Commente En Direct Twilight

[Adybou]

Nous avions laissé Bella et Edward dans une voiture trop chauffée, alors qu'Edward annonçait à Bella qu'elle devait à présent passer à la casserole, ou quelque chose comme ça.

C'est du clickbait il procrastine le péchotage jusqu'au mariage

 

[Rocksteady]

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[Rocksteady]

je serais prêt à souffrir pour t'éviter de souffrir…de mourir.
Je me hérissai.
— Ne crois-tu pas que j'en ferais autant à ta place ?

Vous vous connaissez depuis une semaine, j'ai une relation plus sérieuse avec mon bocal de pâtes, arrêtez votre drama

@Sifer

Wait a minute...toi tu lis la version depuis le point de vue d'Edward ?

— On y va ? proposa-t-il. Je retins un gémissement. J’avais sport

— Me pardonneras-tu si je m'excuse ?

Et m'excuseras-tu si je me pardonne ?

Hahahaha @Kwoptyx tu me fais trop rire !

 

[NorthmanAddict]

Vous pensiez que j'avais oublié ce CED?

Bref, rattrapage. Je vous préviens, ça va être long

Spoiler: Chapitre 5

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Spoiler: Chapitre 6

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Bon, deux chapitres c'est pas mal, j'essaierai de le refaire dans la soirée

 

[NorthmanAddict]

Spoiler: Chapitre 7

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En fait, c'est chronophage de commenter et chercher les images/vidéos appropriées
Un seul chapitre pour ce soir

 

[Kwoptyx]

J'étais pas là hier soir, donc double-peine aujourd'hui

CHAPITRE 12 :

—Billy ! s'écria Charlie dès qu’il fut sorti de voiture. Je me dirigeai vers la maison, indiquant d'un geste à Jacob de me rejoindre sous le porche. Derrière moi, j'entendis Charlie les saluer avec chaleur.

Bella, elle, ne salue pas Billy (ni son père, mais ça, on s'en doutait), parce qu'il n'a pas l'air d'apprécier Edouard

j'eus soudain le sentiment de redevenir une gamine.

Spoiler alert : il se pourrait fort que tu en sois toujours une.

Tu restes pour le match, hein ?

J'imagine S. Meyer élaborant la très riche personnalité de ses personnages secondaires.

Et aussi, bien sûr :

Spoiler

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— Vous avez faim ? M’enquis-je en filant vers la cuisine

Je trouvais mon père bizarre, aussi. — C'est vrai qu'il n'aime pas beaucoup les Cullen. — Vieillard superstitieux, marmonna Jacob dans sa barbe.

Eh bien je vois qu'à Fourchettes-les-bains tout le monde respecte autant ses parents.

e prêtai l'oreille à ce que se racontaient les deux hommes, guettant Billy et méditant déjà la façon de l'empêcher de me dénoncer au cas où il aurait cédé à la tentation. La soirée se traîna en longueur. J'avais pas mal de devoirs qui m'attendaient. Ils allaient rester en plan, mais tant pis : j'avais trop peur de laisser Billy seul avec Charlie.

Bella est tellement persuadée que le monde DOIT tourner autour d'elle, qu'elle préfère se coucher tard et ne pas faire ses devoirs parce que voyez-vous, c'est CERTAIN qu'elle sera le centre de la discussion à un moment ou un autre.

Je lui adressai un clin d'œil et fus récompensée par le sourire charmant qui creusait ses pattes d'oie

Une description qui n'est donc pas du tout gênante entre un père et sa fille.

Bon sang ! Avait-il la moindre idée de la séduction de sa voix

Edouard est séduisant.

Ce coup-ci, son intérêt se porta sur les gens. Renée, ses passions, nos occupations communes ; puis la seule de mes grand-mères que j'avais connue, mes rares amis d’école

A sa place, je serais tout de même vachement peu sereine qu'un type à qui je parle depuis 1 semaine et qui m'a déjà stalkée mène une enquête aussi méthodique sur moi et mon entourage. Mais ce n'est que mon opinion,

— Je n'ai pas les clés sur moi. — Ta voiture sera là, et la clé sur le contact, s'entêta-t-il. — D'accord, acceptai-je, lèvres pincées.

Ok, stalker, entre donc par effraction chez mon père et moi. Toi ou n'importe qui de ta famille. Pas de souci

— Et si tu ne reviens pas, lança cependant Edward avec sécheresse, que va-t-il penser ? — Aucune idée. Il sait que j'avais projeté des lessives. Il se dira que je suis tombée dans le lave-linge.

Bella :

J'inspectai brièvement ses frères et sœurs. Ils étaient muets et indifférents à tout, exactement comme au premier jour. Sauf qu'ils n'étaient plus que quatre – leur magnifique frère aux cheveux cuivrés était installé en face de moi un éclat d'incertitude dans ses pupilles dorées.

C'est bien de le préciser, des fois qu'on aurait un doute depuis 3 pages que le frère aux cheveux cuivrés discute avec toi.
PS : Edouard est beau. Et il a des pupilles dorées.

— Avec mes talents... particuliers, murmura-t-il en effleurant discrètement son front, j'ai une capacité hors du commun à saisir la nature humaine.

Stalker les gens, un incroyable talent.

Soudain, Rosalie, la blonde époustouflante, pivota vers moi. Elle ne me regarda pas, elle me poignarda de ses prunelles sombres et froides.

(Blonde = méchante, tout le monde a bien compris ?)

il se prit la tête entre les mains, dans un élan d'angoisse absolue.

J'imagine la scène jouée de manière bien trop théâtrale par un mauvais acteur. Mais force est de constater que c'est juste, la manière dont elle est écrite.

Un bout de papier gisait sur mon siège. Je m'installai et refermai la portière avant de le déplier. Deux mots, rédigés de sa belle écriture. Sois prudente

ET IL COMPTE ARRÊTER QUAND, L'AUT' VAMPIRE, DE LUI RÉPÉTER QU'ELLE EST UNE CHOSE FRAGILE QUI NE SAIT RIEN FAIRE D'AUTRE QU'ETRE UN DANGER POUR ELLE-MÊME ? (Spoiler : jamais, ça lui permet de la maintenir sous sa coupe)

Charlie me parut ailleurs, préoccupé par le travail sans doute, ou un match de baseball, à moins qu'il ne se délectât tout simplement des lasagnes – c'est difficile de savoir

Les zhommes viennent de Mars, ils sont siiii compliqués : Boulot ? Matchs à la télé ? Bouffe ? Tant de centres d'intérêt si complexes et si variés !



[Bella se découvre une passion pour le mensonge et contacte donc l'intégralité de ses 3 contacts -hors-Edouard- pour leur mentir]

— Non, ne change pas tes plans. J'ai des tonnes de trucs à faire. Des devoirs, la lessive...

Mais bordel de nouille, ça fait 5 fois déjà que tu la mentionnes, cette foutue lessive. C'est bon, je pense que tout le monde a compris quelle ménagère dévouée tu es.

Après le repas, je pliai du linge propre et lançai un nouveau cycle de séchage.

QU'EST-CE QUE JE VIENS DE DIRE !?

Sachant que j'étais trop énervée pour dormir, je m'autorisai une folie et avalai un médicament contre le rhume dont je n'avais absolument pas besoin,

— Mets ta ceinture, j'ai déjà la frousse. — Prends la 101 en direction du nord, m'ordonna-t-il. J'eus beaucoup de mal à me concentrer sur la route, sachant qu'il me couvait des yeux. Du coup, je traversai encore plus lentement que d'ordinaire la ville endormie. — Tu as l'intention de quitter Forks avant la nuit ? M’apostropha-t-il.

Lol lé femme sa ces pa conduir

— Et qu'y a-t-il après la chaussée ? — Un sentier. — On part en balade ? Sur ce, il s'enfonça dans les bois. — Mais le chemin ? Bêlai-je, paniquée, en courant autour du camion pour le rattraper. —Je n'ai jamais dit que nous l'emprunterions.

Habile : maintenant qu'elle a pris soin de dire à tout le monde qu'elle allait à Seattle, puis que non en fait elle rester à la maison faire le ménage... Il peut l'emmener dans les sous-bois, dans un endroit où personne ne se doutera qu'elle est allée, pour mieux se délecter de son sang. Le crime parfait.

Il était trop parfait, me rendis-je compte, désespérée. Il était impossible qu’une créature aussi divine pût m'être destinée.

Ah au fait, Edouard est beau.

Mes impressions sur ce chapitre :

[/QUOTE][/QUOTE]

 

[Kwoptyx]

Et le chapitre treize.

Donc Edouard est au soleil et Dracula se retourne dans son cercueil.

Ses paupières couleur lavande étaient fermées

Edouard s'est maquillé ce matin. ENFIN un message sympa ! C'est bien Edouard, fais ce qui te chante !

Moi aussi, je profitai du beau temps, bien qu'il ne fît pas assez sec à mon goût.

C'était le point "Bella désapprouve la météo du jour".

La clairière, si spectaculaire au premier abord, pâlissait devant tant de magnificence. Hésitante, toujours aussi effrayée qu'il disparût tel un mirage tant il était trop beau pour être vrai...

Edouard est beau, donc.

—Je ne t'effraie pas ? Plaisanta-t-il. Je sentis pourtant une réelle curiosité derrière le badinage affiché.

C't'à dire que les paillettes, c'est pas l'accessoire n°1 du Méchant crédible.

—Je t'embête ? Murmurai-je, car il avait refermé les yeux. — Non. Tu n'imagines pas les sensations que tu me procures.

—Je t'embête ? Murmurai-je, car il avait refermé les yeux. — Non. Tu n'imagines pas les sensations que tu me procures.

. Son visage d'ange n'était qu'à quelques centimètres du mien.

Edouard est beau.

pour la seconde fois depuis que je le connaissais, je humai son haleine. Instinctivement, je me penchai, inhalant à plein nez.

— Désolé, marmonna-t-il avec un sourire hésitant. Comprendrais-tu si je te disais n'être qu'un homme ?

(Message du jour : les hommes pensent avec la bite. Edouard a bel et bien inspiré Cricri.)

jamais il n'avait été aussi peu humain, ni plus beau.

Edouard est beau.

Ses yeux magnifiques semblaient briller d'une âpre excitation. Ils se ternirent peu à peu, et son visage retrouva le masque de tristesse qui était le sien d'ordinaire.

S'il y a bien une chose que ces deux lascars ont en commun, c'est leur irrépressible joie de vivre.

Dans un mouvement délibérément mesuré, il se baissa jusqu'à ce que nos yeux fussent à niveau.

[Enième dialogue chiant à base de "Je suis attiré.e par toi mais je ne devrais pas"]

[Le dialogue chiant s'éternise]


.
.
.
.
.
.

Qui étais-tu, petite fille insignifiante (il eut un grand sourire)

Bella... Tu es désormais l'élément le plus important de ma vie. De toute ma vie.

Sauf que techniquement, tu es plus ou moins mort

Je ne pensais à rien

On sait.

Je suivis le tracé de son nez parfait puis, encore plus prudemment, de ses lèvres au dessin magnifique

Edouard est beau.

D'autres faims me dévorent, cependant. Des pulsions qui m'échappent, même à moi. Qui me sont étrangères. — Tout ça m'est beaucoup plus familier que tu ne le penses.

Hou, ça devient torride.

Sa bouche se tordit en ce sourire en coin si craquant,

Edouard est beau.

Jamais il n'avait été aussi heureux.

Tu le connais depuis 10 jours seulement, qu'est-ce que tu en sais

Sa beauté m'étourdit

Bon ben c'était prodigieusement inintéressant.

 

[Kwoptyx]

Je serais plus rassuré si je te gardais à

Et la phrase s'arrête là, en plein milieu

A la cave. Sous clé. En sécurité.

 

[Membre supprimé 276733]

Je viens de regarder le film pour voir comment tout ce mépris, cette mièvrerie, cet égocentrisme et cet apologie de la beauté se ressentait.

Bah... Pas autant. Certes, l'histoire est cul-cul et tout arrive trop vite à un "je t'aime à en mourir". Mais la plupart des remarques méprisantes et condescendantes de Bella ont été évitées :
- par un transfert à un autre perso (c'est Jessica qui lui dit qu'elle n'a pas le look d'une blonde bronzée typique, par exemple),
- par une création de nouveaux liens (Jacob et elle sont présentés comme des très bons amis d'enfance, au point que les confidences sur les vampires ne semblent pas avoir été obtenues par une sournoise séduction, mais juste parce qu'ils sont... potes),
- par la déportation d'échanges (Charlie lui offre la voiture quand elle arrive, donc pas de discussion gênante dans la voiture (et si elle a eu lieu, on n'en a pas connaissance), Bella en tombant donc amoureuse dès le début),
- par des ellipses temporelles (la fin du cours de SVT assez tôt pour ne pas donner l'idée que Bella soit autaaant meilleure que ça, juste bonne),
- par une modification de ses rapports aux autres (avec Jacob donc, mais aussi avec Charlie, qu'elle semble beaucoup aimer, ou pour sa mère, qu'elle ne laisse pas du tout en plan, ou même Phil, qu'elle dit adorer : Bella aime tout le monde !),
- par un manque d'accès aux pensées de la jeune fille (on n'a pas la répétition des descriptions mélioratives d'Edward, du mépris adressés aux autres perso (ses amis notamment), de la météo en continu, etc.). D'ailleurs, niveau météo, elle se moque même d'Edward quand il lui parle de la pluie, donc ce n'est plus le même refrain.
- par réduction des détails inutiles donnés. Elle n'a qu'UN cours de sport, elle ne dit qu'lle est maladoire qu'UNE fois (quand elle manque de se viander sur du verglas), elle ne découvre pas les chaînes puisque Charlie lui dit entre deux scènes "J'ai changé tes pneus", elle ne va pas faire les courses, elle ne fait pas la cuisine, elle accepte en UNE fois d'aller à la plage, etc. Elle est un peu chiante, pas passionnante... mais pas comme dans le bouquin.

Au final, Bella semble juste peu à l'aise avec les gens, timide et plutôt gentille et attentionnée. Par ailleurs, elle n'est plus courtisée par tout le monde, si Eric et Taylor sont très familiers avec elle, ils semblent l'être avec tout le monde et ne pas avoir de sentiments pour elle. Quant à Mike, on en parle un peu plus, mais voilà, ça arrive de plaire à un type qui ne nous plaît pas et pour qui une copine en pince, rien de Marysuesque là-dedans.

Même les situations sexistes sont pas mal évacuées : par exemple, pour l'agression, la conversation est très vite écourtée et détournée par une remarque un peu drôle, et Edward, qui dit avoir besoin de se calmer, ne la culpabilise pas et semble réellement lui demander de le distraire parce qu'il a des pulsions meurtrières. Pour le repas, elle ne dit jamais ne pas avoir faim. Et Edward dit même "Je crois que je vais inviter Bella à dîner. Enfin, si elle est d'accord." à ses copines quand celles-ci disent à Bella "On y va ?".
Bon, il fait quand même son emo.
Ah, et la serveuse n'est pas blonde. Point important.

La sensation de malaise dans la salle de classe avec Edward est bien retransmise, aussi. On comprend que cela la perturbe un peu, en fait. Il la traite vraiment comme une pestiférée. Et il est moins aimable quand elle tombe sur lui dans le bureau de la secrétaire, il dit même en passant à côté d'elle qu'il lui faudra donc souffrir (quand je disais qu'il faisait son emo). C'est pas facile à entendre quand ça vient du beau gosse que tu espérais pécho.

Je note quand même le fait qu'elle reste apathique quand il lui dit la regarder dormir très souvent depuis deux mois. Il y avait une scène, où elle dit avoir rêvé de lui pour la première fois, où on le trouve debout dans sa chambre quand elle se réveille, et disparu quand elle allume la lumière. J'avais trouvé ça méga flippant, je trouve ça fou que ça ne lui fasse rien de plus. Enfin, la conception de la scène évite de montrer le rêve, encore un truc qu'on nous épargne.

Ah, et j'ai bien aimé le clin d'oeil pour la couverture du livre quand Edward attrape la pomme, l'épaississement de la personnalité de Charlie, ou les encouragements faits à Angela pour qu'elle invite Eric.

En clair... Le film semble vouloir éviter les écueils de ce fascinant tome. Et si ce n'est pas vraiment mon type, je comprends qu'on puisse être "fan" du film, notamment à l'adolescence.

 

[greenapple]

Quand je vous lis, je me félicite de l'avoir lu en anglais. Non seulement ça m'a permis de l'entretenir avec un vocabulaire simple et répétitif, mais en plus ça permet d'éviter cette traduction atroce qui sublime le creux de son style.

 

[Kwoptyx]

Et ce chapitre 14 s'ouvre sur Bella et Edouard-le-scintillant en train de parler dans la voiture, avec moult coquilles dans le texte. Comme vous vous en doutez, on se fait plutôt chier.

— M'avoueras-tu jamais ton âge ? Poursuivis-je, un peu hésitante, car je ne tenais pas à gâcher son entrain.

Bella a la trouille de poser des questions à Edouard. FUIS ma grande, FUIS, c'est un red flag.

Il soupira, puis plongea ses yeux dans les miens

Mais ils sont de quelle couleur, ses yeux ?

il m'avoua qu'il était né à Chicago en 1901. Il vérifia d'un coup d'œil comment je réagissais, et je pris soin de rester impassible, attendant patiemment la suite.

Donc, un mec âgé de plus de 100 ans, plus vieux que ton arrière-grand-père, bande littéralement sur toi et tes 17 ans, mais tout ce que tu vois c'est son corps d'ado donc ça te laisse impassible.

Edouard explique avec plein d'admiration que Carlisle sévissait jadis dans les hôpitaux à la recherche de personnes à l'agonie pour en faire des vampires, parce qu'il se sent seul.

C'est juste Carlisle. Il n'imposerait jamais ce choix à qui aurait une autre solution.

Du coup on n'appelle pas vraiment ça un choix, si la personne n'a pas d'autre solution, n'est-ce pas ?

—C'est la première fois que je passe autant de temps en compagnie de quelqu'un qui a besoin de se nourrir

Ben non banane, t'as été un humain pendant 17 ans tout de même.

J'avais du mal à envisager cette créature divine assise sur une des pauvres chaises de mon père

Bella-le-mépris est de retour.
Doudouard pose bien son cul sur des pauvres chaises d'école depuis des dizaines d'années, celles de ton père ne vont pas se dissoudre à son contact...

J'entendis sa portière se refermer en douceur et, presque simultanément, il fut de mon côté, ouvrant galamment la mienne. — Voilà qui est très humain, le complimentai-je.

Ce que tu dis n'a aucun sens.

— Tu m'as espionnée ? Je ne réussis pas cependant à insuffler à mon ton la colère nécessaire. En vérité, j'étais flattée.

Je crois qu'à ce stade, on peut déclarer l'état de mort cérébrale.
Un type âgé de plus de 100 ans passe ses nuits à entrer chez toi par effraction pour te mater pendant que tu baves sur l'oreiller, dans un long silence gênant. Creepy/20 Et toi, tu. es. flattée.

— A quoi occuper mes nuits, sinon ? — Combien de fois es-tu venu ici ? —Je te rends visite presque toutes les nuits.

Edouard dit à Bella qu'elle parle en dormant.

Ta mère te manque, tu t'inquiètes à son sujet. Et le bruit de la pluie t'énerve. Au début, tu parlais souvent de chez toi, là-bas, c'est moins le cas, à présent. Une fois, tu as dit : « C'est trop vert ! »

Même la nuit, il faut qu'elle se plaigne de la météo.

La clé de Charlie tourna dans la serrure. — Bella ? Appela-t-il. Ce genre d'habitude m'agaçait – qui d'autre pouvait être à la maison ?

Ton stalker, par exemple ? Celui qui vient de te dire qu'il venait quotidiennement ?

Je m'occupai de son repas tout en avalant le mien – je me brûlai la langue d'ailleurs.

C'était très intéressant.

Le rêve de tout père, que sa fille ait quitté la maison avant que ses hormones ne se mettent à la travailler

L'idée qu’un garçon hantait ma chambre

Plutôt un vampire. Plutôt un vieux, d'ailleurs.

, je m'attardai sous la douche, désireuse de profiter au maximum des bienfaits de l'eau chaude. Je m'interdis de penser à Edward assis dans ma chambre

Ce qui est sage, sachant qu'il est probablement dans la salle de bain en train de te mater sous la douche.

il éclata d'un rire silencieux mais plein d'exubérance

— Alors, ne t'éloigne pas, répondis-je, incapable de dissimuler mon désir. — D'accord ! Plaisanta-t-il. Qu’on amène les fers, je serai ton prisonnier

E.L. James n'a rien inventé.

Edouard qui décrit la jalousie qu'il a ressentie lorsque Mike a invité Bella au bal :

—J'ai été déconcerté par l'élan de colère, de furie presque, que j'ai ressenti et, d'abord, je ne l'ai pas identifié pour ce que c'était. J'ai été encore plus exaspéré que d'ordinaire

Voilà une réaction tout à fait saine et mesurée.

J'avais conscience que si je continuais à t'ignorer ou que si je m'en allais pour quelques années, jusqu'à ce que toi, tu sois partie, tu finirais par dire oui à Mike ou à un type comme lui. Ça me rendait malade.

Tu comprends Bella, il est hors de question que tu aies une vie à toi, même si moi, je pars faire ma vie ailleurs. "Oh can't youu seeeee... you belonggg to meeeee... How my poor heart aaaches with every step youuu take." *air connu*

—J'aurais dû me douter que tu nous espionnerais, grognai-je. — Comment voulais-tu qu'il en aille autrement !

de sa paume libre, caressa mes cheveux.

Je ne me sens privée de rien. — Pas encore.

Sauf du choix de tes fréquentations, du choix de conduire ou non, du choix de tes sorties, de toute notion d'intimité, de ta vie privée...

Donc ils sont sur le lit de Bella, enlacés, et les hormones en feu.

— Puisque tu ne veux pas dormir... commença-t-il, moqueur. Je cessai de respirer. — Oui ? — Que veux-tu faire ? —Je n'en sais rien. — Tiens-moi au courant quand tu auras décidé.

DES BROWNIES ! ON N'A QU'A FAIRE DES BROWNIES !

— Tu as dit que Rosalie et Emmett se marieraient bientôt. Est-ce que... ce mariage... représente la même chose que pour les humains ? [...] — Ta curiosité avait-elle un but précis ? — Je me demandais juste... à propos de toi et moi... un jour...

Mais... mais vous vous parlez depuis 10 jours seulement...

Un chapitre emmerdant mais révolutionnaire à bien des égards : on n'a presque pas parlé de météo, ni de la couleur ocre-dorée-miel en fusion des yeux d'Edouard, et on n'a pas trop répété à quel point il est beau - le thème du jour, c'était plutôt à quel point il est surnaturel (archange, divin, mythique, blablabla).

 

[Clèves]

@Kwoptyx En fait quand Bella parle de "mariage" à Edward, elle ne cherche pas à évoquer la possibilité d'une douce union de cette nature entre eux (ce qui serait bien trop chelou même pour Twilight ) ; en réalité c'est une manière détournée de lui demander si les vampires baisent D'où le dialogue qui suit :

— Je me demandais juste... à propos de toi et moi... un jour...

Aussitôt, il retrouva son sérieux. Je le sus en sentant son corps se figer. Automatiquement, je cessai de bouger moi aussi.

— Je ne crois pas que ce... que ça serait possible pour nous.

— Parce que... cette intimité serait trop difficile à supporter pour toi ?

— Sans doute. Mais ce n'est pas ce à quoi je pensais. Tu es si douce, si fragile. Je dois sans arrêt veiller à mes actes pour ne pas te faire du mal. Je pourrais te tuer si facilement, Bella, par accident.

(Soit-dit en passant qui ne rêve pas d'un petit copain qui de son propre aveu pourrait nous tuer au cours d'une partie de sexe endiablée ? )

— Si je me précipitais, ou si, le temps d'une seconde, mon attention se relâchait, je pourrais, en touchant ton visage, t'écraser le cerveau par mégarde.

#romantik

Bref du coup ça me fait rire parce qu'on voit vraiment à quel point Meyer est vieux jeu et à côté de la plaque : quelle adolescente en 2005 (l'année de parution du bouquin si je me souviens bien) évoquerait le mariage comme moyen détourné de demander à son crush/petit copain s'il est intéressé par le sexe ? Même si Bella est une jeune fille timide peu habituée à évoquer le sujet avec un garçon qui lui plaît, c'est totalement archaïque