Entièrement d'accord pour la culture générale, qui n'est pas générale. J'ai utilisé le nom standard de la matière. Oui, ce n'est pas de la culture "généralisée" (jsute pour faire la différence, il n'y a aucun jugement de valeur). Oui, ce sont des codes. Mais je maintiens que ce sont des codes que l'on peut acquérir de la même façon que l'on acquiert des connaissances de maths (parce qu'au final, ce sont toujours les mêmes "passages obligés" qu'il faut ressortir). C'est la seule différence avec ce que tu dis. Oui, c'est plus facile de connaître la culture du 6ème-7ème-8ème (et tu oublies la BBP, bonne bourgeoisie de province) quand on y est né. Je n'y suis pas née, donc je l'apprends en passant des heures à la bibliothèque. Comme j'apprends le droit public, parce que je suis pas née au Conseil d'Etat. Et l'économie (ô douleur) parce que je ne suis pas née à Bercy. Et je suis persuadée que le fait de l'apprendre par moi même et non de recracher une culture familiale acquise de façon passive fait qu'au final, je suis plus crédible que d'autres quand j'en parle.
Ensuite, je ne dis pas que toutes ces expériences sont mauvaises. Si tu lis bien, tu verras que j'ai salué l'initiative de l'Essec, parce que je trouve justement que c'est celle qui permet à la fois de dire aux élèves ce qu'ils ne peuvent pas deviner tout seul : que d'autres voies existent et qu'ils sont suffisamment bons pour les tenter. Mais qui derrière, leur apporte un soutien sans leur prémâcher le travail et donc quelque part dévaloriser leur mérite. Ils ne doivent leur réussite qu'à eux mêmes, avec l'aide absolument nécessaire (le fameux capital social) d'un étudiant. Je n'ai ni nié qu'il y avait une inégalité d'accès, ni dit qu'il ne fallait y apporter aucune solution. J'ai juste dit que d'après ce que j'avais pu en en voir, la méthode scpo ne me semble pas satisfaisante. Tu vois, je crois que je sais aussi ce sont les nuances
Ensuite, je ne dis pas que toutes ces expériences sont mauvaises. Si tu lis bien, tu verras que j'ai salué l'initiative de l'Essec, parce que je trouve justement que c'est celle qui permet à la fois de dire aux élèves ce qu'ils ne peuvent pas deviner tout seul : que d'autres voies existent et qu'ils sont suffisamment bons pour les tenter. Mais qui derrière, leur apporte un soutien sans leur prémâcher le travail et donc quelque part dévaloriser leur mérite. Ils ne doivent leur réussite qu'à eux mêmes, avec l'aide absolument nécessaire (le fameux capital social) d'un étudiant. Je n'ai ni nié qu'il y avait une inégalité d'accès, ni dit qu'il ne fallait y apporter aucune solution. J'ai juste dit que d'après ce que j'avais pu en en voir, la méthode scpo ne me semble pas satisfaisante. Tu vois, je crois que je sais aussi ce sont les nuances