Je fréquente beaucoup de carabin, et lors de l'écriture de mon mémoire et surtout avant les examens j'ai pris du Guronsan car mon copain carabin m'en avait fait acheter en période de révision donc fatigué mais pas le choix, faut bosser.
Et effectivement ça empêche bien de dormir vu que ça équivaut à une bonne dizaine de tasses de café en concentré... et forcement
tout les excès ne sont pas bon (même l'eau à une dose létale!)
Mais bon ce n'est qu'une partie des vices du carabin "standard" sans vouloir généralisé pour autant (car c'est le mal de faire ça donc c'est vraiment des GROS GROS guillemet) ces étudiants se mine un peu, (beaucoup, passionnellement, à la folie,
pas du tout) la santé.
Déjà un: l'emploi du temps est à la limite du soutenable (le milieu hospitalier qui veut ça, dur milieu que la santé il faut s'accrocher). En p1 t'as pas de vie et c'est un bel aperçu de la suite. On te dit que c'est la pire année mais franchement de témoignage direct c'est plutôt la sixième avec le concours de l'internat en même temps le concours de la paces le jeu détermine tes étude, les ECN déterminent ton boulot à vie c'est quand même hyper flippant comme trucs. (parenthèse drôle j’ai vu la publication des demandes: la majorité des premier classé demande chirurgie plastique hahahaha bussiness is bussiness
mais bon ils on travailler très très dur on peu pas leurs en vouloir c'est humain...) En gros y'a que la deuxième année ou tu peux un peu respirer mais tu n'en prend conscience qu'à la troisième, et en quatrième année que la troisième c'était mieux et cétéra. (Comme dirait papy Bernard-Jean-Michel: c'était mieux avant!) Du coup on en revient au fait qu'en toute logique la sixième année à été orchestré par la diable en personnes.
Avec l'externat les gardes et stages s'ajoute au révision et entame encore plus ton temps de sommeil/vie pour toi c'est pas très bon. Ça pourrait donner lieu à se genre de dialogue: "oh regarde mes cernes j’ai atteint le niveau tranché de Verdun"
Deux: bah c'est pas bien de fumer mais j'ai jamais vu autant fumer que mes pote carabin, ça les détend pendant leurs révisions certain peuvent fumer clope sur clope. Du genre qui allume la prochaine clope avec le cul de celle d'avant.
Trois:bah ouai c'est vrai ça vu que t'es fatigué bah il faut tenir le coup donc guronsan ou autre!
Quatre: toutes cette frustration cumulée amène certain dans des excès d'alcool et de beuverie incroyable quand vous ne l'avez pas vécus vous même.
(crit notre bel ami, le crit c'est le plus gros rassemblement d'étudiant en médecine deux fois par ans ça dure une semaine l'hiver et cinq jour l'été et je vous jure que c'est un monde parallèles) En gros à chaque soirée médecine si vous l'avez vécus à fond les ballons vous perdez facilement un peu d'espérance de vie.
Après une minorité d'étudiant sont des "critard" mais ils existent et par tête font grimper au beuveurie-au-mètre le score de leurs études d'une manière que certain qualifierais d’alarmante ou de réprouver par la bonne morale chrétienne au choix.
Moi je trouve ça très bien qu'il est créer ce que j’appellerai "l’exutoire ultime" ça évite pas mal de burning out et il faut savoir que la croix blanche est toujours présente et que les drogues (dure) sont prohibé sous peine de lourde amende! (même si il y en a forcement qui vont essayer d'en prendre sur 1000 gens présent, ne nous leurrons pas).
Bref la conclusion de tout ça serait que ces braves étudiants sont exactement les plus conscient des risques lié à leurs santé. En tout cas il en on intérêt sinon ils risque de raté leurs partiels.
Mais en choisissant de vouloir soigner les autres ils ont aussi plus ou moins consciemment choisie de s’éreinter pour nous.
Ils sont beaux nos carabins
Ils faudrait les protéger et les bercer pour qu'ils arrivent enfin à dormir en garde. Bisous à tout les carabins: les gentils mais aussi les méchants
Bisous aussi à tout ceux qui vont bientôt avoir les résultats de leurs rattrapages. Bisous aux Madz Carabine qui j'espère valideront mes propos. De toute façon on à intérêt à vous aimer vous allez peu être un jours sauver nos vie ou un bout de nous.