A mon ex :
Tu n'es qu'un con. Un con. Un con.
Mais t'es aussi et surtout un mec bien, parce que même en me larguant tu as voulu faire les choses bien. Je ne te déteste pas, je ne peux pas dire que je t'aime toujours. T'es qu'un con. Trois jours de réflexion pour foutre en l'air un an et demi de relation. T'es qu'un con et tu fais n'importe quoi quand t'es tout seul. Ne crois pas que je ne sais pas, que personne me le dis, ne crois pas que quand je viens chercher mes affaires dans notre ancien chez nous je ne le vois pas. Je le sais R., je le sais pertinemment que tu bois chaque soir, j'ai vu les bouteilles défiler, Gin, Whisky, Porto, Vodka, Gin, Gin... Je le sais R., je le sais pertinemment que tu as recommencé à fumer comme un déglingo, j'ai vu les mégots s'empiler, les tonscar découpés, les slim arrachées, les restes de miettes de tabac, les sachets vides, les traces marrons sur tes doigts.
Tu me quitte pour être heureux, ne te détruit pas, tu as des choses à vivre.
A mon plan cul d'un aprem rencontré sur adopte :
Ne joue pas le distant, ne fais pas comme si tu ne pensais pas à moi, je sais que je t'ai bluffé, tu l'as dis, jamais ca tétais arrivé. Alors je veux bien faire genre on a pas envie de se revoir mais tu sais que tu le veux, joue pas à ça, on traine aux mêmes endroits, on se reverra dans tous les cas. Et puis bon, je vaut le coup, on le sait tous les deux.
A ma wesh-potesse chez qui je squatte :
Toi, t'es ma pote. Ma vraie pote.