Dans la catégorie Petit Dej salé moi c'est pain complet avec fromage type St Moret ou carré frais ou Chavroux 
Commentaires sur Sans le savoir, nous consommons de plus en plus de sucre
- Initiateur de la discussion Maya Boukella
- Date de début
@Chat-au-Chocolat Pour l'école je suis surprise, il me semble qu'on a à peu près le même âge (mais si ça se trouve je me goure 
) et je me souviens avoir vu la fameuse pyramide alimentaire plusieurs fois à l'école primaire, et à nouveau au collège (de mémoire en 5e, en cours de SVT 
). Bon c'était pas non plus super détaillé (la question des additifs n'était pas abordée par exemple), et il y avait effectivement des contre-vérités sur la viande et les produits laitiers, mais au moins la base de la base était couverte (pas trop gras trop sucré trop salé - avec des exemples, donc typiquement le fameux gâteau qui contient des bouts de fraises -, beaucoup de fruits et de légumes, les ratios glucides-protéines-lipides, et le fait qu'il y ait à la fois des maladies liées aux carences et des maladies liées aux excès). Je me souviens même d'avoir fait un exercice où il fallait corriger une ration alimentaire fictive pour l'adapter aux besoins d'une personne.
Par contre je te rejoins sur le fait qu'on manque cruellement de communication sur le fait qu'un verre de jus de fruit n'est pas équivalent à un fruit.
) et je me souviens avoir vu la fameuse pyramide alimentaire plusieurs fois à l'école primaire, et à nouveau au collège (de mémoire en 5e, en cours de SVT ). Bon c'était pas non plus super détaillé (la question des additifs n'était pas abordée par exemple), et il y avait effectivement des contre-vérités sur la viande et les produits laitiers, mais au moins la base de la base était couverte (pas trop gras trop sucré trop salé - avec des exemples, donc typiquement le fameux gâteau qui contient des bouts de fraises -, beaucoup de fruits et de légumes, les ratios glucides-protéines-lipides, et le fait qu'il y ait à la fois des maladies liées aux carences et des maladies liées aux excès). Je me souviens même d'avoir fait un exercice où il fallait corriger une ration alimentaire fictive pour l'adapter aux besoins d'une personne.Par contre je te rejoins sur le fait qu'on manque cruellement de communication sur le fait qu'un verre de jus de fruit n'est pas équivalent à un fruit.
@Kaktus Je ne sais pas dans le cas de ta mère, mais pour la mienne il y avait une grosse dimension "temps" dans l'attrait pour les plats préparés. Le fast-food typiquement, il y a eu une année où on prenait un McDo au drive tous les mercredis soirs parce que je finissais mon cours de piano à 20h et qu'elle ne voulait pas cuisiner ensuite (et avant pas trop possible non plus, on avait athlé de 15h à 17h). Donc comme beaucoup de parents elle a fait des compromis, c'en était un parmi d'autres. Idem l'année où elle était prise par sa recherche d'une maison et des problèmes familiaux, on a rarement aussi mal mangé. Elle et mon père n'étaient pas des grands cuisiniers, donc on a souvent eu des plats surgelés ou des improvisations douteuses de type omelette aux knackis (voire le "ce soir on fait un dîner petit déj", donc des céréales)... Mais à côté de ça bah j'ai pu faire du sport et de la musique, et in fine je pense m'être bien rattrapée ensuite sur la nutrition, une fois que j'ai eu plus d'autonomie alimentaire (je n'ai jamais développé de problèmes de santé entre temps - mon frère avait vaguement un surpoids à un moment mais sa poussée de croissance a mobilisé toutes les réserves). Bref, je ne peux pas trop jeter la pierre aux parents pressés qui passent le mercredi à faire le taxi (ou la soirée à assurer l'intendance sur tout) et font des choix.
Après c'est un vaste sujet, quoi privilégier par rapport à quoi, j'imagine qu'on doit aussi pouvoir trouver des exemples de personnes qui ont développé des problèmes de santé dès l'enfance à cause d'une mauvaise alimentation, et qui n'ont pas été résolus ensuite.
Après c'est un vaste sujet, quoi privilégier par rapport à quoi, j'imagine qu'on doit aussi pouvoir trouver des exemples de personnes qui ont développé des problèmes de santé dès l'enfance à cause d'une mauvaise alimentation, et qui n'ont pas été résolus ensuite.
@EvaEva pour celui que j'ai pu goûter là-bas c'était du pain de mie en tranches si je me souviens bien, mais c'était il y a plus de quinze ans je me souviens juste que le goût de certains aliments m'avait marquée (la moutarde aussi, la sauce salade...)
Oui je me demande aussi pour les sodas, parce que je ne me souviens plus comment ils m'avaient paru à l'époque. Ca fait quand même une sacrée différence en quantité de sucre en tout cas
je me souviens juste que le goût de certains aliments m'avait marquée (la moutarde aussi, la sauce salade...)Oui je me demande aussi pour les sodas, parce que je ne me souviens plus comment ils m'avaient paru à l'époque. Ca fait quand même une sacrée différence en quantité de sucre en tout cas
@EvaEva Je cuisine (i.e. c'est aussi un hobby pour moi) et chez nous on paye nos courses relativement cher (sans viande pourtant, aka un des trucs qui plombe le plus les budgets), mais je pense que ça dépend effectivement beaucoup des recettes que tu fais, et à l'inverse de ce que tu entends par "plats préparés" (portions individuelles ou gros sachets familiaux, marque distributeur ou grande marque, petit plat mijoté ou purée...). Je sais qu'on paye cher parce qu'on achète beaucoup d'herbes et d'épices, du lait d'avoine, du chocolat, les oeufs toujours bio, le petit fromage puant qui va bien, souvent des pâtes fraîches en plus des sèches, énormément de fruits et légumes que je prends de préférence au marché de producteurs ou en magasin bio... Et on n'achète pas dans des quantités énormes vu qu'on est que 2 et qu'on aime bien varier les menus (on mange nos restes de la veille au soir le midi, mais on ne va pas cuisiner pour 8 repas non plus quoi), donc ça contribue à faire monter le prix. Ca doit être dur de faire des généralités dessus, je pense que la comparaison du coût "maison" VS "déjà prêt" doit beaucoup dépendre de la recette ?
@Kaktus (Désolée pour le DP du coup, le timing ) Nous aussi la "junk food" c'était plusieurs fois par semaine pendant la période en question (genre dans une semaine on allait avoir le fameux McDo du mercredi, mais aussi une omelette aux knackis, un repas nuggets surgelés - pommes noisettes, un dîner-petit déj, du fromage aux pâtes et une pizza à emporter). J'ai jamais mangé de repas au goûter, par contre il y avait les gros beignets au Nutella de la boulangerie à 200m de chez moi qui me faisaient de l'oeil 
je ne saurais pas dire à quelle fréquence j'en mangeais.
Évidemment il y a plein de déterminants en plus du temps, i.e. pas forcément l'énergie de lutter contre un enfant difficile (ou juste très demandeur en frites, je sais que c'était le cas de mon frère par exemple) au prix de potentiellement multiplier par trois le temps du repas à lutter pour qu'il mange enfin son duo fondue de poireaux-cabillaud de chez Picard, l'argent cité plus haut (Picard c'est cher), ou juste le fait dans certains cas le fait d'identifier à tort un plat tout fait comme étant équilibré (beaucoup sont trop salés par exemple). Après oui, j'imagine bien que des fois c'est juste du désintérêt vis-à-vis de la question de l'équilibre alimentaire, qui passe après d'autres trucs dans les préoccupations de la personne, et qu'on peut en vouloir a posteriori à un parent de nous avoir "mal nourri" si on a eu des problèmes de santé par exemple. Clairement ma mère je pense qu'au-delà du temps elle avait aussi une fatigue mentale qui faisait qu'à un moment elle n'avait plus d'énergie à consacrer à "comment faire manger équilibré à mes enfants en ayant peu de temps, peu de compétences culinaires ET un fils qui râle si son repas n'est pas à base de patates". En tout cas, ne connaissant pas les tenants et les aboutissants de la situation de chacun, j'aurais vraiment du mal à juger le chariot d'autrui en faisant les courses. Tout en étant aujourd'hui dans la team "la nourriture c'est très important" (à la fois gustativement et nutritionnellement).
(Désolée pour le pavé
)
) Nous aussi la "junk food" c'était plusieurs fois par semaine pendant la période en question (genre dans une semaine on allait avoir le fameux McDo du mercredi, mais aussi une omelette aux knackis, un repas nuggets surgelés - pommes noisettes, un dîner-petit déj, du fromage aux pâtes et une pizza à emporter). J'ai jamais mangé de repas au goûter, par contre il y avait les gros beignets au Nutella de la boulangerie à 200m de chez moi qui me faisaient de l'oeil je ne saurais pas dire à quelle fréquence j'en mangeais.Évidemment il y a plein de déterminants en plus du temps, i.e. pas forcément l'énergie de lutter contre un enfant difficile (ou juste très demandeur en frites, je sais que c'était le cas de mon frère par exemple
) au prix de potentiellement multiplier par trois le temps du repas à lutter pour qu'il mange enfin son duo fondue de poireaux-cabillaud de chez Picard, l'argent cité plus haut (Picard c'est cher), ou juste le fait dans certains cas le fait d'identifier à tort un plat tout fait comme étant équilibré (beaucoup sont trop salés par exemple). Après oui, j'imagine bien que des fois c'est juste du désintérêt vis-à-vis de la question de l'équilibre alimentaire, qui passe après d'autres trucs dans les préoccupations de la personne, et qu'on peut en vouloir a posteriori à un parent de nous avoir "mal nourri" si on a eu des problèmes de santé par exemple. Clairement ma mère je pense qu'au-delà du temps elle avait aussi une fatigue mentale qui faisait qu'à un moment elle n'avait plus d'énergie à consacrer à "comment faire manger équilibré à mes enfants en ayant peu de temps, peu de compétences culinaires ET un fils qui râle si son repas n'est pas à base de patates". En tout cas, ne connaissant pas les tenants et les aboutissants de la situation de chacun, j'aurais vraiment du mal à juger le chariot d'autrui en faisant les courses. Tout en étant aujourd'hui dans la team "la nourriture c'est très important" (à la fois gustativement et nutritionnellement).(Désolée pour le pavé
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@Musaraigne @Kaktus Ah bah c’est marrant, je n’en ai aucun souvenir C’est que ça ne devait pas être bien passionnant. Après il y a aussi une différence entre un truc très théorique (qu’on ne retiendra pas), et des cours pratiques, qui parlent concrètement de la façon dont il faut se nourrir pour être en bonne santé, des astuces à mettre en place au supermarché (décrypter la compo des produits, connaître les taux de sucre et de sel à ne pas dépasser au quotidien, etc) . Vraiment, c’est un domaine qui est très vaste, et qui va bien au-delà de « manger des fruits et légumes ». Et des cours de cuisine aussi ! Je sais que dans certains pays ça se fait à l’école, et c’est vraiment un concept que je trouve intéressant. Perso quand je suis partie de chez mes parents, je ne savais rien faire et je me nourrissais très mal. J’ai appris sur le tas, j’ai fini par m’intéresser à la nutrition, mais ce n’est clairement pas un chemin que tout le monde fait.
C’est que ça ne devait pas être bien passionnant. Après il y a aussi une différence entre un truc très théorique (qu’on ne retiendra pas), et des cours pratiques, qui parlent concrètement de la façon dont il faut se nourrir pour être en bonne santé, des astuces à mettre en place au supermarché (décrypter la compo des produits, connaître les taux de sucre et de sel à ne pas dépasser au quotidien, etc) . Vraiment, c’est un domaine qui est très vaste, et qui va bien au-delà de « manger des fruits et légumes ». Et des cours de cuisine aussi ! Je sais que dans certains pays ça se fait à l’école, et c’est vraiment un concept que je trouve intéressant. Perso quand je suis partie de chez mes parents, je ne savais rien faire et je me nourrissais très mal. J’ai appris sur le tas, j’ai fini par m’intéresser à la nutrition, mais ce n’est clairement pas un chemin que tout le monde fait.
@Chat-au-Chocolat dans mon école (en Belgique, année 90), il y avait des cours de cuisine optionnelle. Mais j'avais refusé d'y aller car toutes les filles y allaient et du coup je craignais que ça soit un truc sexiste et donc j'avais choisi d'aller en programmation a la place.
Je regrette un peu
Mon fils de 3 ans m'aide bcp quand je fais la cuisine. C'est des petites taches. Mais clairement un de mes objectifs est qu'il soit autonome quand il quitte la maison et ça passe par savoir se faire a manger. Pour pas devoir tout apprendre a 20 ans comme moi.
Je regrette un peu
Mon fils de 3 ans m'aide bcp quand je fais la cuisine. C'est des petites taches. Mais clairement un de mes objectifs est qu'il soit autonome quand il quitte la maison et ça passe par savoir se faire a manger. Pour pas devoir tout apprendre a 20 ans comme moi.
J'arrive comme un cheveu sur la soupe mais @Kettricken pour un petit-dej salé vegan (parce que mon option préférée, ça reste l'oeuf à la coque), j'aime beaucoup le natto (graines de soja fermentées), c'est assez particulier, ça se fait traditionnellement plutôt avec du riz mais je trouve que sur une tartine de pain complet grillé c'est excellent ! L'idéal c'est de le préparer avec un peu de sauce de soja et de moutarde. C'est un goût assez singulier, souvent décrié au premier abord, mais perso j'adore. On en fait en France et on peut en commander sur internet (natto du dragon notamment).
J'éditerai quand tu supprimeras:
voilà comment je me débrouille (en sachant que je n'ai pas de TCA), je le mets en spoiler des fois que tu n'es pas envie de lire tout ça.
voilà comment je me débrouille (en sachant que je n'ai pas de TCA), je le mets en spoiler des fois que tu n'es pas envie de lire tout ça.
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@Phare Pas du tout je suis dentiste! Sur la mastication et le sucre ce que je raconte, ce sont les recommandations pour les dents et les mâchoires. Tout le reste c'est du témoignage (donc aucune valeur scientifique). Concernant la nutrition (hors sucre), je n'ai aucune formation dessus donc ce que je raconte c'est aussi du témoignage et l'accumulation des infos chopées sur des reportages.
Mais ce que je vois dans mon métier c'est que même si le corps vieillit et gère de moins en moins bien au fur et à mesure de la vie, il est quand même ultra performant à se maintenir en vie malgré des habitudes de vie délétères. On est une belle machine.
Mais ce que je vois dans mon métier c'est que même si le corps vieillit et gère de moins en moins bien au fur et à mesure de la vie, il est quand même ultra performant à se maintenir en vie malgré des habitudes de vie délétères. On est une belle machine.
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