Les belles phrases des politiques, entre Sarkozy très mal à l'aise :
Sarkozy parle de "musulman d'apparence" - Vidéo Dailymotion
Et les propos de cette chère Marine :
"Ce qui s'est passé n'est pas l'affaire de la folie d'un homme, ce qui s'est passé est le début de l'avancée du fascisme vert dans notre pays", a-t-elle lancé sous le chapiteau blanc du Port Lavigne, au Bouguenais, près de Nantes, où avaient pris place quelque 1.500 personnes, selon le FN.
"Combien de Mohamed Merah dans les bateaux, les avions, qui chaque jour arrivent en France remplis d'immigrés ?", "combien de Mohamed Merah parmi les enfants de ces immigrés non-assimilés ?", a-t-elle aussi demandé.
"Mohamed Merah n'est peut-être que la partie émergée de l'iceberg", a poursuivi Marine Le Pen, agitant le spectre de quartiers entiers soumis aux lois de la "drogue" et de "l'islam radical", "conséquence de l'immigration de masse". Des quartiers où l'on aurait "acheté la paix sociale à coups de milliards d'euros de politique de la ville (...) pris dans la poche du contribuable honnête".
Le tueur voulait mettre la France à genoux, selon les propos rapportés par Claude Guéant ? "Je mettrai l'islam radical à genoux !", a répondu la candidate du FN à l'Elysée, qui a utilisé le mot de "gangrène".
Sarkozy parle de "musulman d'apparence" - Vidéo Dailymotion
Et les propos de cette chère Marine :
"Ce qui s'est passé n'est pas l'affaire de la folie d'un homme, ce qui s'est passé est le début de l'avancée du fascisme vert dans notre pays", a-t-elle lancé sous le chapiteau blanc du Port Lavigne, au Bouguenais, près de Nantes, où avaient pris place quelque 1.500 personnes, selon le FN.
"Combien de Mohamed Merah dans les bateaux, les avions, qui chaque jour arrivent en France remplis d'immigrés ?", "combien de Mohamed Merah parmi les enfants de ces immigrés non-assimilés ?", a-t-elle aussi demandé.
"Mohamed Merah n'est peut-être que la partie émergée de l'iceberg", a poursuivi Marine Le Pen, agitant le spectre de quartiers entiers soumis aux lois de la "drogue" et de "l'islam radical", "conséquence de l'immigration de masse". Des quartiers où l'on aurait "acheté la paix sociale à coups de milliards d'euros de politique de la ville (...) pris dans la poche du contribuable honnête".
Le tueur voulait mettre la France à genoux, selon les propos rapportés par Claude Guéant ? "Je mettrai l'islam radical à genoux !", a répondu la candidate du FN à l'Elysée, qui a utilisé le mot de "gangrène".