terre entière pense qu'on est dégueu et que quand même, "on pourrait se retenir".
Donc oui au pet qui soulage, et non au pet utilisé comme instrument d'humiliation.
Pour ce qui est pets et rots, ce que je n'aime particulièrement pas, c'est quand il est intentionnellement utilisé dans le but d'humilier. Je ne tolère pas qu'on me pète sciemment sur la gueule, en revanche un pet naturel (au sens "là y'a besoin alors je le lâche") qui soulage ben je ne vais pas en faire un plat.
Et aussi, il serait temps d'envisager que tout le monde n'est pas égal devant les éructations diverses. On peut avoir le système digestif un peu capricieux ou carrément une maladie, des difficultés de continence... Et on n'y peut pas grand chose, à part stresser à l'idée que la terre entière pense qu'on est dégueu et que quand même, "on pourrait se retenir".
Donc oui au pet qui soulage, et non au pet utilisé comme instrument d'humiliation.