le problème c'est qu'on en revient toujours à se demander si la victime est consentante ou pas, c'est ce qu'on place au centre d'un procès, mais on ne devrait jamais avoir à se poser cette question là. Dire que la justice ne peut pas condamner des violeurs sans preuves, c'est se placer du côté de l'oppresseur, parce qu'on accepte ses conditions, c'est à dire celles du patriarcat. (qui cherche toujours à nous faire croire que les femmes sont consentantes aux agressions). J'ai lu le témoignage d'une femme ayant vécu un viol en Australie, elle y expliquait que le procureur ne demandait que les faits sans les remettre en cause. Ellle a pu raconté son histoire (en y disgressant le moins possible) et son violeur a été condamné.
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