c'est drôle, moi c'est mon copain qui a vu passer la BD en premier, et hier, il me demande (alors que je prépare à bouffer lol) "euh dis, tu trouves que j'ai pas ma part de charge mentale?"avec un air tout penaud... sur le coup j'ai rien compris, et ça n'est que ce matin que j'ai vu passer la BD dans mon fil facebook.
ça a eu le mérite de nous en faire parler. je suis clairement consciente que mon mec est plutôt un gars 2.0. à la maison, il ne fait pas son fainéant loin de là, chez nous, on a plutôt partagé les tâches... la cuisine c'est moi, la vaisselle c'est lui, la lessive c'est moi qui la lance et plie les affaires, c'est lui qui l'étend etc... et puis quand celui qui doit le faire ne peut pas, c'est l'autre qui prend la relève parce qu'il faut bien que ça avance. mais malgré ça, il faut admettre que c'est moi qui planifie, c'est moi qui compte le nombre de rouleau de PQ restant, qui sait à quelle date il faut faire telle démarche, tel paiement.où est-ce qu'on en est dans le budget du mois. mes jours de repos, je me fais un planning comprenant au moins "courses, faire de la cuisine d'avance pour la semaine, rangement, ménage", alors que lui veut profiter de ses jours de repos pour se reposer justement. c'est flagrant quand on n'a pas les mêmes jours de repos... si je suis de repos et qu'il rentre le soir, en général je lui raconte que j'ai rangé tel truc, réparé tel autre, acheté des légumes... dans le cas inverse, la réponse est "je me suis reposé". enfin je dis ça, et je réalise qu'en fait, quand on a les mêmes jours de repos, comme je me réveille avant lui, en fait je me lève plus tôt et je fais une partie de ce programme pendant son sommeil...
alors je trouve ça plutôt cool qu'il ait lu la BD tout seul, et qu'il se soit demandé si lui, qui fait pourtant plein de tâches ménagères, avait la même charge mentale que moi. dans notre cas, je pense que les torts sont partagés... parce que je suis tellement habituée à avoir mon schéma mental de "faire ci, puis faire ça etc..." que je délègue peu. il m'en a déjà fait le reproche, il y a beaucoup de choses où je décide seule et où je prends l'initiative sans lui en faire part. et à force de faire seule... on en vient aussi à déresponsabiliser l'autre.
ça a eu le mérite de nous en faire parler. je suis clairement consciente que mon mec est plutôt un gars 2.0. à la maison, il ne fait pas son fainéant loin de là, chez nous, on a plutôt partagé les tâches... la cuisine c'est moi, la vaisselle c'est lui, la lessive c'est moi qui la lance et plie les affaires, c'est lui qui l'étend etc... et puis quand celui qui doit le faire ne peut pas, c'est l'autre qui prend la relève parce qu'il faut bien que ça avance. mais malgré ça, il faut admettre que c'est moi qui planifie, c'est moi qui compte le nombre de rouleau de PQ restant, qui sait à quelle date il faut faire telle démarche, tel paiement.où est-ce qu'on en est dans le budget du mois. mes jours de repos, je me fais un planning comprenant au moins "courses, faire de la cuisine d'avance pour la semaine, rangement, ménage", alors que lui veut profiter de ses jours de repos pour se reposer justement. c'est flagrant quand on n'a pas les mêmes jours de repos... si je suis de repos et qu'il rentre le soir, en général je lui raconte que j'ai rangé tel truc, réparé tel autre, acheté des légumes... dans le cas inverse, la réponse est "je me suis reposé". enfin je dis ça, et je réalise qu'en fait, quand on a les mêmes jours de repos, comme je me réveille avant lui, en fait je me lève plus tôt et je fais une partie de ce programme pendant son sommeil...
alors je trouve ça plutôt cool qu'il ait lu la BD tout seul, et qu'il se soit demandé si lui, qui fait pourtant plein de tâches ménagères, avait la même charge mentale que moi. dans notre cas, je pense que les torts sont partagés... parce que je suis tellement habituée à avoir mon schéma mental de "faire ci, puis faire ça etc..." que je délègue peu. il m'en a déjà fait le reproche, il y a beaucoup de choses où je décide seule et où je prends l'initiative sans lui en faire part. et à force de faire seule... on en vient aussi à déresponsabiliser l'autre.