@Pélagique
Je suis d'accord avec toi.
J'ai exagéré pour montrer de l'alcool est parfois excessivement diabolisé (sans pour autant être inoffensif), en montrant l'exemple d'une autre molécule pas inoffensive mais qui est beaucoup moins diabolisée.
Mais bien sûr que le sucre ne peut pas être comparé à des drogues dures (faut pas déconner non plus) car il n'a pas le même retentissement social vu qu'il dérègle le métabolisme et non le cerveau, et qu'une personne en surpoids ou obèse arrive à mener une vie plus normale qu'un cocaïnomane, mais être obèse a quand même un retentissement sur la qualité de vie, et on peut en mourir.
C'est pour ça que je mets le sucre et l'alcool à peu près au même plan : 2 molécules qui sont agréables à consommer et dont la consommation peut ne pas avoir d'impacts sur la santé et la qualité de vie, mais qui sont quand même addictives (car avec un impact sur le circuit de la récompense) et pour lesquelles il existe donc un risque de basculer dans une hyper consommation qui, elle, possède des conséquences sur la santé (cancer, maladie, décès) et sur la vie sociale (exclusion, marginalité etc...), sans pour autant vous transformer en zombie.
Je suis d'accord avec toi.
J'ai exagéré pour montrer de l'alcool est parfois excessivement diabolisé (sans pour autant être inoffensif), en montrant l'exemple d'une autre molécule pas inoffensive mais qui est beaucoup moins diabolisée.
Mais bien sûr que le sucre ne peut pas être comparé à des drogues dures (faut pas déconner non plus) car il n'a pas le même retentissement social vu qu'il dérègle le métabolisme et non le cerveau, et qu'une personne en surpoids ou obèse arrive à mener une vie plus normale qu'un cocaïnomane, mais être obèse a quand même un retentissement sur la qualité de vie, et on peut en mourir.
C'est pour ça que je mets le sucre et l'alcool à peu près au même plan : 2 molécules qui sont agréables à consommer et dont la consommation peut ne pas avoir d'impacts sur la santé et la qualité de vie, mais qui sont quand même addictives (car avec un impact sur le circuit de la récompense) et pour lesquelles il existe donc un risque de basculer dans une hyper consommation qui, elle, possède des conséquences sur la santé (cancer, maladie, décès) et sur la vie sociale (exclusion, marginalité etc...), sans pour autant vous transformer en zombie.