@Ocytocine. D'accord avec toi sur les posts alarmistes en rapport avec la contraception.
J'ai l'impression qu'on oublit quand même que la pilule est une révolution pour les femmes qui peuvent contrôler leurs fertilités et comme je disais dans mon autre post, les effets secondaires il y en aura toujours des plus ou moins graves parce que ça reste un traitements médicamenteux et que c'est impossible de tous les éradiquer, surtout dans le cadre d'un traitement hormonal. On peut les réduire, mieux les contrôler (et sur ça il y a du boulot), les dépister mais pas les supprimer.
Bref comme je disais marre des injonctions pour prendre la pilule mais aussi pour l'arrêter. Il n'y en a qui n'ont pas le choix de l'un ou l'autre. Moi j'y ai plus droit par exemple à cause de mon lupus. Je l'ai arrêté certes avant de savoir parce que je prenais trop de poids et mon cholestérol était pas top à cause du fait que je fumais notamment. Mais stop dire que c'est aussi la pire des choses à faire que de prendre la pilule. Le principal c'est surtout de la prendre en aillant conscience des effets secondaires, des conduites à risques et de faire des bilans réguliers pour éviter un avc par exemple (qui je rappelle est un effet secondaire rare et en rapport avec des conduites à risques comme fumer par exemple, même si on peut en développer un sans fumer)
Car tous traitements peut-être problématique. Par exemple je prends de la codéine pure à haute dose pour mes douleurs, j'en suis dépendante du coup mais j'ai pas le choix. Je prends du plaquenil pour mon lupus qui peut me détruire la cornée donc je me fais dépister régulièrement mais j'ai pas le choix.
Même le doliprane prit régulièrement sur plusieurs semaines peut entraîner des soucis hépatiques.
Du coup on fait quoi ? On stop tout et on vit comme avant sans les progrès de la médecine ? Même les huiles essentielles c'est problématique parfois. Ou alors on demande aux professionnels de mieux informer des risques, de les contrôler régulièrement, d'apprendre à écouter les patients pour changer éventuellement de contraceptions et de proposer un large panel qui peut convenir à chacun ? On fait aussi de la recherche pour des contraceptifs avec moins d'effets mais il ne disparaîtront jamais.
J'ai l'impression qu'on oublit quand même que la pilule est une révolution pour les femmes qui peuvent contrôler leurs fertilités et comme je disais dans mon autre post, les effets secondaires il y en aura toujours des plus ou moins graves parce que ça reste un traitements médicamenteux et que c'est impossible de tous les éradiquer, surtout dans le cadre d'un traitement hormonal. On peut les réduire, mieux les contrôler (et sur ça il y a du boulot), les dépister mais pas les supprimer.
Bref comme je disais marre des injonctions pour prendre la pilule mais aussi pour l'arrêter. Il n'y en a qui n'ont pas le choix de l'un ou l'autre. Moi j'y ai plus droit par exemple à cause de mon lupus. Je l'ai arrêté certes avant de savoir parce que je prenais trop de poids et mon cholestérol était pas top à cause du fait que je fumais notamment. Mais stop dire que c'est aussi la pire des choses à faire que de prendre la pilule. Le principal c'est surtout de la prendre en aillant conscience des effets secondaires, des conduites à risques et de faire des bilans réguliers pour éviter un avc par exemple (qui je rappelle est un effet secondaire rare et en rapport avec des conduites à risques comme fumer par exemple, même si on peut en développer un sans fumer)
Car tous traitements peut-être problématique. Par exemple je prends de la codéine pure à haute dose pour mes douleurs, j'en suis dépendante du coup mais j'ai pas le choix. Je prends du plaquenil pour mon lupus qui peut me détruire la cornée donc je me fais dépister régulièrement mais j'ai pas le choix.
Même le doliprane prit régulièrement sur plusieurs semaines peut entraîner des soucis hépatiques.
Du coup on fait quoi ? On stop tout et on vit comme avant sans les progrès de la médecine ? Même les huiles essentielles c'est problématique parfois. Ou alors on demande aux professionnels de mieux informer des risques, de les contrôler régulièrement, d'apprendre à écouter les patients pour changer éventuellement de contraceptions et de proposer un large panel qui peut convenir à chacun ? On fait aussi de la recherche pour des contraceptifs avec moins d'effets mais il ne disparaîtront jamais.