@Poupoulpe : par "aura" c'est une espèce de...halo de lumière, un peu comme une ombre lumineuse (oula je ne suis pas claire ^^), sans pour autant être agressive, comme une veilleuse quoi.
Pour mon traitement, en fait ce qui s'est passé, c'est que j'ai pris la décision et après consultation avec un radiologue passionné par les maladies de ce genre (épilepsie, Alzeimer, crises d'angoisse, etc) on s'est rendu compte lui et moi que ce sont des crises d'angoisse que je fais mais sous forme de crises d'épilepsie généralisée. Ce qui explique donc mes intolérances aux différents traitements qu'on m'a passé, c'est tout simplement parce que ce n'est pas une véritable crise d'épilepsie... Ca y ressemble mais c'est différent ! En tout cas, j'ai bien vu la différence quand j'ai arrêté, une patate d'enfer, je revivais. Je ne m'étais jamais sentie aussi vivante. Une véritable renaissance.
Après, bien sur, arrêter son traitement n'est pas bien vu, surtout par le corps médical, qui renie absolument que les crises d'angoisse peuvent s'apparenter à de l'épilepsie. Pour eux, ce n'est pas possible
. J'ai du batailler pour prendre cette décision car bien sur, je dois faire gaffe surtout à mon sommeil. Ca m'est arrivé de me retrouver aux urgences justement à cause de mon manque de sommeil suite à une crise d'épilepsie après mon arrêt de traitement : et là, je ne te raconte pas le discours des urgentistes "Oh mais mademoiselle, vous savez, c'est pas bien de pas prendre son médicament pour l'épilepsie...Patati, patata...". Et quand tu veux t'expliquer, ils te refoutent une dose de Valium pour te zombifier encore plus. C'est un vrai combat. Mais j'assume ce choix d'avoir arrêter mon traitement, sinon je n'aurai pas pu continuer mes études, vu les effets secondaires dévastateurs que mes traitements m'infligeaient ; une véritable zombification, une lutte permanente avec le sommeil pour rester éveillée. C'est la cause principale de mon choix. 
Pour mon traitement, en fait ce qui s'est passé, c'est que j'ai pris la décision et après consultation avec un radiologue passionné par les maladies de ce genre (épilepsie, Alzeimer, crises d'angoisse, etc) on s'est rendu compte lui et moi que ce sont des crises d'angoisse que je fais mais sous forme de crises d'épilepsie généralisée. Ce qui explique donc mes intolérances aux différents traitements qu'on m'a passé, c'est tout simplement parce que ce n'est pas une véritable crise d'épilepsie... Ca y ressemble mais c'est différent ! En tout cas, j'ai bien vu la différence quand j'ai arrêté, une patate d'enfer, je revivais. Je ne m'étais jamais sentie aussi vivante. Une véritable renaissance.
Après, bien sur, arrêter son traitement n'est pas bien vu, surtout par le corps médical, qui renie absolument que les crises d'angoisse peuvent s'apparenter à de l'épilepsie. Pour eux, ce n'est pas possible
. J'ai du batailler pour prendre cette décision car bien sur, je dois faire gaffe surtout à mon sommeil. Ca m'est arrivé de me retrouver aux urgences justement à cause de mon manque de sommeil suite à une crise d'épilepsie après mon arrêt de traitement : et là, je ne te raconte pas le discours des urgentistes "Oh mais mademoiselle, vous savez, c'est pas bien de pas prendre son médicament pour l'épilepsie...Patati, patata...". Et quand tu veux t'expliquer, ils te refoutent une dose de Valium pour te zombifier encore plus. C'est un vrai combat. Mais j'assume ce choix d'avoir arrêter mon traitement, sinon je n'aurai pas pu continuer mes études, vu les effets secondaires dévastateurs que mes traitements m'infligeaient ; une véritable zombification, une lutte permanente avec le sommeil pour rester éveillée. C'est la cause principale de mon choix. 



mais si on a le droit de ne pas avertir son employeur alors bah je ferais de même. De toute façon pour ton ami c'est plus difficile que pour moi, lui ça arrive en mode vicieux. Moi je sais que ça surgit au réveil, je peux anticiper. Plein de love et de courage, je souhaite que ça aille mieux pour lui comme ça va mieux pour moi 


) que tes gosses aient un retard mental. C'est chouette hein ? Surtout que les neuros ne te préviennent pas...ou rarement. Mais le lamictal est aussi utilisé pour soigner les bipolaires et dépressifs entre autre... Rassurant.