Cet article me fait mal au cœur, c’est terrible de gagner l’affection d’une petite bête avant de s’en débarrasser dès la première complication. Cela me donne envie de vous partager ma propre expérience:
Avoir un animal était mon rêve depuis toute petite, malheureusement, mes parents ne voulant pas en avoir, j’ai dû attendre de quitter le nid familial pour adopter un chat. Avant de me lancer, je me suis plongée dans les guides sur les chats, puis renseignée sur les éleveurs, pensé à l’aménagement de l’appartement… Autant vous dire que c’était pour ma part un acte plus que réfléchi. Cela fait maintenant 8 mois que je vis avec mon adorable boule de poils et même si elle égaye mon quotidien et m’apporte beaucoup d’amour, ce n’est pas sans contraintes ni stress. Avoir un chat, c’est répéter 1000 fois les mêmes choses, c’est passer beaucoup de temps à nettoyer ses bêtises ou sa litière, voir voler des poils à foison, assister à ces moments où votre chaton tout mignon se transforme en véritable fauve déchainé qui saute sur tout ce qui bouge, c’est se prendre des coups de griffes régulièrement, devoir tout repenser l’agencement de l’appartement et votre mode de vie, supporter ses miaulements intempestifs à 2h00 du matin…. J’ai beau être particulièrement patiente et éprouver une véritable fascination pour mon chaton, il y a des moments où je me sens complétement dépassée et craque.
Avoir un chat c’est aussi être là lorsqu’il est malade, l’amener chez le véto et lui donner ses médicaments même s’il ne veut pas. Mon chaton a eu d’importants soucis de santé à ses 5mois (que je n’avais absolument pas vu venir) et mine de rien, les nombreux rdv chez le véto, le scanner, l’opération chirurgicale, les vaccins et nombreux traitements sont très couteux en temps et en argent. Cela a également été très dur psychologiquement car j’y suis très attachée et j’ai eu peur de le perdre.
Mes conseils pour ceux qui envisagent adopter un chat, seraient de bien prendre le temps de réfléchir avant de franchir le pas, en prenant soin de peser le pour et le contre. Si vous souhaitez adopter dans un élevage, je pense qu’il est important de bien se renseigner sur la race (certaines races sont plus faciles que d’autres, plus robustes que d’autres, plus calmes que d’autres…) et sur l’environnement dans lequel le chat a grandi (accès à l’extérieur ou pas, personnalité de la mère…). Pourtant, même en se renseignant un maximum, il est difficile de prédire comment votre chat se comportera, car cela dépend de sa personnalité (difficile à cerner chez le jeune chaton) et d’un tas d’autres facteurs dont la manière dont vous vous comporterez avec lui. C’est en raison de cette grande part d’aléas qu’il faut bien se demander si l’on est prêt à accorder du temps et de l’argent à son chat. J’ai trop souvent entendu « le chat est un animal indépendant, c’est tranquille et sans contraintes, tu n’auras rien à faire » et dieu merci je n’y jamais cru, mais je pense que malheureusement cette croyance doit être à l’origine de grand nombres d’abandons. Je n’ai jamais eu de chien, mais certains chats sont très attachés à leurs maîtres et demandent énormément d’attention, comme le mien.
Avoir un animal était mon rêve depuis toute petite, malheureusement, mes parents ne voulant pas en avoir, j’ai dû attendre de quitter le nid familial pour adopter un chat. Avant de me lancer, je me suis plongée dans les guides sur les chats, puis renseignée sur les éleveurs, pensé à l’aménagement de l’appartement… Autant vous dire que c’était pour ma part un acte plus que réfléchi. Cela fait maintenant 8 mois que je vis avec mon adorable boule de poils et même si elle égaye mon quotidien et m’apporte beaucoup d’amour, ce n’est pas sans contraintes ni stress. Avoir un chat, c’est répéter 1000 fois les mêmes choses, c’est passer beaucoup de temps à nettoyer ses bêtises ou sa litière, voir voler des poils à foison, assister à ces moments où votre chaton tout mignon se transforme en véritable fauve déchainé qui saute sur tout ce qui bouge, c’est se prendre des coups de griffes régulièrement, devoir tout repenser l’agencement de l’appartement et votre mode de vie, supporter ses miaulements intempestifs à 2h00 du matin…. J’ai beau être particulièrement patiente et éprouver une véritable fascination pour mon chaton, il y a des moments où je me sens complétement dépassée et craque.
Avoir un chat c’est aussi être là lorsqu’il est malade, l’amener chez le véto et lui donner ses médicaments même s’il ne veut pas. Mon chaton a eu d’importants soucis de santé à ses 5mois (que je n’avais absolument pas vu venir) et mine de rien, les nombreux rdv chez le véto, le scanner, l’opération chirurgicale, les vaccins et nombreux traitements sont très couteux en temps et en argent. Cela a également été très dur psychologiquement car j’y suis très attachée et j’ai eu peur de le perdre.
Mes conseils pour ceux qui envisagent adopter un chat, seraient de bien prendre le temps de réfléchir avant de franchir le pas, en prenant soin de peser le pour et le contre. Si vous souhaitez adopter dans un élevage, je pense qu’il est important de bien se renseigner sur la race (certaines races sont plus faciles que d’autres, plus robustes que d’autres, plus calmes que d’autres…) et sur l’environnement dans lequel le chat a grandi (accès à l’extérieur ou pas, personnalité de la mère…). Pourtant, même en se renseignant un maximum, il est difficile de prédire comment votre chat se comportera, car cela dépend de sa personnalité (difficile à cerner chez le jeune chaton) et d’un tas d’autres facteurs dont la manière dont vous vous comporterez avec lui. C’est en raison de cette grande part d’aléas qu’il faut bien se demander si l’on est prêt à accorder du temps et de l’argent à son chat. J’ai trop souvent entendu « le chat est un animal indépendant, c’est tranquille et sans contraintes, tu n’auras rien à faire » et dieu merci je n’y jamais cru, mais je pense que malheureusement cette croyance doit être à l’origine de grand nombres d’abandons. Je n’ai jamais eu de chien, mais certains chats sont très attachés à leurs maîtres et demandent énormément d’attention, comme le mien.