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Comment boire avec modération ?
- Initiateur de la discussion QueenCamille
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JAK-STAT
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Je suis quasi tout les conseils de l'article, bon j'avoue j'ai fais des conneries du genre prendre de la mauvaise qualité, boire trop vite, en trop grande quantité et quand j'ai eu un trou noir je me suis dit… PLUS JAMAIS !!! Cette sensation est vraiment atroce, je ne sais pas comment les gens font pour vivre avec.
Maintenant c'est pas avant 20h voire 21h, un verre par heure, de la bouffe, du soft, des verres dosés, doucement et de la qualité. Pas obligé que ce soit un truc qui coute les yeux de la tête, mais pas l'alcool à 3 euros qui à plus le gout de l'éthanol qu'autre chose. Comme ce sera de la qualité, ça va t'obliger à savourer et donc boire plus lentement.
Perso les fêtes où ce n'est que de la beuverie j'évite, ça ne m'intéresse pas et j'ai toujours peur de tomber sur quelqu'un de violent.
Maintenant c'est pas avant 20h voire 21h, un verre par heure, de la bouffe, du soft, des verres dosés, doucement et de la qualité. Pas obligé que ce soit un truc qui coute les yeux de la tête, mais pas l'alcool à 3 euros qui à plus le gout de l'éthanol qu'autre chose. Comme ce sera de la qualité, ça va t'obliger à savourer et donc boire plus lentement.
Perso les fêtes où ce n'est que de la beuverie j'évite, ça ne m'intéresse pas et j'ai toujours peur de tomber sur quelqu'un de violent.
Boire un verre d’eau entre chaque verre d’alcool. Radical mais efficace.
J'avoue qu'arriver à la fac ne m'a pas juste appris à devenir une étudiante sérieuse en théorie freudienne #facdepsycho, le perfectionnement était plutôt dans l'alcoolisme notoire 
En plus, comme je viens du Sud-Ouest et que la culture de la fête est très prononcée chez nous, c'est pas l'environnement qui m'aidait à être plus raisonnable... Mais au bout de 3 années de vie étudiante couplée de quelques cuites particulièrement féroces, ça m'a passé l'envie de faire la folle comme ça, surtout quand on prend conscience des dégâts que ça crée dans le corps de se prendre des mines, surtout de manière répétée *les jeudis soirs* 
En plus, comme je viens du Sud-Ouest et que la culture de la fête est très prononcée chez nous, c'est pas l'environnement qui m'aidait à être plus raisonnable... Mais au bout de 3 années de vie étudiante couplée de quelques cuites particulièrement féroces, ça m'a passé l'envie de faire la folle comme ça, surtout quand on prend conscience des dégâts que ça crée dans le corps de se prendre des mines, surtout de manière répétée *les jeudis soirs* 
J'ai adoré cet article qui m'a permis de me sentir moins seule haha !
J'ai bien ri merci !!
Et sinon, le vrai gros problème c'est bien les "situations à risque"... Open bar, free shots, jeux d'alcool... Aïe aïe aïe !
J'ai bien ri merci !!
Et sinon, le vrai gros problème c'est bien les "situations à risque"... Open bar, free shots, jeux d'alcool... Aïe aïe aïe !
J'ai pris deux cuites atroces.
Plus jamais (surtout que la seconde j'ai été franchement désagréable avec tout le monde).
Depuis je ne franchis plus la limite de la pinte de bière ou des deux verres de vin.
Plus jamais (surtout que la seconde j'ai été franchement désagréable avec tout le monde).
Depuis je ne franchis plus la limite de la pinte de bière ou des deux verres de vin.
J'ai l'impression d'être en décalage avec les jeunes de mon age qui font des soirées (j'ai 22 ans). J'ai commencé les soirées vers 16-17 ans et c'était des soirées à base de jeux d'alcool, enchaînant les vodka-orange, et puis à force l'intérêt pour ce genre de soirée s'est estomper, je me souviens des lendemains difficiles, des galères en cours de route (du genre faire 10km en talons de 8cm et robe à pied la nuit...), de tomber malade après une soirée, etc et finalement je trouve que ça ne vaut pas le coup.
Après mon bac j'ai fais un BTS, donc j'avais pas le même rythme qu'un étudiant à la fac et beaucoup plus d'heures, donc les soirées le jeudi soir c'était mort et globalement je ne trouvais pas ça génial de concilier études et soirées, c'était pour les cas exceptionnels en vacances seulement.
Et maintenant j'ai totalement délaissé les alcools de mauvais goûts, je ne bois que ce qui me plait, et si y'a que du whisky/vodka et des softs, je préfère rester sobre avec un jus d'orange que de boire juste pour l'ivresse.
Et puis la qualité à la quantité maintenant surtout !
Au lieu de se taper les vieux curly et biscuit apéro industriel accompagné l'alcools fort avec des connaissances et potes de soirée... Une super soirée apéro avec 2-3 amis proches, du bon vin de bourgogne et des toasts et roulés fait maison y'a pas photo !
Après mon bac j'ai fais un BTS, donc j'avais pas le même rythme qu'un étudiant à la fac et beaucoup plus d'heures, donc les soirées le jeudi soir c'était mort et globalement je ne trouvais pas ça génial de concilier études et soirées, c'était pour les cas exceptionnels en vacances seulement.
Et maintenant j'ai totalement délaissé les alcools de mauvais goûts, je ne bois que ce qui me plait, et si y'a que du whisky/vodka et des softs, je préfère rester sobre avec un jus d'orange que de boire juste pour l'ivresse.
Et puis la qualité à la quantité maintenant surtout !
Au lieu de se taper les vieux curly et biscuit apéro industriel accompagné l'alcools fort avec des connaissances et potes de soirée... Une super soirée apéro avec 2-3 amis proches, du bon vin de bourgogne et des toasts et roulés fait maison y'a pas photo !
@merbaltique L'euphorie, tu te sent détendu, plus sociable, plus émotif, complètement désinhibé. MAIS ce n'est absolument pas une bonne idée de boire pour ressentir ces effets là.
@merbaltique De par mon expérience personnelle:
-tu sens que ton cerveau fonctionne au ralenti (difficulté de comprendre les autres, difficulté à t'exprimer, difficulté à te concentrer).
-difficultés psychomotrices (tu as du mal à tenir debout, tu deviens maladroite).
-«brouillard» dans le cerveau.
-Ta vraie nature remonte à la surface (perso, à ce stade, je suis hilare).
-Tu agis de façon irresponsable, et généralement, tu ne t'en souviens pas le lendemain.
-Le lendemain, mal de tête, fatigue, regrets, mauvaise humeur.
-tu sens que ton cerveau fonctionne au ralenti (difficulté de comprendre les autres, difficulté à t'exprimer, difficulté à te concentrer).
-difficultés psychomotrices (tu as du mal à tenir debout, tu deviens maladroite).
-«brouillard» dans le cerveau.
-Ta vraie nature remonte à la surface (perso, à ce stade, je suis hilare).
-Tu agis de façon irresponsable, et généralement, tu ne t'en souviens pas le lendemain.
-Le lendemain, mal de tête, fatigue, regrets, mauvaise humeur.
J
JAK-STAT
Guest
@merbaltique ça dépend des gens, moi je rigole pour rien et je suis 300x plus sociable. Je sais quand même me contrôler et surveiller les autres et j'ai jamais eu de trou de mémoire. En fait le seul truc que tu peux voir c'est que j'ai un grand sourire et que je tangue un peu 
@merbaltique Ca dépend des gens, moi ça me donne juste bien mal à la tête et la nausée (et assez vite en plus). Je peux devenir hilare et bebête à condition d'être avec les bonnes personnes et la bonne musique. C'est sûrement utile pour certains mais useless pour d'autres.
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