@nipoune Peut-être mais ils ont pas été conviés à l'organisation au départ / ni invités formellement : cqfd le projet ne les concerne pas à la base. C'est déplacé de partir du principe qu'il est normal de squatter / s'imposer à la dernière minute sous prétexte que "on vit qu'une fois, z'auront qu'à s'adapter et puis voilà" (enfin de mon point de vue)
Si j'ai envie de convier quelqu'un à un projet je le préviens, sinon je ne le fais pas. C'est pas parce que je l'ai "oublié" (même si ça peut arriver), c'est que la personne rentre pas spécialement dans le projet à la base en fait
Quant au fils, ben... s'il est pas capable d’être seul dans sa belle-famille sans avoir papa-maman avec lui pour "optimiser" / faire une pierre deux coups... Ben moi je le verrai comme un manque de respect vis à vis de sa belle-famille.

Ses beaux-parents n'ont pas à se tordre en deux parce que lui-même et ses parents sont pas foutus de se voir ensemble de leur côté, c'est leur problème

Même si je comprends ton approche du genre "plus on est de fous plus on rit", "pourquoi exclure, fermer la porte etc.". Certains leur approche c'est "niquez pas mes plans et ma conception de l'intimité"
Contexte pour comprendre mon point de vue (strictement personnel): je viens d'une famille où
- la famille nucléaire prime sur les cousinades,
- les voyages à plusieurs en maison de famille n'existent pas,
- "se taper tous le repas de famille dominical avec la belle-famille toutes les deux semaines c'est nope"
- "la famille en troupeau c'est à petites doses hein"
- les gens sont éloignés géographiquement et n'en font pas une maladie si les liens se distandent
- d'une manière générale on aime bien être prévenus et planifier quand on vient nous rendre visite parce que notre train train est prioritaire
- personne n'a jamais exigé de personne (parents et enfants) de rester dans le même département / à 2 km avec des menaces du genre "je vais être si seule, on fait pas des enfants pour qu'ils s'éloignent ouin la famille c'est sacré et ça reste dans le canton".