Vu que ce topic est clairement mon journal intime 
je viens raconter la suite.
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Célibattantes !
- Initiateur de la discussion Hawley
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bon je me suis lancée sur les sites de rencontres en espérant trouver l'amour, étant donné qu'il ne me reste que ça comme solution en période de corona Le truc, c'est que j'ai un mal fou à avoir des matchs avec des meufs qui me plaisent, et que quand par miracle j'en ai un, elles ne répondent jamais ou bien cessent de répondre... donc au final les filles les plus intéressées sont celles que je trouve jolies mais qui finalement après un examen plus attentif des photos ne m'attirent pas... Mais comme je suis très con et que je m'ennuie, j'ai quand même accepté de rencontrer deux personnes (donc un mec qui probablement ne m'attire pas 
tout à l'heure). Je me sens un peu con de me mettre toute seule dans des situations comme ça, où la personne sera forcément déçue, mais je crois que je suis célib depuis tellement longtemps, que j'ai toujours cet espoir absurde de développer une attirance magique sur le coup, alors que bon, si il n'y a pas de petite étincelle quand je regarde toutes les photos, je doute d'en avoir en vrai aussi... 
. Donc je me sens méga con à me retrouver à toujours espérer que la personne soit plus belle que sur ses photos, quand clairement l'expérience m'a montrée que ce n'était jamais le cas 
.
Le truc, c'est que j'ai un mal fou à avoir des matchs avec des meufs qui me plaisent, et que quand par miracle j'en ai un, elles ne répondent jamais ou bien cessent de répondre... donc au final les filles les plus intéressées sont celles que je trouve jolies mais qui finalement après un examen plus attentif des photos ne m'attirent pas... Mais comme je suis très con et que je m'ennuie, j'ai quand même accepté de rencontrer deux personnes (donc un mec qui probablement ne m'attire pas tout à l'heure). Je me sens un peu con de me mettre toute seule dans des situations comme ça, où la personne sera forcément déçue, mais je crois que je suis célib depuis tellement longtemps, que j'ai toujours cet espoir absurde de développer une attirance magique sur le coup, alors que bon, si il n'y a pas de petite étincelle quand je regarde toutes les photos, je doute d'en avoir en vrai aussi... . Donc je me sens méga con à me retrouver à toujours espérer que la personne soit plus belle que sur ses photos, quand clairement l'expérience m'a montrée que ce n'était jamais le cas .
@Azurhibis
Je suis carrément mieux que sur mes photos personnellement, mais c'est vrai que généralement généralement c'est plutôt l'inverse
Je suis carrément mieux que sur mes photos personnellement, mais c'est vrai que généralement généralement c'est plutôt l'inverse
Bonjour à toutes !
Je sors une nouvelle fois de mon sous-marin. Deux fois par année quand j'ai des galères sentimentales et que j'ai vraiment, vraiment besoin de vider mon sac, ou en tout cas de poser mes pensées quelque part. Je me dis toujours que je devrais le faire plus souvent, à chaque fois je me sens ensuite soulagée (enfin, temporairement
). Je vous lis toutes avec attention et régularité, et je vous admire pour votre capacité d'introspection, votre recul et courage ! En tout cas, je me retrouve beaucoup dans vos récits et ça me fait du bien.
Aujourd'hui, journée d'angoisse. Pour une bêtise : une absence de réponse pendant 24h. J'avais la boule au ventre au travail ; de retour chez moi, elle s'est accentuée et j'étais littéralement au bord des larmes. Je suis en colère contre moi-même de me laisser autant submerger par ces apparentes broutilles. De les laisser impacter à ce point ma vie quotidienne.
Reprenons : il s'agit d'un homme que j'ai rencontré au mois de février, sur Tinder. Après notre premier rendez-vous, je l'ai gentiment recalé car je n'avais pas senti de déclic. Comme on partage une passion commune, j'étais néanmoins enthousiaste de le revoir, en toute amitié, pour des activités liées à - passion - de temps en temps. C'est ce qu'on a fait, un peu près 2x par mois depuis février. SAUF QUE, de fil en aiguille, en apprenant à le connaître, j'ai commencé à avoir un énorme crush sur lui . Il est vraiment incroyable (mais suis-je objective ?
), il a tout ce que je recherche chez un homme (en vrac : bienveillant, déconstruit, intelligent, à l'écoute, engagé, drôle etc..). A tel point que je me sens moins bien que lui. Je sais que je ne devrais pas. Bref. Un week-end je l'ai invité à manger chez moi (1e activité hors passion), j'avais prévu de passer avec tact à l'attaque (ou en tout cas, lui faire bien comprendre les choses). Finalement, on a dansé, on a bu, il m'a devancée et m'a embrassée. Depuis, j'oscille entre "
je suis sur mon petit nuage" et "je suis une boule d'angoisse ambulante". Enfin, disons que la balance penche surtout vers l'angoisse, c'est ça le problème. Concrètement, je n'aurais pas à m'inquiéter : à part certains délai de réponses par message (et le fait que la rupture -brutale- avec son ex ne soit pas si vieille), je n'ai que des signes positifs. Mais mon cerveau tourbillonne à mort, je n'arrive pas à l'arrêter. Je surinterprète, suranalyse, je m'imagine des scénarios négatifs etc... Rien ne stoppe ces angoisses. Je n'arrive pas à me plonger dans une activité par exemple. L'autre jour, je suis allée courir et je me suis arrêtée prématurément, les larmes au yeux. C'est pathologique. Je ne sais pas comment en sortir. Avec le gars, on se voit pour l'instant régulièrement (lorsqu'il est disponible, disons qu'il a un agenda très chargé, une vie sociale bien remplie... contrairement à moi). C'est fou, en trois semaines comment j'ai pu m'embourber dans des angoisses pareilles, alors que début avril je racontais à mon amie comment je me sentais libre, bien dans mes baskets et ma vie de célibataire. Je ne souhaite pas lui parler (au gars) de mes angoisses. Je pense qu'elle m'appartiennent et qu'il faut que je travaille dessus seule. De plus, on se connaît encore peu, je ne veux pas lui faire peur.
Enfin voilà.
Je reviendrais peut-être un de ces jours pour faire un point.
Courage à toutes !
Je sors une nouvelle fois de mon sous-marin. Deux fois par année quand j'ai des galères sentimentales et que j'ai vraiment, vraiment besoin de vider mon sac, ou en tout cas de poser mes pensées quelque part. Je me dis toujours que je devrais le faire plus souvent, à chaque fois je me sens ensuite soulagée (enfin, temporairement
). Je vous lis toutes avec attention et régularité, et je vous admire pour votre capacité d'introspection, votre recul et courage ! En tout cas, je me retrouve beaucoup dans vos récits et ça me fait du bien.Aujourd'hui, journée d'angoisse. Pour une bêtise : une absence de réponse pendant 24h. J'avais la boule au ventre au travail ; de retour chez moi, elle s'est accentuée et j'étais littéralement au bord des larmes. Je suis en colère contre moi-même de me laisser autant submerger par ces apparentes broutilles. De les laisser impacter à ce point ma vie quotidienne.
Reprenons : il s'agit d'un homme que j'ai rencontré au mois de février, sur Tinder. Après notre premier rendez-vous, je l'ai gentiment recalé
car je n'avais pas senti de déclic. Comme on partage une passion commune, j'étais néanmoins enthousiaste de le revoir, en toute amitié, pour des activités liées à - passion - de temps en temps. C'est ce qu'on a fait, un peu près 2x par mois depuis février. SAUF QUE, de fil en aiguille, en apprenant à le connaître, j'ai commencé à avoir un énorme crush sur lui . Il est vraiment incroyable (mais suis-je objective ?), il a tout ce que je recherche chez un homme (en vrac : bienveillant, déconstruit, intelligent, à l'écoute, engagé, drôle etc..). A tel point que je me sens moins bien que lui. Je sais que je ne devrais pas. Bref. Un week-end je l'ai invité à manger chez moi (1e activité hors passion), j'avais prévu de passer avec tact à l'attaque (ou en tout cas, lui faire bien comprendre les choses). Finalement, on a dansé, on a bu, il m'a devancée et m'a embrassée. Depuis, j'oscille entre " je suis sur mon petit nuage" et "je suis une boule d'angoisse ambulante". Enfin, disons que la balance penche surtout vers l'angoisse, c'est ça le problème. Concrètement, je n'aurais pas à m'inquiéter : à part certains délai de réponses par message (et le fait que la rupture -brutale- avec son ex ne soit pas si vieille), je n'ai que des signes positifs. Mais mon cerveau tourbillonne à mort, je n'arrive pas à l'arrêter. Je surinterprète, suranalyse, je m'imagine des scénarios négatifs etc... Rien ne stoppe ces angoisses. Je n'arrive pas à me plonger dans une activité par exemple. L'autre jour, je suis allée courir et je me suis arrêtée prématurément, les larmes au yeux. C'est pathologique. Je ne sais pas comment en sortir. Avec le gars, on se voit pour l'instant régulièrement (lorsqu'il est disponible, disons qu'il a un agenda très chargé, une vie sociale bien remplie... contrairement à moi). C'est fou, en trois semaines comment j'ai pu m'embourber dans des angoisses pareilles, alors que début avril je racontais à mon amie comment je me sentais libre, bien dans mes baskets et ma vie de célibataire. Je ne souhaite pas lui parler (au gars) de mes angoisses. Je pense qu'elle m'appartiennent et qu'il faut que je travaille dessus seule. De plus, on se connaît encore peu, je ne veux pas lui faire peur.Enfin voilà.
Je reviendrais peut-être un de ces jours pour faire un point.
Courage à toutes !
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Et sinon attention c'est le retouuuur de la choupitude
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Dernière édition :
@Madame Ball Z : there there et 
si tu le permets.
De mon côté, je navigue sur tinder, toujours. Je lance des conversations que je laisse mourir si je vois qu'il n y a pas de vrai répondant : je peux faire preuve d'autant d'esprit que je veux, une conversation se mène à deux.
Là, il y a un mec qui pose devant sa bibliothèque avec qui j'ai un échange par soir depuis ce week-end et il a réussi à poser sa première question hier soir seulement (pour du factuel : sais-tu qui a fait X ?). J'avoue, je me calque sur son style de communication et ne pose plus de questions non plus. Et c'est là que je me rends compte que les styles communicationnels peuvent être fondamentalement différents d'une personne à une autre (je suis un génie). Peut-être que pour lui, dire "je ne connais pas telle autrice, sans doute à tort', c'est suffisant pour que la personne en face développe sur les grandes qualités de l'autrice en question. Mais moi, je préfère les questions directes.
Et je me demande si c'est une différence extraverti·e/introverti·e mais, pendant une rando que je faisais avec une dame éminemment sympathique, celle-ci commençait plus souvent à son tour une conversation sur une affirmation : elle me faisait part d'une opinion ou d'une de ses aventures, je rebondissais dessus en posant plus de question ou en lui donnant mon point de vue / ressenti. A contrario, je commence plutôt -sauf observation en mode "tiens, un écureuil!"- un échange par une question, et j'avais observé que l'homme du groupe, introverti également, procédait de même.
J'ai échangé deux soirs de suite assez longuement avec un transfrontalier qui habite une ville dans laquelle je souhaite me rendre à vélo. Donc si/quand la frontière rouvre, ce serait l'occasion de mener à bien un projet que j'avais en tête et, au pire, de prendre une douche chez l'habitant, au mieux...
Un bémol cependant : il pose une question type "qu'est-ce que tu cherches sur tinder", je réponds et il part ensuite sur "oh tiens, je pense carrément la même chose". Il l'a fait deux fois de suite sur ce genre de questions, je tique un peu. Je vais lui dire un "toi d'abord" la prochaine fois qu'il me fait le coup.
@Lagertha~ : je pense que c'est entièrement possible et que tu as toutes les clés en mains pour l'être n'était-ce ce fameux contexte bien naze.
si tu le permets.
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De mon côté, je navigue sur tinder, toujours. Je lance des conversations que je laisse mourir si je vois qu'il n y a pas de vrai répondant : je peux faire preuve d'autant d'esprit que je veux, une conversation se mène à deux.
Là, il y a un mec qui pose devant sa bibliothèque avec qui j'ai un échange par soir depuis ce week-end et il a réussi à poser sa première question hier soir seulement (pour du factuel : sais-tu qui a fait X ?). J'avoue, je me calque sur son style de communication et ne pose plus de questions non plus.
Et c'est là que je me rends compte que les styles communicationnels peuvent être fondamentalement différents d'une personne à une autre (je suis un génie). Peut-être que pour lui, dire "je ne connais pas telle autrice, sans doute à tort', c'est suffisant pour que la personne en face développe sur les grandes qualités de l'autrice en question. Mais moi, je préfère les questions directes. Et je me demande si c'est une différence extraverti·e/introverti·e mais, pendant une rando que je faisais avec une dame éminemment sympathique, celle-ci commençait plus souvent à son tour une conversation sur une affirmation : elle me faisait part d'une opinion ou d'une de ses aventures, je rebondissais dessus en posant plus de question ou en lui donnant mon point de vue / ressenti. A contrario, je commence plutôt -sauf observation en mode "tiens, un écureuil!"- un échange par une question, et j'avais observé que l'homme du groupe, introverti également, procédait de même.
J'ai échangé deux soirs de suite assez longuement avec un transfrontalier qui habite une ville dans laquelle je souhaite me rendre à vélo. Donc si/quand la frontière rouvre, ce serait l'occasion de mener à bien un projet que j'avais en tête et, au pire, de prendre une douche chez l'habitant, au mieux...
Un bémol cependant : il pose une question type "qu'est-ce que tu cherches sur tinder", je réponds et il part ensuite sur "oh tiens, je pense carrément la même chose". Il l'a fait deux fois de suite sur ce genre de questions, je tique un peu. Je vais lui dire un "toi d'abord" la prochaine fois qu'il me fait le coup.
@Lagertha~ : je pense que c'est entièrement possible et que tu as toutes les clés en mains pour l'être n'était-ce ce fameux contexte bien naze.
@Slaw
@Zita97
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@Zita97
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