Comparer une vie entière passée à ne jamais faire de sport, mal manger et rester chez soi à jouer à deux semaines de confinement, sachant qu'il est possible de faire du sport chez soi (je dois utilisé 2m x 1m pour faire mon cardio devant youtube) ET de faire du sport en extérieur (à certains horaires seulement maintenant), rajouter au fait de bien sûr pouvoir faire ses courses pour prendre l'air, est-ce que c'est un exemple très pertinent?quand je parlais d'inactivité, je voyais mon petit frère qui a 18 ans et n'a jamais fait ne serai ce qu'une heure de sport , passe sa vie confiner sur les jeux vidéo à mal manger, et je vois bien les effets délétères sur sa santé et son intelligence. il est mou, parle comme un bébé en trainant les mots, et il a un regard bovin désastreux. C'est terrible. Du coup, désolé, j'avais cette image en tête. Je me demande même si ca n'a pas joué sur son développement en tant qu'homme, car il fait 12 ans et encore!
J'ai bien compris que pour certains faire leur jogging très régulièrement en extérieur l'après-midi est vital, mais il me semble qu'une politique sanitaire dans ces circonstances exceptionnelles se décide non pas à partir d'exemples (très) minoritaires mais en regardant le collectif. Le truc qui n'a pas spécialement l'air d'avoir été compris par tout le monde ce week-end.
Vu à quoi ressemble le """confinement""" quand y'a du soleil, à mon avis le déconfinement c'est pas pour tout de suite et il sera surement très long et très progressif. Sinon deux semaines après le déconfinement y'aura un nouveau pic ingérable pour les structures de soins.