Il y a deux aspects qui m'interrogent sur la question du nom de famille de nos jours:
- d'un point de vue administratif et historique, le nom de famille a toujours été un repère. En bonne généalogiste, j'ai des sueurs froides pour les généalogistes du futur qui devront composer avec tous ces divorces, adoptions, changements de noms, création de nouveaux noms, etc... (Après on est d'accord, le XXIe siècle n'a pas inventé le divorce, les enfants dont le père n'est pas le père etc, on est plutôt sur un changement d'échelle).
-du point de vue de l'identité. Est-ce que la transmission est quelque chose de bientôt considéré comme obsolète? Je trouve ça très bien que des personnes pour qui porter le nom du père biologique est une souffrance ait la possibilité de le changer (d'ailleurs j'ai le cas dans ma famille). C'est bien la preuve de l'importance du nom qu'on porte je crois? Et de ce que ce nom nous fait porter aussi...
Je ne sais pas si je suis très clair, je cherche pas du tout à défendre une forme de traditionalisme inquiet, mais voilà, je trouve quand même que la question du nom n'a rien d'anodin, en tous cas de mon point de vue.
- d'un point de vue administratif et historique, le nom de famille a toujours été un repère. En bonne généalogiste, j'ai des sueurs froides pour les généalogistes du futur qui devront composer avec tous ces divorces, adoptions, changements de noms, création de nouveaux noms, etc... (Après on est d'accord, le XXIe siècle n'a pas inventé le divorce, les enfants dont le père n'est pas le père etc, on est plutôt sur un changement d'échelle).
-du point de vue de l'identité. Est-ce que la transmission est quelque chose de bientôt considéré comme obsolète? Je trouve ça très bien que des personnes pour qui porter le nom du père biologique est une souffrance ait la possibilité de le changer (d'ailleurs j'ai le cas dans ma famille). C'est bien la preuve de l'importance du nom qu'on porte je crois? Et de ce que ce nom nous fait porter aussi...
Je ne sais pas si je suis très clair, je cherche pas du tout à défendre une forme de traditionalisme inquiet, mais voilà, je trouve quand même que la question du nom n'a rien d'anodin, en tous cas de mon point de vue.