ben on a plus les notifs ou alors is on veut charger la page google ne retrouve plus le site... faut attendre une ou deux minutes pour revenir dessusÇa marche ici. Qu'est-ce qui se passe ?
mais ca va mieux là
ben on a plus les notifs ou alors is on veut charger la page google ne retrouve plus le site... faut attendre une ou deux minutes pour revenir dessusÇa marche ici. Qu'est-ce qui se passe ?
Merci =)Je viens de demander @Fab, c'est bientôt 4h, l'heure de la sauvegarde automatique. Normalement, c'est rien ... (J'espère !).
Moi ils m'ont pas mentionnéAh je suis soulagée, il m'a mentionnée
J'ai un stress post traumatique donc ca peut venir de la, alors?Je ne sais pas si c'est de l'asexualité ou un syndrome post traumatique... Je pense que c'est à creuser.
Ca va se compliqué la j'ai 2 viol, le 1er c'était lors de ma premiere fois. Quand je faisais l'acte c'était comme si je me dissociat de mon corps. C'était plutot comme si j'avais l'esprit ailleurs.Oui enfin je pense pas que tu "deviennes" asexuelle après ça je pense vraiment que c'est un SPT. Si la personne ne ressentait pas de blocages ou de mal-être intérieur, qui se dévoile avec l'agression ou le viol, ça me parait... "Bizarre"
@Ma poule : D'où le travail sur moi. Je sais que ça peut être simplement un blocage psychologique qui fait que physiquement, je ressens rien. Une peur de se laisser aller, perdre le contrôle, le fait que j'interprète mal le plaisir par exemple.
Mais ça peut juste être physique, un périnée mal musclé, que je ne sache pas ce qui me fait plaisir.
Donc je travaille sur les deux. J'apprends ce qui me fait plaisir quand je le lis/regarde/autre et j'essaye de voir où sont les bons points sur moi. Comme dans l'épisode de Friends où Monica fait la carte et les combos à faire pour un orgasme féminin, tu vois ?
Mais après, je me rends compte - depuis que je suis seule - que le plaisir que me procure la lecture, un plaisir physique - mais sans contact, avec juste la pensée - me convient très bien.
Je me prends la tête juste à cause de la pression sociale que ça fout. Mais finalement, on s'en fout, libération de la culotte !