Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Découvre J’y crois encore, la magnifique histoire d’amour avec KJ Apa et Britt Robertson
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Ce qu'on apprend en 15 secondes de recherches google, c'est que ce fameux Jeremy Camp est un musicien... de rock chrétien évangélique.
Ses parents sont pasteurs, et il a étudié dans une université évangélique.
C'est quand même pas la branche chrétienne la plus modérée, dirons-nous, alors bon je me méfie VRAIMENT de la moral véhiculée par le film...
EDIT : après visionnage de la bande-annonce, ça se confirme. Ca pue le prosélytisme à plein nez. D'ailleurs, je n'avais pas fait plus gaffe au titre, mais il annonce la couleur aussi.
Merci @plic tic !@Philippine M
Il y a deux fois le titre « j’y crois encore, ça parle de quoi ? » dans l’article.
Je rejoins @Mijou, le film est présenté comme un « film biographique chrétien américain », peut-être serait-il bon d’ajouter cette information dans l’article ?
Le prosélytisme désigne l'attitude de personnes cherchant à « susciter voire forcer l'adhésion » d'autres personnes (d'un public éventuellement) à leur foi. Par extension, le prosélytisme désigne le zèle déployé afin de rallier des personnes à un dogme ou une théorie ou doctrine.
Pas besoin d'avoir eu à attendre l'élection de Trump pour "le côté prosélyte" : je rappelle qu'en France la série "7 à la maison" passait en fin d'après-midi sur TF1 au début des années 2000...ça m'a interpellé également pour le côté prosélyte du film, en cette époque trumpienne...