Défi écriture : place ces mots dans ton texte !

10 Mars 2012
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Valdorin était un de ces petits villages plein de charme du sud de la France. Niché entre deux montagnes, il abritait tout au plus six ou sept cents habitants, dont la plupart étaient nés ici. C'étaient des vieux de la vieille, aucun ne voulait quitter le village, se rapprocher des enfants, des villes, des hôpitaux.
-"Nan! Plutôt crever!" s'énervait Georges.
-"Mais papa, t'es plus tout jeune et puis tu pourrais passer plus de temps avec les enfants. Ca leur ferait plaisir d'avoir leur papi"
-"Non, Non et NON! Mildiou!"
Il y tenait trop à son bout de terre dans le village Georges, à l'air pur et aussi aux copains. Faut dire qu'on y était bien à Valdorin. Enfin. Jusqu'à l'arrivée de l'avorton.

Il ya six mois, ce pauvre Albert avait passé l'arme à gauche et c'est son petit neveu qui avait hérité de la maison. L'énergumène en question s'appelait Philippe. Il avait la dégaine d'un vendeur d'armes, la crédibilté en moins. C'était un de ces petits arrogants, chemise ouverte, poils apparents, chaîne en or, surplus de gomina dans les cheveux. Au village, quand il ne bousculait pas les papis, il terrifiait les mamies. Au guidon de sa moto, il dessinait des cercles autour de leurs petits corps tétanisés, cabrait, s'amusait de leurs cris. Le soir, alors que tous avaient trouvé le sommeil, lui se berçait d'un doux "Highway to hell" d'ACDC, poussant le son au maximum, sûrement par crainte qu'à l'autre bout du village, on ne l'entende pas. Partageur le garçon.
Alors quand tous comprirent qu'il ne partirait pas, que ça ne s'arrangerait pas, ils décidèrent d'agir. Après tout, ils avaient vu la guerre, les poilus et les pouilleux, ils en connaissaient un rayon. Au début, c'est Martha qui devait envoyer des lettres de menaces. Elle était inspiré Martha, elle regardait "faites entrer l'accusé", et puis elle allait tout de même pas se laisser faire par le cornichon. Alors chaque soir, elle glissait ses petits doigts habiles dans ses ciseaux et découpait de grosses lettres dans son "Nous Deux". C'est José qui se chargeait de les déposer. Elle était pas peu fière de leur effet Martha, faut dire qu'elle l'écoutait religieusement le Hondelatte. Mais ces derniers temps elle lui trouvait une petite mine, la dépression il paraît. Sûrement à cause de l'air de Paris pensait-elle. C'était ensuite au tour de Lucien et Josy, les pâtissiers, d'entrer en jeu. Quand l'ennemi venait se servir, ils lui réservaient le spécial chocolat-noisettes-tu finis aux toilettes. Pour le grand final, ils s'étaient tous réunis. Georges avait crevé les pneus de sa bécane le forçant à rentrer à pied. Au signal de Jackie, Jeannot avait lâché sa Dolly, un beau bébé de 25 kilos nourri au steack. Boum! Direct dans la fesse droite qu'elle avait croqué. Deux pâtés de maisons plus loin, c'est Louise qui devait se charger de lui déverser un seau d'eau croupie sur la tête.

Adieu la gomina! Adieu le Philippe. Il avait eu sa dose le petit. Il est parti, laissant les vieux de la vieille le sourire jusqu'aux oreilles.
 
31 Mai 2012
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Elle baissa les yeux légèrement énervée. Le stress commençait a monter et elle ne put empercher quelques tremblements de la parcourir. Elle commençait aussi à avoir très chaud et ne pouvait plus se contrôler. Elle essayât de calmer sa respiration et entrepris quelques exercices de relaxation qui ne pouvaient être en ce moment que bénéfiques... Le stress redescendit d'un cran ("mais pas pour longtemps" pensât t'elle).

Son père devait bientôt arriver pour la mener jusqu’à l’église ou la cérémonie débuterais. Elle pensa que dans quelques heures elle se serait mariée et qu'a ce moment la elle ne pourrait plus revenir en arrière. Cet homme, elle l'aurait épousé. Etait ce vraiment ce qu'elle désirait? Elle regardât son reflet dans le miroir une intterogation dans les yeux... Bien sur elle l'appréciait et était bien avec lui. Elle savait que jamais il ne lui ferais de mal, que toujours il la protégerait cependant malgré cela elle était certaine d'une chose: elle ne l'aimait pas. Pourtant elle essayait de tout son coeur, elle aurait voulu aimer cette homme car dans ce cas elle aurait été heureuse... Mais elle n'y arrivait pas.

Elle n'eu pas le temps d'y songer plus longtemps car son père arrivât a ses côtés
"Prête?"
Elle eu envie de répondre que non qu'elle voulait juste partir pour ne pas abuser de la confiance de cet homme, pour ne pas se mentir a elle même... Mais elle n'y arrivât pas et aucun mot de sortit de sa bouche. Il prit son bras et commençât à la mener jusqu'a l'église. Elle voulu ralentir le rythme, arrêter le temps, faire quelque chose....
Alors d'un coup sans qu'elle n'y est vraiment pensé auparavant, prise d'un impulsion soudaine et irrépressible elle se mit à courir pour fuir ce lieu, cette église, ce mariage, cet homme. Ses talons retentissaient sur le goudron et entraînée par les claquements elle courait toujours plus loin. Soudain le bruit cessa d'un seul coup et elle se rendit compte qu'elle courrait à présent sur de l'herbe et qu'elle était bien loin de l'église.

Elle éclata de rire et se laissa tomber par terre. Ce mariage était une catastrophe et pourtant elle était heureuse...
 
10 Mars 2012
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«Pourquoi je dois subir ça déjà?»
«Parce que c'est le mariage de la petite cousine de ton père et que tu dois y assister. Désolée mon poussin mais tu n'y échapperas pas.»
«Hum super...»Tout ça à cause de ces foutus liens du sang... Ca donne toujours de jolis films avec des spaghettis, de la belle musique, Al Pacino et tout mais dans la vraie vie ça vous force à assister au mariage de la cousine Lucile et de son cher et tendre Alfred. Ok, j'avoue ne pas y mettre de la bonne volonté mais faut dire que je sais déjà comment ça va se passer.

10 heures zéro zéro. La cérémonie va commencer. Lucile fait son apparition. Je meurs. Déjà les poules se pressent autour de leur reine, la félicitent pour son beau maquillage bleu métallisé, ses cheveux blonds gaufrés si en vogue dans les années 80 et pour ses nouvelles dents si bien mises en valeur par un rose à lèvres d'un goût certain. Ca ressemblerait presque à un ballet aquatique, tous ces chapeaux immenses pour de si petites têtes, toutes ces couleurs qui virevoltent, dansent autour de la mariée. Je cherche à me frayer un chemin, mes pieds sont écrasés, les poules ne me voient pas, encore éblouies par l'apparition de la grâce en personne, elles me bousculent se retournant juste pour voir sur quoi elles ont buté. Mais je m'en sors. J'ai pas le gabarit d'une fée clochette, je décide de la jouer rugbyman, et après avoir affronté quelques mines outrées, je m'assois enfin à ce qui me semble être la meilleure place. Loin. Très loin.
Entendons nous bien, c'est pas que le bonheur soit pas contagieux, c'est que ces gens là, comment dire, j'y arrive pas. C'est la même chose à chaque fois, dès que je pose un pied sur la campagne natale de mon père, c'est la même histoire. On me regarde de travers d'abord, la ptite citadine qui débarque chez son pôpa, qui doit sûrement croire que les poissons, c'est carré et pané, qu'est pas capable de retirer sa chaussure pour tuer une araignée. Et puis on préjuge vite, les gens de la ville y sont hautains, ça juge et ça vous prend de haut. Pourtant moi j'ai jamais jugé personne. J'ai toujours eu envie moi de découvrir d'autres milieux, d'autres gens, d'autres vies. On m'en laisse pas le choix, et à longue, ces séjours commencent à me laisser un goût amer. Alors de devoir regarder Lucile, l'applaudir, faire comme si, ça m'enchante pas, forcément. Mais maman m'a dit de rien dire, de me tenir, d'arrêter un peu avec mon caractère. T'entends caractère? Reste en veilleuse. Quand la cousine Lucile viendra te demander avec sa fausse naïveté comment tu la trouves, évite de lui dire qu'elle ressemble à une prostituée à bas prix. Quand la tante Jacqueline te regardera de haut parce que «*t'es bien grasse ma poulette, moi regarde j'ai fait le régimeuh Ducanne*» retiens toi de lui dire que sa gaine ne trompe personne. Quand la grand mère critiquera tes choix de vie, ton métier qui paie pas, évite de lui rappeler que elle, justement, elle a jamais rien foutu de sa chienne de vie. Faudra laisser les gens faire comme si, comme si ils étaient grands, faudra les laisser parler, rentrer dans leur jeu... Pas de catastrophes a dit maman.

23 heures zéro zéro. L'abus d'alcool est-il dangereux pour la santé? Pas aux vues des quantités ingurgitées. Ca se soule et ça rigole, mais j'ai tenu bon, j'ai noyé mon vin dans mon eau. C'était pas si terrible après tout et puis le cadre est sympa. Je sortirai bien un peu d'ailleurs. J'enlève ces talons qui me blessent, je sens l'herbe fraîche sous mes pieds, l'air est devenu plus léger, mon coeur est déjà un peu moins serré.
 
23 Novembre 2011
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Villeneuve d'Ascq
Un texte un peu glauque après les jolis écrits pour les mots de cette semaine. J'aime beaucoup cet exercice !

___________________________________________


Je sens un liquide couler sur ma joue.
J’essuie la larme qui coule délicatement sur ma peau blanche. Mais c’est inutile. Un torrents de gouttes salées suivent et s’enchainent sans que je ne puisse les arrêter. Ma poitrine se soulève sous l’effet de mes sanglots étouffés et je me sens si seule, si triste.
Autour de moi, on me regarde avec pitié. Tous ces gens, rassemblés, je les connais, les ragots sur cet accident bizarre iront bon train lors de la réception. Je le hais tous. Ils sont la cause de mon malheur.
Mes pleurs se font déchirant. Mais peut importe.
La pluie tombe à verse et l’herbe s’aplatit. La cérémonie est réussie, au moins. Tout y est. Le noir, les larmes, la pluie. Le cercueil.
Je m’approche du grand trou carré. C’est au fond de cette abime qu’il va désormais reposer. Lui qui détestait tant les ténèbres. Le soir, nous étions dans le lit, et je le rassurais avant qu’il ne s’endorme tendrement dans mes bras.
Alors que je me penche pour prendre une poignée de terre et lui dire adieu une dernière fois, je glisse. Catastrophe. Je suis une catastrophe.
Je tombe lourdement sur dans son cercueil. Et, une dernière fois, j’entours de mes bras son frêle corps pâle, avant que les ténèbres ne l’enlacent.​
 
18 Mars 2012
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COURTEFONTAINE
« Dans une clairière cernée de chênes centenaires sont assis une dizaine de personnes, habillées de vêtements de cuir et de lin clairs, toutes agenouillées face à une grande femme debout, les deux bras tendus devant elle. Ses très longs cheveux d'un roux presque rouge flamboient sous les dernières lueurs des deux géantes rouges qui descendent à l'horizon, accompagnées d'un panache de nuances roses et orangées.
La femme est habillée d'une longue tunique vert sombre en lin, d'un pantalon beige, bouffant et serré à partir des genoux par des bottes hautes en cuir. Devant elle, dans une petite coupelle cuivrée, grésille doucement une poignée d'herbes. Une fumée blanche et acre s'en dégage, rapidement chassée par un léger vent.
Plus loin, une dizaine de chevaux sont entravés. Bien que nerveux, ils restent immobiles, à observer les alentours.
Kalindra jette un coup d'œil à sa jument puis fixe à nouveau la femme rousse, qui n'a pas bougé d'un pouce, mais s'est mise à chantonner une douce mélodie. Kalindra soupire. Cette cérémonie, décidée à la dernière minute, l'attriste autant que l'affole. En effet, une double éclipse avait eu lieu au matin, et depuis, tous étaient nerveux. Elle qui n'était pas de ce continent, n'avait pas compris tout de suite les raisons de cette panique sourde. Mais aussitôt qu'elle y avait réfléchi, elle s'était souvenu des rites basiques et d'un chant qui résonnait maintenant autour d'elle : "quand les deux yeux de braise cligneront au matin, alors les Six Grandes Catastrophes des Tarkos plongeront ce monde dans le froid et l'oubli. »


Un p'tit texte improvisé rapidos, pour tester l'idée. Le présent peut choquer, mais je suis tant habituée à écrire des scénarios que je trouve ça bizarre sans, maintenant... :cretin:
 
25 Avril 2012
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lyon
Ben, ça me parait évident : si je fume de l'herbe juste avant ma cérémonie de mariage, je pense que je suis tout à fait capable de me transformer en véritable catastrophe. C'est tout !
 
9 Avril 2012
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Jazeneuil
- Chérie ? Tu m'écoute ? me demanda ma femme dans mon dos.
- Oui, oui... dis-je doucement, concentré sur mon journal.
Je l'entendis marmonner des paroles incompréhensibles dans mon dos et n'en tint pas compte, bien trop absorbé par ma lecture. Elle soupira et m'arracha mon journal.
- Tu pourrais au moins y mettre du tient, d'indigna-t-elle. Tu crois que ça m'amuse d'aller à cette cérémonie ? Mais, enfin, comprends moi Guillaume, je ne peux pas faire cela à mes parents. Ce n'est pas tous les jours que l'on fête ses noces d'argent... Alors, je mets la rouge ou la jaune ?
Elle se plaça juste devant moi, me séparant de mon journal par son corps. Elle tenait dans chaque main l'une de ses robes.
- T'as qu'à mettre la jaune, proposais-je en soupirant.
- Mais tu ne les a même pas regardées ! Oh et puis zut hein ! Dépêche toi de t'habiller, on n'a plus beaucoup de temps.
- Mais chérie, tu sais bien que tes parents me détestent, si je viens, je risque de gâcher leur fête.
- Ah non ! cria-t-elle, soudain rouge de colère. Tu ne vas pas recommencer ! Je ne veux pas le cirque de l'autre jour, j'espère que je suis assez claire. Aujourd'hui, c'est un grand jour pour eux, et je me dois d'être présente avec mon mari. Alors, tu viens avec moi, et tu te tiendra tranquille toute la journée.
- Arrête, je n'ai rien fais la dernière fois, c'était l'idée de ton cousin Paul.
- Rien fais ! Vous avez passé votre temps à jouer avec des enfants en vous roulant dans l'herbe. J'en étais rouge de honte. Depuis, mes parents refusaient de me parler, donc, pour une fois que j'ai l'occasion de me rattraper, je ne vais pas rater ma chance.
-Très bien, dis-je en attrapant mon journal. Et ben, vas-y sans moi, comme ça, il n'y aura pas de problème.
Elle partit comme une furie et se barricada dans notre chambre. Cette fois-ci, j'y avais peut être été un peu trop fort. Mais c'est vrai que je ne pouvais pas supporter mes beaux-parents. Ils n'avaient jamais supporté l'idée que leur petite fille chérie se mari avec un simple architecte. Je me replongeait dans la lecture de mon article.
- Eh, chérie ? Ecoute ! Il y a un article dans le journal sur la catastrophe dont on a entendu parlé avant-hier à la télé. Tu sais, la tornade. Et bien, ils viennent de retrouver une femme qui a été emportée alors qu'elle rendait visite à sa famille et qui s'est retrouvée coincée sur le toit d'une grange à quelques kilomètres de chez elle. C'est incroyable, non ? Et puis, ça montre bien que rendre visite à sa famille, cela peut être vraiment dangereux.
 
12 Janvier 2012
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Toulouse
Voilà, j'étais assise, là, dans l'herbe. La pluie était tombée, longtemps, puis a laissé paraître un grand soleil. J'admirais à présent l'arc-en-ciel, si beau, si coloré. Je pensais à ma vie, à notre vie passée et à notre futur qui ne se fera pas. J'y pensais de plus en plus, je croyais que m'assoir là, dans l'herbe fraîche, allait me donner le courage de lui avouer simplement, sans grande cérémonie, que c'est fini. Cette rupture si brutale ne sera finalement pas une catastrophe; il pourra enfin vivre pleinement pour sa passion pour les voyages, et moi je continuerais ma vie tranquille à la campagne.
 
12 Janvier 2009
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londres
Owi, une activité pour tromper l'ennui dans mon train. :P

L'herbe ondule sous la brise chaude qui souffle sur le jardin. Quelques pétales s'échappent de l’épaisse toison rose du vieux cerisier. Je ne sais que trop que ce ballet bucolique annonce l'orage, et remballe alors mes affaires. J'ai passé tant de temps dans ce lieu, qu'il me semble à présent facile d'en saisir les moindres nuances. Chaque bruissement m'évoque un fragment d'être et de temps révolu, et la nostalgie qui est mienne tapisse le paysage. Pourtant, si la cérémonie pastorale qui se joue devant moi ne m'est en rien étrangère, je suis son déroulement avec une attention méticuleuse. L'air se fait plus chaud encore, plus moite, aussi. Les oiseaux chantent trop fort et tous les êtres en place dans ce monde de verdure sont maintenant en effervescence. Ils s'agitent comme si, cette fois, le jardin était menacée par une catastrophe. Pourtant, l'orage passe toujours et ne laisse en ceux qui en réchappent qu'un menu souvenir. Il n'est rien de plus éternel que les jardins; les enfants s'y succèdent, tous les éléments meurent et d'autres naissent pour les remplacer ou pour laisser un peu plus de place au rien du tout. Plus aucune trace de l'être alors de l'être qui passe du temps en son sein, dès lors qu'il quitte l'herbe moelleuse trop longtemps. J'ai moi-même l'impression d'être ici chez moi, mais rien ne me reconnaît. Rien n'est moins moi et tout ce que je suis à la fois que ce morceau de terre. Tous les arbres sont là, majestueux ou calcinés, et je sens une goutte de pluie me couler sur la joue.​
 

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