Ce sujet est dédié aux réactions concernant cette actu : Une auteure se fait passer pour un homme pour augmenter ses chances d'être publiée
Pour le thriler, je veux bien te croire, mais pas pour la SFFF, cf ci-dessus. A moins que tu aies postulé chez des "très gros" ?Une femme n'écrit pas de SFFF, par exemple. Elle n'écrit pas trop non plus du thriller.
Ah ok, dsl c'est moi qui n'avais pas été précise : je voulais dire "en France"@Crazy : L'exemple de JK Rowling. Pas Joanne mais ses initiales. Entre autre parce que ça permettait de cacher son genre. (Je te retrouve dès que je peux les articles qui en parlent)
WTF ?Et pour le vivre, je ne peux pas dire que j'écris de la SFFF. Si je le dis, on me demande d'abord si c'est pour la jeunesse. S'il y a une histoire d'amour. Si je compte faire de la psychologie. Quand j'ai répondu par la négative à ces trois questions, on ne me pose pas plus de question sur ce que j'écris.
Parce qu'en tant que femme, faudrait quand même pas que je fasse un truc bien barbare. :/
Nope.Moi qui voudrais publier mon livre quand il sera fini, ce genre d'info me rend un peu triste En plus, j'écris de la fantasy, et même s'il y a une histoire d'amour, il y a aussi des scènes d'actions et de combat, et le personnage principal est une femme, mais badass ... devrais-je cacher le fait que je suis une femme ?
Oui, c'est ce que je dis : les éditeurs généralistes sont souvent plein de préjugés de genre (celui des livres comme celui des auteurs ^^).@Crazy Je connais des auteures de SFFFF française pour les éditions généralistes ce n'est pas un soucis de sexe mais de genre.
Je veux bien te croire, mais là, je n'ai pas d'exemple dans un sens ou un autre.Les lecteurs eux-mêmes jouent le jeu du sexisme.
En bit-lit aussi, et en Fantasy. Il n'y a qu'en SF "pure et dure" qu'on est moins visibles.Par contre, j'aimerais que ce soit maintenant dans les rayonnages. Parce que les auteurs féminines en SFFF, je ne les ai vues que dans les gros succès du moment... en lecture jeunesse/young adult. :/
Je suis d'accord avec ça, hélàs, mais ça, ça dépend plus de la mentalité des gens que de la simple décision des éditeurs.Pour la littérature imaginaire en France y a gros soucis si cela dérange pas dans le rayon jeunesse une fois passer dans la catégorie adulte elle est souvent considérer comme de la sous littérature.
Jeanne-A Debats, Mélanie Fazi, Vanessa Terral...Votre discussion me fait penser que je ne connais pas d'auteure fr de SFFF et pourtant... j'en lis... beaucoup... vraiment beaucoup...
Je suis d'accord avec ça, hélàs, mais ça, ça dépend plus de la mentalité des gens que de la simple décision des éditeurs.
Raté, c'est l'inverse : Megan Lindholm est son vrai nom, mais Robin Hobb (qui sonne plus masculin) est son pseudo...@Neverland90 Pour Robin Hobb elle a commencé à être publier sous le pseudonyme Megan Lindholm.