@ElectraHeart Mouahaha le coup du "de chair, pas de graisse".... moi mes poignées d'amour c'est pas du muscle, c'est pas du gras, c'est de la chair
(Ceci dit, je me permets de noter ton "Et c'est pas sale hein. On peut en avoir sans être obèse...", sans doute simple formulation maladroite mais qui peut laisser sous entendre qu'être obèse, c'est sale alors que bah.... non.)
Effectivement, tout ça est fort lassant et le fait qu'aucun trait de caractère ne soit évoqué est pathétique. Choix du journal ou simple bêtise des hommes choisis ?
Et puis bon... l'idéal quoi... Si je prends tous les mecs que j'ai connu, il y en a pas deux qui se ressemblent, et entre les trois que j'ai aimé, certes il y avait des points communs mais pfffff, rien à voir les uns avec les autres (mais, j'avoue : 3 artistes fascinés par la technologie).
J'ai toujours l'impression qu'avec ce genre de fantasme ultra-précis, on ne se laisse plus (ou moins) surprendre par la réalité des gens qui nous entourent...
@Clemence Bodoc
Ce sont un peux des "vieux mecs" et des "vieux cons".... déjà il y a très peu de témoignages, les mecs sont tous dans le secteur comm, luxe ou édition, soit des milieux très particuliers. Ce n'est pas monsieur tout-le-monde, et c'est surtout des mecs socialement privilégiés, qui, de part leurs privilèges ne semblent pas remettre en question l'ordre sexiste des choses... Le choix du panel est absurde, les réponses tout autant.
Pire, étant donné que ces types ont un statut un peu à part, leurs réponses semblent avoir plus de valeur ! C'est un peu le petit manuel pour pécho un richou cette affaire....
Franchement j'en ai rien à foutre d'être élégante et classe si c'est pour plaire à des mecs qui trouvent important que je porte "une montre d'homme et une bague en argent"....... Je suis vulgaire, intelligente, cultivée, et je les emmerde. Mon amant du moment est hyper vulgaire, il gagne que dalle mais il lit des putains de bons auteurs et me fait mourir de rire et de plaisir. Na.
Plus j'y pense et plus ça me met hors de moi en fait.
Bien sûr qu'ils peuvent fantasmer sur ce qu'ils veulent mais c'est tellement conditionné et ça conditionne tellement que ça en devient gerbant.