Euh, pardon ?Je vis super mal cette mise à l’écart, mais je n’ai pas encore osé lui rentrer dans le lard
Je suis d'accord avec toutes les réponses ici, y compris celle de la Daronne (on pourrait faire un exercice de ne pas commencer ses phrases par "je" ne serait-ce que pour remettre l'Eglise au centre du village 5 minutes).
Mais ce bout de phrase ?
Qui veut rentrer dans le lard de sa sœur dont on est teeellement proches qu'on ne respecte pas le bouleversement qu'elle est en train de traverser ?
Qui veut rentrer dans le lard d'une femme, d'une famille en train de se créer?
Qui est-on en fait pour rentrer dans le lard de qui que ce soit, de manière générale, a fortiori quand cette personne se contente de vivre sa vie comme elle l'entend ?
La seule fracture que je vois venir c'est celle que l'autrice de la lettre risque de créer si elle ne sort pas le nez de son nombril très rapidement, je crois.
(je suis toujours un peu remontée contre les personnes manquant de considération pour les autres, j'espère que cette lettre est fictive au fond de moi).