@Valentina- on en revient au grand principe : ça dépend des bébés/enfants
Si, il y a des enfants qui vont tester le cadre. Beaucoup, tout le temps. Et non c'est pas parce que les parents ont fait X ou Y quand ils étaient jeunes. C'est horrible quand on dit ça aux parents dont les enfants ont un trouble d'opposition par exemple : non seulement ils doivent faire face à ce déferlement d'opposition mais en plus on leur dir que c'est leur faute. Et qu'ils auraient pu ne pas vivre ça s'ils n'avaient pas fait X ou Y.
Les enfants ont des tempéraments différents, dès la naissance. Aux parents de s'y adapter.
Mon fils marche très fort au renforcement positif par exemple. Le valoriser quand il fait les choses qu'on veut, ça marche du tonnerre sur lui. Alors que quand on le gronde, il a une stricte politique d'escalade du conflit, et c'est souvent stérile.
Ca ne veut pas dire qu'on ne le gronde pas : il y a des fois où il faut marquer les limites donc oui, il file dans sa chambre (ou le fauteuil).
Mais on sait qu'on a de meilleurs résultats si en moyenne on utilise plus le renforcement positif ou les astuces de type "donner le choix".
Y a d'autres enfants pour qui ça ne marche pas.
Je crois personnellement que la parentalité bienveillante, c'es avant tout un état d'esprit du parent : considérer que son enfant est une personne, qu'il a sa vie propre, ses émotions propres et que tout en ayant un rôle d'éducateur et de gardien, on est tenu de le respecter en tant que personnes.
Mes parents m'ont eue début des années 80 et ils m'ont dit qu'ils s'étaient beaucoup inspiré de la philosphie québecquoise de l'époque en matière d'éducation : le grand principe étant "les enfants sont des petites personnes".
C'est tout con, mais c'est important. Essentiel même
Et le mot "petites" est important aussi : ce sont des personnes à part entières mais qui ont encore besoin de guide et de protecteur. Ils ne sont pas sur le même plan que nous pour certains aspects. Mais le respect qu'on leur doit est non négociable
@guerredesmiroirs je comprends que ton message découle d'un grand ras-le-bol (en tous cas j'en ai l'impression) masi crois-moi qu'on a beau avoir lu mille manuels, on peut vite se retrouver dépassé, et ce même si on se renseigne et qu'on essaie de bien faire.
J'ai envie de dire : parfois, c'est même quand on se renseigne trop et qu'on veut suivre les préceptes à la mode sans se faire confiance ou sans s'adapter à son enfant qu'on peut se retrouver perdu alors qu'on essaie de tout bien faire.
Si, il y a des enfants qui vont tester le cadre. Beaucoup, tout le temps. Et non c'est pas parce que les parents ont fait X ou Y quand ils étaient jeunes. C'est horrible quand on dit ça aux parents dont les enfants ont un trouble d'opposition par exemple : non seulement ils doivent faire face à ce déferlement d'opposition mais en plus on leur dir que c'est leur faute. Et qu'ils auraient pu ne pas vivre ça s'ils n'avaient pas fait X ou Y.
Les enfants ont des tempéraments différents, dès la naissance. Aux parents de s'y adapter.
Mon fils marche très fort au renforcement positif par exemple. Le valoriser quand il fait les choses qu'on veut, ça marche du tonnerre sur lui. Alors que quand on le gronde, il a une stricte politique d'escalade du conflit, et c'est souvent stérile.
Ca ne veut pas dire qu'on ne le gronde pas : il y a des fois où il faut marquer les limites donc oui, il file dans sa chambre (ou le fauteuil).
Mais on sait qu'on a de meilleurs résultats si en moyenne on utilise plus le renforcement positif ou les astuces de type "donner le choix".
Y a d'autres enfants pour qui ça ne marche pas.
Je crois personnellement que la parentalité bienveillante, c'es avant tout un état d'esprit du parent : considérer que son enfant est une personne, qu'il a sa vie propre, ses émotions propres et que tout en ayant un rôle d'éducateur et de gardien, on est tenu de le respecter en tant que personnes.
Mes parents m'ont eue début des années 80 et ils m'ont dit qu'ils s'étaient beaucoup inspiré de la philosphie québecquoise de l'époque en matière d'éducation : le grand principe étant "les enfants sont des petites personnes".
C'est tout con, mais c'est important. Essentiel même
Et le mot "petites" est important aussi : ce sont des personnes à part entières mais qui ont encore besoin de guide et de protecteur. Ils ne sont pas sur le même plan que nous pour certains aspects. Mais le respect qu'on leur doit est non négociable
@guerredesmiroirs je comprends que ton message découle d'un grand ras-le-bol (en tous cas j'en ai l'impression) masi crois-moi qu'on a beau avoir lu mille manuels, on peut vite se retrouver dépassé, et ce même si on se renseigne et qu'on essaie de bien faire.
J'ai envie de dire : parfois, c'est même quand on se renseigne trop et qu'on veut suivre les préceptes à la mode sans se faire confiance ou sans s'adapter à son enfant qu'on peut se retrouver perdu alors qu'on essaie de tout bien faire.