nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
Que je suis contente d'avoir trouvé ce forum! Vous êtes toutes tellement intéressantes avec vos lectures et vos réflexions (je vous zaiiiiiime ) Ceci dit, faut que j'arrête de squatter autant...
@Borélienne
La plupart du temps, je fais partie de « celles qui enchaînent » mais je t’avoue avoir aussi ressenti ce que tu racontes. Disons que chez moi ce n’est pas systématique et cela va grandement dépendre du livre.
Certains m’ont hantée pendant des semaines et je ne pouvais pas m’imaginer me plonger dans une autre histoire (exemple parmi d’autres, j’ai lu tous les Harry Potter en début d’année. Arrivée au bout, je n’avais tellement pas envie de quitter ce monde, ces personnages, tellement de choses me faisaient réfléchir même après coup que je n’ai rien lu pendant des mois. Hommage à ma collègue qui m’a mis un bouquin sous le nez et m’a fait « redémarrer »). A ce stade, j’ai limite l’impression de vivre une rupture amoureuse tellement l’avoir terminé me déprime. Mais il est tout de même rare qu’un livre m’obsède à ce point.
Un cran en dessous, il y a ceux que j’ai aimés, qui m’ont marquée, qui ont eu un écho en moi, que j’ai trouvé passionnants etc... Pour ceux-là, ça ne me gêne pas d’enchaîner autre chose derrière parce que je sais que je finirai par les relire. La relecture revêt chez moi une grande importance (d’où mon besoin de posséder le livre. Ceux de ma bibliothèque ont tous été relus au moins 3 fois). Je crois que c’est à force de lectures du même ouvrage que je me l’accapare, quand toi tu as besoin d’un temps dans la foulée de ta lecture.
Et puis enfin il y a les livres bien, sympatoches et les navets. Ceux-là ne me touchant pas des masses, ça me gêne pas de le fermer, tendre le bras vers ma PAL et en commencer un autre.
Tout ça pour dire que je comprends ton besoin de « digérer » un roman, pour le vivre moi-même occasionnellement. C’est un processus qui ne me choque pas le moins du monde, même si en général je fonctionne différemment.
@Borélienne
La plupart du temps, je fais partie de « celles qui enchaînent » mais je t’avoue avoir aussi ressenti ce que tu racontes. Disons que chez moi ce n’est pas systématique et cela va grandement dépendre du livre.
Certains m’ont hantée pendant des semaines et je ne pouvais pas m’imaginer me plonger dans une autre histoire (exemple parmi d’autres, j’ai lu tous les Harry Potter en début d’année. Arrivée au bout, je n’avais tellement pas envie de quitter ce monde, ces personnages, tellement de choses me faisaient réfléchir même après coup que je n’ai rien lu pendant des mois. Hommage à ma collègue qui m’a mis un bouquin sous le nez et m’a fait « redémarrer »). A ce stade, j’ai limite l’impression de vivre une rupture amoureuse tellement l’avoir terminé me déprime. Mais il est tout de même rare qu’un livre m’obsède à ce point.
Un cran en dessous, il y a ceux que j’ai aimés, qui m’ont marquée, qui ont eu un écho en moi, que j’ai trouvé passionnants etc... Pour ceux-là, ça ne me gêne pas d’enchaîner autre chose derrière parce que je sais que je finirai par les relire. La relecture revêt chez moi une grande importance (d’où mon besoin de posséder le livre. Ceux de ma bibliothèque ont tous été relus au moins 3 fois). Je crois que c’est à force de lectures du même ouvrage que je me l’accapare, quand toi tu as besoin d’un temps dans la foulée de ta lecture.
Et puis enfin il y a les livres bien, sympatoches et les navets. Ceux-là ne me touchant pas des masses, ça me gêne pas de le fermer, tendre le bras vers ma PAL et en commencer un autre.
Tout ça pour dire que je comprends ton besoin de « digérer » un roman, pour le vivre moi-même occasionnellement. C’est un processus qui ne me choque pas le moins du monde, même si en général je fonctionne différemment.