Bonjour, j'ouvre cette discussion car je pense avoir besoin d'avis externes et parce que j'arrive pas à trouver une réponse seule. J'espère que ça fera pas trop doublon avec un autre topic 
Rupture, déménagement, etc. Je reste bienveillante, on s'aide pour nos déménagements, on a plein d'amis en commun dans notre ville, il s'agit de pas se déchirer trop. On entretient un peu le contact tout un temps puis je mets un stop (Facebook, insta, whatsapp). Ca va faire 5 mois qu'on n'est plus ensemble. Je lui ai demandé il y a 2 mois de me dire qu'il m'aimait plus et ne reviendrait pas. Il a dit qu'il ne reviendrait pas mais qu'il m'avait pas quittée car il ne m'aimait pas. Il a entretenu une certaine confusion dans ses discours, me mettant dans une position où je continue d'espérer sincèrement qu'il aille mieux et revienne.
La soirée continue, je le surprends en train de prendre de la cocaïne vers minuit 30. Je lui dis après que je suis toujours pas habituée à le voir faire ça. On parle de comment ça se fait que je vais "bien" et lui mal, je lui notifie que moi j'ai pas de cocaïne dans ma poche, que je me pète pas la gueule deux fois par semaine, etc. Fin de soirée, lui continue avec des potes, moi je rentre.
Discussion de 20 minutes car il me dit qu'il aimerait bien prendre un verre avec moi dans la semaine. On parle encore sur le fait qu'il fait de la merde. Il me dit qu'il a un souci avec la drogue. Je lui dis d'arrêter (c'est simpliste, je sais), que ça ira déjà bien mieux s'il arrête de se tirer vers le bas avec des amis qui le tirent vers le bas. Il me dit de pas le materner avec la drogue, donc je lui dis qu'il a qu'à se trouver une tocarde qui n'en aura rien à foutre de lui, si le souci que je me fais pour lui est de trop. Ça passe. Il me dit que je suis trop bien pour lui, que j'ai raison de me casser et d'avancer, que j'ai rien à faire avec lui. Je finis par lui dire que je pense à lui tous les jours, et que je l'aime encore. Il me dit "Tu m'aimes là comme ça ? Un mec comme moi là ?". Il pose la question plusieurs fois. Plusieurs fois je lui dis que je l'aime, que je pense qu'il s'est perdu mais que j'aime toujours cette personne qui l'est. Mais que là c'est pas lui.
Bref, on se dit au revoir.
En même temps, je l'aime toujours. J'espère toujours. Et je suis un livre ouvert, je lui ai dit. J'espère tellement que tout ça soit une phase qui passera, pour lui comme pour moi. Je sais que l'aider, c'est prendre le risque de m'empêcher d'avancer de mon côté, c'est risquer de restée accrochée, c'est aussi être trop bonne, trop conne. Il est parti, il mérite pas mon aide. Mais en même temps y a personne d'autre. Et j'arrive pas à être égoïste. Je lui ai dit hier que je voulais pas qu'il joue avec mes sentiments et ses doutes.
Je pense vraiment que je préfère le savoir mieux un jour, même si c'est pas avec moi, que de voir que c'est ça qu'il devient vraiment. Le souci c'est que je sais pas si j'arriverai à jouer le rôle d'amie, et de mettre de côté mes espoirs.
En même temps il m'a pas demandé d'aide (même si tout crie à l'aide). Il m'a demandé d'aller boire un verre pour qu'il m'explique tout ce qui se passe dans sa vie, en étant sobre et sans influence.
Est-ce une bonne idée ? Est-ce que je dois lui accorder encore de l'importance ?
Et si je l'aide, comment mettre la frontière ?
Merci beaucoup

- Le contexte général
Rupture, déménagement, etc. Je reste bienveillante, on s'aide pour nos déménagements, on a plein d'amis en commun dans notre ville, il s'agit de pas se déchirer trop. On entretient un peu le contact tout un temps puis je mets un stop (Facebook, insta, whatsapp). Ca va faire 5 mois qu'on n'est plus ensemble. Je lui ai demandé il y a 2 mois de me dire qu'il m'aimait plus et ne reviendrait pas. Il a dit qu'il ne reviendrait pas mais qu'il m'avait pas quittée car il ne m'aimait pas. Il a entretenu une certaine confusion dans ses discours, me mettant dans une position où je continue d'espérer sincèrement qu'il aille mieux et revienne.
- La péripétie récente
La soirée continue, je le surprends en train de prendre de la cocaïne vers minuit 30. Je lui dis après que je suis toujours pas habituée à le voir faire ça. On parle de comment ça se fait que je vais "bien" et lui mal, je lui notifie que moi j'ai pas de cocaïne dans ma poche, que je me pète pas la gueule deux fois par semaine, etc. Fin de soirée, lui continue avec des potes, moi je rentre.
Discussion de 20 minutes car il me dit qu'il aimerait bien prendre un verre avec moi dans la semaine. On parle encore sur le fait qu'il fait de la merde. Il me dit qu'il a un souci avec la drogue. Je lui dis d'arrêter (c'est simpliste, je sais), que ça ira déjà bien mieux s'il arrête de se tirer vers le bas avec des amis qui le tirent vers le bas. Il me dit de pas le materner avec la drogue, donc je lui dis qu'il a qu'à se trouver une tocarde qui n'en aura rien à foutre de lui, si le souci que je me fais pour lui est de trop. Ça passe. Il me dit que je suis trop bien pour lui, que j'ai raison de me casser et d'avancer, que j'ai rien à faire avec lui. Je finis par lui dire que je pense à lui tous les jours, et que je l'aime encore. Il me dit "Tu m'aimes là comme ça ? Un mec comme moi là ?". Il pose la question plusieurs fois. Plusieurs fois je lui dis que je l'aime, que je pense qu'il s'est perdu mais que j'aime toujours cette personne qui l'est. Mais que là c'est pas lui.
Bref, on se dit au revoir.
- Le dilemme
En même temps, je l'aime toujours. J'espère toujours. Et je suis un livre ouvert, je lui ai dit. J'espère tellement que tout ça soit une phase qui passera, pour lui comme pour moi. Je sais que l'aider, c'est prendre le risque de m'empêcher d'avancer de mon côté, c'est risquer de restée accrochée, c'est aussi être trop bonne, trop conne. Il est parti, il mérite pas mon aide. Mais en même temps y a personne d'autre. Et j'arrive pas à être égoïste. Je lui ai dit hier que je voulais pas qu'il joue avec mes sentiments et ses doutes.
Je pense vraiment que je préfère le savoir mieux un jour, même si c'est pas avec moi, que de voir que c'est ça qu'il devient vraiment. Le souci c'est que je sais pas si j'arriverai à jouer le rôle d'amie, et de mettre de côté mes espoirs.
- La question
En même temps il m'a pas demandé d'aide (même si tout crie à l'aide). Il m'a demandé d'aller boire un verre pour qu'il m'explique tout ce qui se passe dans sa vie, en étant sobre et sans influence.
Est-ce une bonne idée ? Est-ce que je dois lui accorder encore de l'importance ?
Et si je l'aide, comment mettre la frontière ?
Merci beaucoup
