J'aime beaucoup cette article car je mis retrouve énormément. Perpétuellement entrain de cherchée ce que je veux faire de ma vie.
Enfant, je suis passé par des tas d'idées (mais plus réaliste qu'être Dieu
). Je voulais être aide-soignante; afin de soigner mon papi. Être pompier, gendarme pour aider/sauver les autres. Mais on m'avait prévenue que ce n'était pas un métier pour une fille. J'étais très déçue et triste, pourquoi les garçons et pas moi ?
Alors que j'avais 10 ans, j'étais un jour entrain de dessiner. A l'époque, je dessinais constamment, sans cesse. Et ce jour là, j'ai hurler à ma mère "Je sais ce que je veux faire... Quand je serai grande, je serai dessinatrice !". Ce métier m'est restée jusqu'à ma troisième, malheureusement, je n'ai pas abouti à mon rêve car "ce n'est pas un métier qui paie". J'ai énormément pleurer, car je m'en foutais, je voulais le faire. Peu importe si je n'étais pas payer énormément.
Le lycée, dur étape. Celle où on veut absolument que notre métier soit celui de notre vie. Avocat, scientifique, juriste... Que de métiers dont je me fous. Je redouble, et on me propose une filière, je choisi la branche comptable au hasard. Malheureusement, c'est prise de tête, ça me gonfle, je déteste ça et on me forme pour ce boulot. Entre deux, je suis bénévole animatrice. J'aime beaucoup m'occuper des enfants. Je leur apprend à dessiner ou à faire des activités artistiques. Je tire la tronche durant mes études, et à côté, je m'épanouis auprès des enfants. Les mères m'adorent et disent que depuis que j'y suis, leurs enfants dessinent constamment.
Le bac arrive, je l'ai et j'entame un BTS comptable. Entre deux, on m'a fait arrêtée mon bénévolat suite à des diffamations. Les mamans me demandent pourquoi je n'y suis plus et qu'elles sont déçus car "qui va épanouir mon/ma fils/fille dans ce domaine ?". Dépression, problème sociale/familiale, je quitte tout pour la raison que je veux quitter ma région, rejoindre mon homme et faire ce qui me plait. "Ce qui te plait ne te donnera pas une vie modeste". Je m'en fous encore une fois.
Me voilà parti, mais je ne trouve rien. Je décide donc de me lancer en tant de vendeuse indépendante. L'organisation est malhonnête, ça me prend trop de temps, je n'ai plus de vie, je ne m'en aperçois que trop tard. Je n'ai plus de sous, et tout mes contacts ont couper les ponts "tu m'as arnaquer le produit ne fonctionne pas". Je suis au plus bas.
A l'heure actuelle, La mission Locale de ma région m'a proposer une plate forme. On a appris à me connaitre, on m'a demandée c'était quoi mon rêve. Et maintenant, je développe un projet qui mélange les activités manuelles et les enfants.
Moralité : Ne jamais abandonner son rêve d'enfant