C'est totalement de mauvaise foi.
S'il n'y avait que 4 sujets dont on peut parler sur cette planète, qu'un sujet représente un quart des articles, ce serait logique.
Mais là, il y a PLUSIEURS DIZAINES de sujets dont on peut parler. Donc si un seul sur des dizaines représente un quart des articles et que le reste en représente les trois-quarts, c'est bien qu'il y a une disparité totale.
Pourquoi ça s'imposait ? Au nom de quoi il faut nous imposer un quart d'articles parlant de parentalité ? Qui a décrété ça ? Qu'est-ce qui fait qu'il est obligatoire d'aborder la parentalité ? On a déjà des tonnes de magazines féminins qui traitent de parentalité, y en avait vraiment pas besoin d'un autre alors que des magazines féminins qui ne parlent pas de parentalité, ça, ça manque.
Fatalement, si plein de femmes sont des mères, plein d'hommes sont des pères. Cherche moi un seul magazine masculin qui traite
autant de la parentalité.
@PoussiM
Tout d'abord, sache que je suis sincèrement navrée si mes propos ont pu te blesser, ça n'était et ça n'est pas mon intention.
J'entends que ce n'est pas un article tout à fait comme les autres et je ne reproche absolument pas son existence. C'est plutôt le contexte. Je ne peux m'empêcher de me demander si, en même temps qu'ils ont reçu ton témoignage, ils n'ont pas reçu d'autres témoignages ne parlant pas de parentalité mais ont fait le choix de ne publier QUE le tien (qui mérite d'être publié hein !) plutôt que de publier le tien ET un autre.
Je sais que je fais dans les suppositions mais disons que l'excès d'articles sur ce sujet m'amène à me poser des questions sur les choix éditoriaux.
Un magazine féminin et parfois même féministe qui parlait d'autres choses que de parentalité et/ou de maquillage et de mode à tout va, c'était une vraie bouffée d'air frais ! Pendant longtemps, le choix pour les femmes étaient assez restreints. Ou alors il fallait se tourner vers des magazines destinés à un lectorat plus masculin mais alors là, fallait avoir les reins solides pour supporter tout le sexisme qu'il y avait.
C'est quand même sacrément décevant de voir qu'au fil des années, la bouffée d'air frais s'est transformé en nuage étouffant.
Et puis je me demande pour celles qui sont parents : vu que votre quotidien tourne déjà autour de la parentalité, vous n'avez pas envie justement de pouvoir lire
autre chose ?