Témoignage - La vie sexuelle après un viol

10 Avril 2012
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Montgeron
mavieestpalepitante.tumblr.com
Ce qui t'es arrivé est monstrueux et ne devrait pas arriver dans un monde qui se veut civiliser ... Après on ose emmerder (non je ne pèse pas mes mots) les filles qui luttent pour montrer que les violences persistent.
Les larmes me sont venues aux yeux en lisant ce texte ... Courage petite Mad je te souhaite de trouver quelqu'un de vraiment bien.
 
27 Juillet 2011
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LILLE
Bonjour,

Je suis la Mad' à l'origine de ce témoignage. Je vais tenter de répondre de manière aussi précise que possible, et de n'oublier personne. Pour ceux à qui je ne réponds pas directement, c'est soit que je considère avoir déjà répondu en répondant à quelqu'un d'autre, soit que je n'ai rien à répondre. Mais si je suis passée à côté d'une question, n'hésitez pas à la reposer.

Tout d'abord, je savais qu'il y aurait des réactions, et certaines moins agréables que d'autres à lire, mais je ne pensais pas autant choquer. J'en suis désolée, j'ai écrit ce texte avec mes tripes, c'est la première fois que je faisais le point comme ça sur mon expérience, sans avoir conscience de ce qui pourrait être désagréable à lire pour les autres.

Allez, c'est parti.

Jean Grey : Comme tu l'as deviné, mon but ici n'était pas spécialement de dénoncer (même s'il y a beaucoup à dénoncer sur ce sujet), mais de m'exprimer, de faire le point, et de partager tout ceci avec des personnes qui ne me connaissent pas. Mon but était aussi de voir si d'autres filles avaient eu la même réaction que moi, et si cette réaction était comprise des autres.
Pour le "au fond, je ne suis pas sûre d'en avoir envie", je ne parle pas du fait d'être respectée. J'ai le sentiment désormais de l'être, à la fois par moi-même et par les hommes. Je pense plutôt au fait de "sacraliser" un peu plus le sexe, de ne plus coucher avec des hommes uniquement par envie physique, sans barrières psychologiques.

PinkyLemon : Je ne pense pas vraiment reproduire le même schéma. Au contraire, je me sens toute puissante à ces moments là, je répète l'inverse de ce qu'il s'est passé. Enfin, peut être ai-je tords, je ne suis pas sûre d'être très douée pour m'auto-analyser.

Et désolée de te rappeler des mauvais souvenirs avec mon histoire. Courage !

Jicky : Désolée que mon texte t'ait autant retournée. J'ai l'impression de m'en être déjà sortie quand je pense à ce que j'ai du traverser pour en arriver à comme je suis heureuse désormais =)

fileuse : Désolée aussi pour le choc. Je suis d'accord pour le titre, mais on n'a pas eu d'idée plus pertinente

Mistake : Je n'ai jamais porté plainte. C'est bête, et égoïste pour leurs potentielles autres victimes, mais je ne me sens pas capable. Certaines personnes de mon entourage sont au courant, quatre ans plus tard j'ai commencé à accepter d'en parler, petit à petit, mais de manière assez vague. Personne ne connaît les détails de mon histoire, à part ma meilleure amie à qui j'ai fait lire ce texte.

Antigone : J'ai longtemps cherché à comprendre aussi ce qui les avait poussé à agir ainsi. Mais je n'ai jamais réussi. Pourtant ils étaient sympathiques, certains étaient même très mignons... Bref, le genre de mec qui, s'il le veut vraiment, arrivera forcément à ramener une fille volontaire chez lui. Je pense que les raisons qui poussent à cet acte dépassent l'entendement.

Temperance : Merci pour ton témoignage. J'espérais voir que je n'étais pas la seule à avoir eu cette réaction. J'espère avoir la chance, moi aussi, de rencontrer quelqu'un qui arrivera à inverser la tendance.

Opium. : Je suis parfaitement d'accord avec toi, cette histoire m'a beaucoup atteinte, et a laissé des séquelles qui me touchent au quotidien (Tu as très bien imagé l'incompatibilité entre sexe et sentiments). Mais à côté, ça m'a apporté une force de vaincre, et souvent je me dis que sans cet épisode, je n'en serais pas où j'en suis aujourd'hui. C'est en ça que je pense que ça m'a construite

Li-Loo : Tu as très bien expliqué la situation, avec le besoin d'écrire comme une thérapie. Et je te remercie pour les idées d'endroits où aller parler, j'y réfléchirai, ça peut m'aider, même si pour le même je ne m'en sens pas capable.

sabrinalafraise : Merci pour ton long témoignage. Même si c'est dur à vivre, je suis en quelques sortes "contente" de voir que je ne suis pas la seule. Ca fait un bien fou de se sentir comprise !

CocomicStrip : Effectivement, j'avais besoin de m'exprimer aussi "trash", de ne pas omettre les détails, car je ne l'avais jusqu'à présent jamais fait, même dans ma tête. C'est une manière de réussir à prendre de la distance avec cet épisode de ma vie.

mambomeplease : Merci à toi aussi pour ton témoignage. Ca soulage de se sentir moins seule dans cette situation, se sentir comprise. Et merci pour le lien vers l'appel. Je pense que je vais y répondre, mettre ma petite pierre à l'édifice (tant que tout ceci reste anonyme bien sûr), quitte à me rétracter si on insiste trop. Tu n'as pas à te sentir coupable d'en parler. D'ailleurs, si tu as envie d'en parler, n'hésite pas à m'envoyer un mp sur cet identifiant.

Oawks : J'y ai déjà pensé, ou plutôt, on me l'a déjà suggéré. Mais pour le moment, je n'en ai ni le courage, ni les moyens financiers. On m'a suggéré des idées gratuites dans un des commentaires, je vais y réfléchir car je sais que ça m'aiderait. Mais entre, huit ans plus tard, enfin faire le point là dessus, par écrit, anonymement, et en parler, il y a un gros pas à faire.

daffy duck : Merci pour ton petit message d'encouragement =)

Orangecandyx : J'avoue que dans un premier temps, j'ai été un peu déconcertée par les réactions, surtout que les premières étaient assez négatives. J'ai même regretté un instant d'avoir témoigné, quand j'ai lu que certaines ne comprenaient pas le but de mon témoignage par exemple. Mais avec du recul, je peux très bien comprendre que certains aient du mal à appréhender tout ça, que j'ai pu en choquer certains, etc... Donc finalement, je ne m'en formalise pas, et apprends de chaque commentaire, plus ou moins encourageant.

J'espère avoir répondu à vos interrogations, mais n'hésitez pas à demander plus d'informations.

Merci pour toutes vos réactions, plus constructives les unes que les autres.
 

Fab

Fondateur de mad
30 Septembre 2005
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Paris
www.fabflorent.com
Une madmoiZelle;3393711 a dit :
Bonjour,

Je suis la Mad' à l'origine de ce témoignage. Je vais tenter de répondre de manière aussi précise que possible, et de n'oublier personne. Pour ceux à qui je ne réponds pas directement, c'est soit que je considère avoir déjà répondu en répondant à quelqu'un d'autre, soit que je n'ai rien à répondre. Mais si je suis passée à côté d'une question, n'hésitez pas à la reposer.

Un grand merci à toi pour tes réponses et ta disponibilité !
 
5 Septembre 2008
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J'ai failli pleurer en le lisant. C'est tellement horrible pour toi. Je ne peux pas m'empêcher de me dire que malgré ça, eux, se promènent tranquillement, vivent, font des rencontres et peut-être recommencent des actes du même genre sans être le moins du monde inquiétés.

Merci, merci et encore merci de l'avoir publié. C'est dur à lire mais c'est absolument génial de se dire que tu l'as écrit avec tes tripes, sincèrement et sans avoir édulcoré. Je t'envoie un colis chargé de bisous :fleur:

Ceci a également soulevé une de mes plus grandes peur : être confrontée à ce genre de situation et d'être incapable de se défendre, d'hurler, d'appeler à l'aide. C'est vraiment le genre de chose qui me tient éveillée la nuit, certains soirs.
 
27 Janvier 2012
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Rouen
fileuse;3392676 a dit :
En dépit du témoignage (difficilement soutenable), je pense aussi que le titre est mal choisi... C'est une façon de voir les choses et de dépasser le traumatisme qui est décrit, je pense que ce n'est pas la seule.
Je suis assez ... bouleversée en fait.

idem.. je ne me sens pas très bien

Par contre je ne trouve pas le titre très approprié
 
A

Ancien membre

Guest
Je n'ai pas pu tout lire, peu après le passage où la madmoizelle dit se demander des années après si c'est bien arrivé, si elle aurait du faire ci ou dire ça, ça a été trop dur pour moi. Les détails sont difficiles mais ce qui est insoutenable pour moi et qui résonne trop en moi, c'est ce qui suit, et à quel point ça peur détruire une personne.

En tous cas, merci pour le témoignage.
 
F

frenchyfrie

Guest
Je voulais remercie la Madmoizelle pour son témoignage. merci du fond du coeur parce que pour la première fois depuis des années je n'ai pas l'impression d'être seule, je n'ai pas l'impression d'être folle.
Pas mal de commentaires précédents soulignent le fait que tu n'as certainement pas cicatrisé cette blessure. On ne cicatrise jamais vraiment, on apprend à vivre avec. Je commence seulement à sortir la tête de l'eau et ça fait 7 ans (dont 4 de thérapie). Réapprendre le sexe et l'amour c'est un long travail. Et je comprends ce que tu vis, ce que tu ressens.
Un jour, j'espère, tu seras capable de "faire l'amour" et non pas t'envoyer en l'air avec la personne que tu aimes et en qui tu as confiance. Un jour, j'espère, y arriver aussi.
 
16 Février 2009
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Orangecandyx;3393565 a dit :
je pense que ce type de blessure, même sans l'avoir vécu, ne guérit jamais vraiment.

Alors ça, je doute que se soit une fatalité!
Je précise que je ne veux pas t'agresser ou m'en prendre à toi spécifiquement, je profite juste de ton poste pour rebondir dessus et faire part de mon sentiment par rapport à ça. Parce que l'idée qu'un viole flingue à vie est trop répandue et n'aide certainement pas les victimes à s'en sortir.

A mon avis, une grosse partie du traumatisme lié au viol est due à l'image que la société nous renvoie de nous-même. Parfois de façon très directe, et parfois parce qu'on en intériorise les représentations et les codes.

Déjà, la culpabilité. L'auteure explique bien pourquoi elle culpabilise : elle se reproche de ne pas s'être défendue, et d'avoir allumé le mec en question.
Sauf qu'on n'apprend pas aux filles à se défendre contre le viol. On devrait leur dire qu'un mec n'a pas à leur faire des avances trop insistantes, à passer outre leur refus, à les toucher sans leur consentement, quelles que soient les circonstances (lieu, heure, tenue de la fille...). On devrait leur enseigner qu'elles disposent de leur corps librement, et peu importe ce qu'elles en font, elles n'ont pas à répondre des réactions qu'il peut susciter auprès d'autrui.
Au lieu de ça, on fabrique des victimes en puissance en les mettant en garde contre l'homme aux pulsions incontrôlables et on leur apprend qu'elles s'exposent à des risques en s'habillant trop court ou en sortant trop tard dans certains quartiers. Non seulement ça leur donne le sentiment d'être à la merci des hommes dont le désir sexuel prévaut "naturellement" sur le leur, mais en plus elles portent la responsabilité de ce qui peut leur arriver, puisque se sont ELLES qui ont tenté le diable. Autre conséquence : les filles sont peu à peu exclues de l'espace public puisqu'à certaines heures et dans certaines tenues, il devient dangereux de s'y aventurer. Cerise sur le gâteau : ça déresponsabilise complètement les agresseurs. C'pas d'leur faute, ils ont été provoqués!

Ensuite, comparé à d'autres types d'atteintes à l'intégrité physique (tabassage, blessure par balle ou à l'arme blanche par exemple), le viol semble revêtir une dimension particulièrement humiliante et dégradante, beaucoup de victimes disent par exemple, avoir été "salies". Et ça, ça pose question aussi.
Par définition, le viol c'est une pénétration forcée, et dans l'imaginaire collectif, cette agression représente une invasion de l'intimité. Déjà, pourquoi situer anatomiquement le siège de l'intimité dans le vagin? Peut-être parce qu'on a un peu trop tendance à sacraliser ce dernier? Il attire, il dégoute, il fait peur, il fascine, il en sort tout un tas de substances et il donne la vie. Et puis surtout, on peut juger une femme à ce qu'elle fait de son vagin (dans certains pays on estime que la valeur d'une jeune fille tient à un hymen intact).
Bref. Si on est convaincu que son sexe représente ce qu'on a de plus intime et intouchable, quand il est pénétré de force, on le vit très, TRES mal. En clair, pour voler quelque chose, il faut qu'il y ait quelque chose à voler. Si on estime que le sexe est aussi neutre que le bras ou le pied, y pénétrer de force ne représente plus grand chose sur le plan symbolique.

Et enfin, le traitement réservé par la société aux victimes de viol achève d'en faire des martyres, brisées à vie. Je me rappelle avoir assisté au procès d'un mec qui avait violé des gamines de 7 à 9 ans. Une experte psychiatre avait été convoquée et avait expliqué à la barre qu'à l'adolescence ces fillettes subiraient de graves troubles et n'auraient jamais une sexualité normale. Comment se relever d'une épreuve comme le viol, si dans l'oeil du thérapeute on se voit condamnée à en porter les stigmates psychologiques jusqu'au dernier soupir?
La société attend aussi une certaine attitude des victimes de viol. On n'est pas sensé se remettre aussi facilement d'une violation de sa sacro-sainte intimité. Celles qui commettent l'affront de mener une vie sexuelle et amoureuse épanouie, qui persistent à séduire et à bien vivre leur vie n'ont pas dû souffrir assez, l'ont bien cherché ou n'ont pas vraiment été violées.
Les victimes ont bien souvent intériorisé ces principes avant même d'avoir été violées, et se conformeront à l'attitude qu'on attend d'elles : vie sexuelle, amoureuse et psychique entachées à vie par leur expérience.

Pour toutes ces raisons, je pense que le traumatisme du viol n'est pas une fatalité et qu'on peut s'en relever.
Bien entendu, mon post n'est pas à prendre comme un jugement contre les filles qui ont du mal à se remettre d'un viol, et je ne cherche pas non plus à minimiser leur souffrance. J'espère juste apporter un peu d'aide à celles qui se débattent dans tout ça.
 
F

frenchyfrie

Guest
En réponse à Opium (désolée je suis nouvelle, je n'ai pas bien compris comment faire les citations des autres...)

Sans être tout à fait d'accord avec toi, je comprends ton point de vue. Et depuis quelques temps déjà, je milite contre l'idée qu'avoir été violée fait d'une fille une victime éternelle. Etre une victime est quelque chose que l'on doit porter toute sa vie, comme un fardeau. Parce que dans notre société, si on a été un jour une victime, alors on doit l'être toute sa vie. Cependant, se remettre d'un viol, s'en remettre réellement, est un long processus qui demande beaucoup de temps, patience, énergie et qui est très douloureux. Je ne pense pas être pour tout le reste de ma vie "une fille violée" ou une "fille victime de viol". Mais cela restera, définitivement, une part de qui je suis, une expérience de mon passé qui me construit (quand elle ne me détruit pas) et qui me fait avancer. Il est important de faire en sorte que ce traumatisme arrête de faire si mal, arrête d'être si compliqué à gérer, pour pouvoir enfin s'épanouir. Mais il y a aura toujours, au fond de moi, la fille de quinze ans qui n'a rien vu venir, n'a rien compris et a subi. Mais cette fille de quinze ans ne doit pas déterminer entièrement qui je suis aujourd'hui.
Le processus judiciaire pour porter plainte pour viol oblige la fille à se refaire violer sur la place publique. je ne sais pas comment on pourrait améliorer la procédure, mais dans son état actuel, elle n'aide pas vraiment les victimes à affronter leurs démons.
Je ne connais personne qui se soit tout à fait remis d'un viol. Mais j'en connais qui vivent bien avec ce passé, avec ce traumatisme. Et ça me donne espoir. On n'efface pas le passé, on apprend à vivre avec.
Bon courage à toutes celles qui doivent vivre avec ça. On ne va pas baisser les bras et leur donner raison.
 
S

sozelle

Guest
Je me dois quand même de réagir sur les posts d'Opium. Je comprends parfaitement ton point de vue, notre société réduit les victimes de viols à des victimes à vie, à des "filles qui ont étés violées", et elles n'ont pas le droit de s'en remettre, comme on l'a déjà expliqué plus haut. Notre société a aussi tendance à, implicitement, condamner ses filles. Dans les médias, quand une fille est violée, elle est toujours en minijupe et/ou aguicheuse. On montre que c'est elles qui le cherchent, que la fille lambda est à l'abri de ça.

On est d'accord sur le fait que ce soit honteux, et qu'on doive avancer sur ça, que nos sociétés doivent évoluer.

Par contre, je suis absolument pas d'accord avec le fait que si le viol est aussi traumatisant, c'est parce que la société nous dit qu'il l'est. Je ne suis pas non plus d'accord avec ton paragraphe qui dit qu'on ne souffre d'un viol que parce que l'on considère le vagin/le sexe comme "sacré" ou "important". Premièrement, parce que le sexe ne représente pas la même chose pour tout le monde, et que c'est bien là l'une de nos libertés les plus primordiale : décider de comment on voit le sexe et de comment on vie sa sexualité. Si une fille/une femme décide que pour elle, le sexe est indissociable des sentiments, c'est son droit, société ou pas société.

Ensuite, parce que même sans la dimension que je viens d'évoquer, j'ai l'impression qu'il y a un truc auquel on ne pense pas : comment ne pas se sentir "sale", "souillée", quand un être tierce, sans droit de décision sur nous, nous utilise comme un objet sexuel pour satisfaire son plaisir ? Comment ne pas se sentir blessée dans son honneur et dans son amour propre quand on vient de se faire littéralement utiliser, et ainsi, mis face à pas mal d'horreur ? Non, ce n'est pas normal, personne ne devrait avoir a se sentir honteuse et blessée d'avoir été violée, tout simplement parce que c'est l’agresseur qui est tombé plus bas que terre. Mais c'est compréhensible, et on ne peut pas toujours tout remettre sur le dos de la société qui nous influence, parce que desfois, ça va plus loin que ça.

Mais on est tout à fait d'accord sur le fait qu'il est primordial pour les victimes de se relever ensuite, de ne pas rester une victime, et de pouvoir continuer à aimer, à s'aimer, et à coucher avec qui on veut comme on le veut sans culpabiliser, même si ce n'est pas toujours facile.
 
29 Juin 2009
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GUINGAMP
Merci à la Madmoizelle pour son témoignage, ses réponses et sa disponibilité.
Ton récit m'a bouleversé certes, mais dans le bon sens. Je pense qu'il donne envie de se battre, de se relever. Merci encore à toi. Je te souhaite le meilleur !
 

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