Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Bilan d'une semaine de célibat et d'abstinence pour une droguée à l'amour
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). Pour moi ce n’est pas comparable au besoin vital de manger ou dormir (puisqu’il m’arrive pendant des périodes stressantes, parfois plusieurs jours ou semaines, de ne pas sexer et de ne pas me masturber) ni à l’impatience de connaître la suite d’une série (genre, GOT, au hasard
).
Donc à mon sens c’est un genre d’addiction... D’autres madz dans mon cas? 
Cet article me plonge dans des abîmes de perplexité.
) et c'est quelque chose que je trouve honnêtement fascinant, ce besoin d'avoir toujours un-e partenaire ou du moins d'avoir un "cheptel" de partenaires potentiels. Sans jugement aucun hein ! C'est juste que ça m'intrigue énormément, parce que je n'ai jamais ressenti cette envie, et que très très peu de gens me plaisent. Je peux passer 2 ans et demi de célibat à ne rien faire et à n'être attirée par personne (vécu). 
En même temps, maintenant je trouve que c'est presque autant la honte d'avouer qu'on aime pas le célibat. Qu'une féministe doit forcément pouvoir être bien seule, qu'on ne doit pas se conformer aux clichés sociétaux...