J'interviens un peu sur l'article car la vérité me semble bien déformée et exagérée. J'ai entendu parler la directrice ce matin à la radio. Déjà elle ne parlait pas du tout de jupe comme dit le nom de l'article, mais des pantalons à trous. Ensuite elle condamnait les pantalons à "trous qui étaient tellement grands qu'il n'y avait limite plus de pantalon".
Du coup où est la vérité en fait? De ce que j'entends sur France Info ou de ce qu'une ado peu tweeter?
Je ne peux pas voir la photo de la fameuse adolescente qui s'est fait reprocher des choses (les images de twitter sont bloquées sur mon pc de bureau), mais de ce que je comprends, elle n'est pas vulgaire et elle a des collants opaques. A mon avis, et je juge peut-être mal, mais ça m'étonnerait fortement que la directrice, si posée soit-elle de ce que j'ai entendu, doit reprocher quelque chose à ce niveau là.
Perso je soupçonne une ado qui a regardé de loin ses camarades se faire remonter les bretelles et qui a posté ça d'elle-même juste pour monter le bourrichon de pleins de gens. Je trouve qu'aujourd'hui avec toutes les interventions sur le sexisme dans les transports, dans la rue, etc..., j'ai peur qu'on en abuse aussi.
Maintenant je vais raconter ma petite histoire (père castor!
):
Au collège, il y a eu une mode à où les filles commençaient à laisser dépasser leur string de leur pantalon et portaient des T-shirt qui laissaient une épaule dénudée. Il y a eu pendant quelques jours la CPE qui a fait le contrôle des tenues à l'entrée de l'école et qui renvoyait chez elles les filles qui ne voulaient pas se "recouvrir". Autant l'épaule je dis rien, autant laisser dépasser un string (et c'était plutôt nouveau dans les moeurs à cette époque une ado qui portait des strings), je trouvais ça un peu "m'as-tu-vu". Après ça n'avait rien de sexiste car la CPE renvoyait chez eux aussi les gars qui portaient le pantalon le plus bas possible, on voyait les caleçons dépasser à tel point qu'on pouvait profiter des motifs.
Après j'aimerais bien être dans l'établissement de l'article pour savoir ce qui a été réellement vu et entendu avant de juger ce qui convenable à porter ou pas, ou de ce qui est sexiste.