J'avoue... Monoprix me manque. Mais vraiment. Celui que je qualifiais de "mon Monoprix", dans le 5ème (ou 6ème ? je n'ai jamais vraiment su), où je dépensais des centaines d'euros (oui, j'ai dû en lâcher), où j'allais quand je déprimais un peu, où je ressortais toujours avec ce que je n'avais pas prévu (même si je faisais parfois des listes !). C'était mon petit moment à moi, dans la semaine, quand j'allais faire mes courses. J'adorais cela.
Et leurs emballages ultimes !
(Et puis, j'aimais bien avoir un contenu de panier hétéroclite. Avec des légumes et des soupes, des cookies et des tablettes de chocolat. Des marques et des non-marques. Je me disais que si les autres étaient aussi dingues que moi, ils m'inventeraient une petite vie.)
Maintenant... j'ai changé de quartier, le Monoprix est à plus de 10 minutes à pied (bien plus loin que le Simply Market), et je boude.
(Ce qui est drôle, c'est que je n'ai connu Monoprix que durant deux années.)