Alerte gros troll sur Solsticesdivers. Il a probablement lâché que JK Rowling est une autrice "mineure" par pure provocation et ça marche. Inutile de perdre du temps avec cet individu.
Commentaires sur Fan d’Harry Potter mais anti-transphobe, ce musée bannit le nom de J.K Rowling de son expo
- Initiateur de la discussion Maya Boukella
- Date de début
@Mellys le club Dorothée n’a pas vocation à être une œuvre d’art, mais on peut dire que c’était une émission importante. Dans les phénomènes culturels on trouve des œuvres, des jeux, des émissions, des plats, des vêtements et accessoires.
Après je trouve ça un peu injuste de dire que les livres au plus gros succès c’est a cause de la visibilité et du marketing.
Je te rejoins sur le fait que plein d’œuvres ne sont malheureusement pas promues à leur juste valeur alors que certaines bénéficient d’une bonne visibilité qui leur permet de se vendre.
Mais il y a aussi plein de livres et œuvres super bien marketes qui vont faire un flop. A ce niveau de succès c’est pas juste de la bonne pub. D’autres auraient peut être encore plus mérité et n’ont pas eu cette chance, c’est possible mais si ça se trouve même super bien promus ça n’aurait pas aussi bien marché.
JK Rowling répond à des rêves/ espoirs fantasmes partagés par beaucoup de jeunes, EL James a permis à des milliers de madames tout le monde de frétiller de la nouille, quand elles n’en avaient jamais eu l’occasion via la lecture avant.
Hors qualité littéraire il y a ce que tu apportes aux gens, si tu leur permet de s’identifier, de répondre à une problématique, de leur permettre de s’évader…
Après je trouve ça un peu injuste de dire que les livres au plus gros succès c’est a cause de la visibilité et du marketing.
Je te rejoins sur le fait que plein d’œuvres ne sont malheureusement pas promues à leur juste valeur alors que certaines bénéficient d’une bonne visibilité qui leur permet de se vendre.
Mais il y a aussi plein de livres et œuvres super bien marketes qui vont faire un flop. A ce niveau de succès c’est pas juste de la bonne pub. D’autres auraient peut être encore plus mérité et n’ont pas eu cette chance, c’est possible mais si ça se trouve même super bien promus ça n’aurait pas aussi bien marché.
JK Rowling répond à des rêves/ espoirs fantasmes partagés par beaucoup de jeunes, EL James a permis à des milliers de madames tout le monde de frétiller de la nouille, quand elles n’en avaient jamais eu l’occasion via la lecture avant.
Hors qualité littéraire il y a ce que tu apportes aux gens, si tu leur permet de s’identifier, de répondre à une problématique, de leur permettre de s’évader…
@Destiel Mok´ si tu relis ce que j'ai écrit, je n'ai dit que le succès d'un livre/série/film etc tient uniquement au marketing. Mais ça joue beaucoup. Et je ne dis pas non plus que parce que quelque chose est populaire, c'est d'office "pas bon".
Alors oui bien sûr, il y a des "oeuvres" promues a grand coup de marketing et bcp de budget et qui font un flop parce que c'est mauvais et heureusement. Le marketing n'est pas une garantie de succès, mais ça aide beaucoup.
Pour revenir au phénomène Harry Potter, il est né et a grossi à l'origine sans marketing. C'était à l'époque même un peu étonnant qu'un livre jeunesse réunisse une telle communauté, qu'on retrouve des foules et des files devant les librairies pour chaque sortie de tomes. C'était déjà un succès avant même la sortie des films qui a marqué une explosion du phénomène.
Mais le marketing a bien sauté sur l'occasion et a permis d'accroître le phénomène et de toucher d'avantage de population pour que ça devienne le phénomène qu'on connait.
Alors oui bien sûr, il y a des "oeuvres" promues a grand coup de marketing et bcp de budget et qui font un flop parce que c'est mauvais et heureusement. Le marketing n'est pas une garantie de succès, mais ça aide beaucoup.
Pour revenir au phénomène Harry Potter, il est né et a grossi à l'origine sans marketing. C'était à l'époque même un peu étonnant qu'un livre jeunesse réunisse une telle communauté, qu'on retrouve des foules et des files devant les librairies pour chaque sortie de tomes. C'était déjà un succès avant même la sortie des films qui a marqué une explosion du phénomène.
Mais le marketing a bien sauté sur l'occasion et a permis d'accroître le phénomène et de toucher d'avantage de population pour que ça devienne le phénomène qu'on connait.
M
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Guest
@Pipistrelle. La discussion s'oriente de façon plutôt intéressante je trouve. On s'éloigne un peu du point de départ, certes, mais ce n'est pas un mal.
@Mellys Tout à fait d'accord avec toi. Pour ce point marketing, c'est vraiment une alchimie qui prend ou pas, il y a de l'orchestration, avec des gens qui investissent beaucoup d'argent en prenant le risque que ça marche... ou pas. Et quand ça marche, bin plus ça marche, plus ça marche. Les films ont eu beaucoup de succès, et c'est d'eux que sont sortis tout ces objets à acheter. Les figurines, les poupées, les stylos, les baguettes magiques, les vêtements, etc etc. Ça aurait pu rester juste "littéraire", je veux dire: des livres et l'imaginaire de chacun. Mais les images ont été plaquées, et avec les images, des répliques à acheter.
Et c'est là que ça devient du commerce pur. (Ce que personnellement je trouve dommage, parce que ça remplace l'imagination par la consommation, très sommairement).
@Mellys Tout à fait d'accord avec toi. Pour ce point marketing, c'est vraiment une alchimie qui prend ou pas, il y a de l'orchestration, avec des gens qui investissent beaucoup d'argent en prenant le risque que ça marche... ou pas. Et quand ça marche, bin plus ça marche, plus ça marche. Les films ont eu beaucoup de succès, et c'est d'eux que sont sortis tout ces objets à acheter. Les figurines, les poupées, les stylos, les baguettes magiques, les vêtements, etc etc. Ça aurait pu rester juste "littéraire", je veux dire: des livres et l'imaginaire de chacun. Mais les images ont été plaquées, et avec les images, des répliques à acheter.
Et c'est là que ça devient du commerce pur. (Ce que personnellement je trouve dommage, parce que ça remplace l'imagination par la consommation, très sommairement).
M
Membre supprimé 372187
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@Pipistrelle. Ah bon. Le qualificatif de "mineur" m'a surprise aussi, on sent une envie de provoquer, oui, mais bon, je trouve que ça ne va pas très loin. C'est peut-être le syndrôme de la mi-août qui frappe, l'ennui du milieu d'été, tout ça...
@Bibici : je pense, comme @Pipistrelle., qu’il s’agit d’une forme de provocation. Je participe rarement aux « Réactions aux articles », par contre je les lis, et je peux t’assurer que Solsticedivers n’en est pas à son coup d’essai. Il a l’art et la manière de formuler des énormités avec un calme olympien. Ainsi, il n’est jamais « inquiété », car poli en surface. Il ne dépasse jamais assez les limites pour avoir des ennuis. C’est récurrent et fatigant pour les lecteur·rice·s (j’ai bondi en lisant « on parle d'un écrivain assez mineur »).
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