Pfiou hier, ça a un peu été les montagnes russes de mon côté. Ma dépendance affective a fait des siennes 
Globalement, je sens un vrai changement de mon côté. Je ne ressens pas trop l'angoisse de la séparation avec Vendredi, le gars que je fréquente depuis 2-3 semaines. On passe de bons moments et je n'ai pas spécialement envie de le quitter, mais ce n'est pas aussi fort que ça a pu l'être avec d'autres gars par le passé. J'étais vraiment angoissée et en manque après.
Là je le ressens pas trop. Je me sens pas mal après, je reprends le cours de ma vie
.
Bref, je pense que ces progrès sont dus au fait que je vis en coloc depuis août de l'année dernière. Le fait de jamais être vraiment seule me fait du bien. Et à la fois, j'ai l'impression pour la première fois de ma vie de faire des choses seule et d'être heureuse comme ça. Faut dire que je me mets en tête plein de petits projets à mener pour justement avoir une vie équilibrée.
Mais malgré tout (et c'est normal, je ne me fustige pas là-dessus pour le moment, ça se change pas du jour au lendemain ces choses-là) mes vieux réflexes attendent, tapis dans l'ombre
Hier, ça faisait 3 jours que je n'avais pas eu de messages de Vendredi. Avant il m'écrivait à peu près tous les jours et depuis la semaine dernière plus beaucoup.
Forcément avec ma peur panique du ghosting, je le vis mal. Plus le fait qu'avec C. j'avais senti au cours du 2ème-3ème mois une diminution de son enthousiasme, qui s'est confirmée 8-9 mois après quand il m'a annoncé que dès le début il avait senti que j'étais plus impliquée que lui. Donc c'est compréhensible finalement que ce soit difficile pour moi de me raisonner avec ce genre de choses. Je peux pas m'empêcher de craindre que l'enthousiasme de Vendredi ne soit retombé et que l'histoire se répète. Faudra vraiment que je lui en parle si ça continue. Là à la limite on était tous les 2 occupés chacun de notre côté donc ça pourrait expliquer.
Et donc hier j'étais pas bien parce qu'on avait dit qu'on se verrait mais sans discuter des détails et parce qu'à 14h j'avais toujours pas de news. Heureusement je l'ai pas trop harcelé de messages, juste 3 à 1h d'intervalle entre chaque pour savoir s'il avait passé un bon samedi, pour me tenir au courant de l'heure où on se verrait et pour lui dire que s'il était finalement plus dispo j'avais aussi besoin de le savoir pour organiser mon après-midi.
J'espère que ça a pas fait trop ressortir mon côté dépendant.
Tout le temps pendant lequel il ne m'a pas répondu, j'étais une vraie boule de nerfs. Le naturel revenait au galop. J'ai commencé par tenter de jouer à la console pour être occupée et en éteignant mon téléphone pour limiter mon envie de le regarder toutes les 3 secondes mais j'étais toujours aussi énervée. J'ai donc tenté la balade dehors.
Au final, c'était plutôt positif car au lieu de me morfondre en me goinffrant de cochonneries sucrées ou de faire l'autruche en dormant, j'ai tenté de faire des activités que j'aime en temps moins troublés. J'étais fébrile mais au moins je ne gachais pas ma vie et mon temps en attendant un message comme j'aurais pu le faire avant.
Il a fini par me répondre dans l'après-midi en tout cas et tout de suite mon stress et mon énervement sont descendus comme par magie. L'objectif à l'avenir sera de me calmer toute seule et de pas dépendre de la réponse de l'autre. Mais bon visiblement on y est pas encore.
On a passé une bonne soirée et j'étais un peu rassurée. Même si au début il se mettait super loin de moi dans son canapé. J'ai réussi à pas prendre ça comme un signe de quoi que ce soit #PetiteVictoire
Il y a quand même un truc qui me chiffonne c'est qu'en fait, je dis que son enthousiasme est un peu retombé et que ça m'inquiète, mais mon enthousiasme est aussi un peu retombé. Ce que je ne sais pas c'est ce qui cause ça. Est-ce que c'est le fait que je me protège suite à mes précédentes mésaventures amoureuses ? Ou est-ce que c'est juste que je suis enfin plus mesurée dans l'expression de mes sentiments ?
En fait, je ne sais pas si c'est juste une baisse d'enthousiasme plutôt classique ou si c'est en réaction à mes angoisses passées. Peut-être que je cherche à contrer ma dépendance en essayant de garder mes distances.
Mais ce qui me stresse c'est que je ne sais pas comment démêler tout ça. Comment savoir exactement ce qu'il se passe dans ma petite tête
Globalement, je sens un vrai changement de mon côté. Je ne ressens pas trop l'angoisse de la séparation avec Vendredi, le gars que je fréquente depuis 2-3 semaines. On passe de bons moments et je n'ai pas spécialement envie de le quitter, mais ce n'est pas aussi fort que ça a pu l'être avec d'autres gars par le passé. J'étais vraiment angoissée et en manque après.
Là je le ressens pas trop. Je me sens pas mal après, je reprends le cours de ma vie
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Bref, je pense que ces progrès sont dus au fait que je vis en coloc depuis août de l'année dernière. Le fait de jamais être vraiment seule me fait du bien. Et à la fois, j'ai l'impression pour la première fois de ma vie de faire des choses seule et d'être heureuse comme ça. Faut dire que je me mets en tête plein de petits projets à mener pour justement avoir une vie équilibrée.
Mais malgré tout (et c'est normal, je ne me fustige pas là-dessus pour le moment, ça se change pas du jour au lendemain ces choses-là) mes vieux réflexes attendent, tapis dans l'ombre
Hier, ça faisait 3 jours que je n'avais pas eu de messages de Vendredi. Avant il m'écrivait à peu près tous les jours et depuis la semaine dernière plus beaucoup.
Forcément avec ma peur panique du ghosting, je le vis mal. Plus le fait qu'avec C. j'avais senti au cours du 2ème-3ème mois une diminution de son enthousiasme, qui s'est confirmée 8-9 mois après quand il m'a annoncé que dès le début il avait senti que j'étais plus impliquée que lui. Donc c'est compréhensible finalement que ce soit difficile pour moi de me raisonner avec ce genre de choses. Je peux pas m'empêcher de craindre que l'enthousiasme de Vendredi ne soit retombé et que l'histoire se répète. Faudra vraiment que je lui en parle si ça continue. Là à la limite on était tous les 2 occupés chacun de notre côté donc ça pourrait expliquer.
Et donc hier j'étais pas bien parce qu'on avait dit qu'on se verrait mais sans discuter des détails et parce qu'à 14h j'avais toujours pas de news. Heureusement je l'ai pas trop harcelé de messages, juste 3 à 1h d'intervalle entre chaque pour savoir s'il avait passé un bon samedi, pour me tenir au courant de l'heure où on se verrait et pour lui dire que s'il était finalement plus dispo j'avais aussi besoin de le savoir pour organiser mon après-midi.
J'espère que ça a pas fait trop ressortir mon côté dépendant.
Tout le temps pendant lequel il ne m'a pas répondu, j'étais une vraie boule de nerfs. Le naturel revenait au galop. J'ai commencé par tenter de jouer à la console pour être occupée et en éteignant mon téléphone pour limiter mon envie de le regarder toutes les 3 secondes mais j'étais toujours aussi énervée. J'ai donc tenté la balade dehors.
Au final, c'était plutôt positif car au lieu de me morfondre en me goinffrant de cochonneries sucrées ou de faire l'autruche en dormant, j'ai tenté de faire des activités que j'aime en temps moins troublés. J'étais fébrile mais au moins je ne gachais pas ma vie et mon temps en attendant un message comme j'aurais pu le faire avant.
Il a fini par me répondre dans l'après-midi en tout cas et tout de suite mon stress et mon énervement sont descendus comme par magie. L'objectif à l'avenir sera de me calmer toute seule et de pas dépendre de la réponse de l'autre. Mais bon visiblement on y est pas encore.
On a passé une bonne soirée et j'étais un peu rassurée. Même si au début il se mettait super loin de moi dans son canapé. J'ai réussi à pas prendre ça comme un signe de quoi que ce soit #PetiteVictoire
Il y a quand même un truc qui me chiffonne c'est qu'en fait, je dis que son enthousiasme est un peu retombé et que ça m'inquiète, mais mon enthousiasme est aussi un peu retombé. Ce que je ne sais pas c'est ce qui cause ça. Est-ce que c'est le fait que je me protège suite à mes précédentes mésaventures amoureuses ? Ou est-ce que c'est juste que je suis enfin plus mesurée dans l'expression de mes sentiments ?
En fait, je ne sais pas si c'est juste une baisse d'enthousiasme plutôt classique ou si c'est en réaction à mes angoisses passées. Peut-être que je cherche à contrer ma dépendance en essayant de garder mes distances.
Mais ce qui me stresse c'est que je ne sais pas comment démêler tout ça. Comment savoir exactement ce qu'il se passe dans ma petite tête
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